La rencontre [pv Saatsuka'li]

La rencontre [pv Saatsuka'li]

Je marchais dans les rues de Myridia. Je me sentais bien, le vent était frais. Je marchais dans les rues sans savoir ou j'allais , sans savoir si j'étais perdu dans les rues de Myridia. Je regardais autour de moi il n'y avait personne seul des enfants en train de s'amuser. Je marchais toujours dans les rues de Myridia, cette fois il n'y avait plus personne, la rue était déserte. J'entendais des bruit de pas derrière moi, je me retournait je voyais un homme avec une épée, je sortais mon sabre, j'avançais vers lui, Je l'attaquais, et je lui tranchais la gorge. L'homme tomba , je rangeais mon sabre. Je continuais a marché, devant moi se tenais une femme vêtu d'une robe blanche, elle avais les cheveux brun. Je m'avançais vers elle et je lui parlais.

- Qui est tu?

Je regardais la femme de haut en bas.

C’était une belle matinée. Une matinée comme je les aime. Le vent était frais, aucun signe de pluie dans le ciel. J’avais tout pour être de bonne humeur. Je marchais tranquillement dans les rues de Myridia. Lorsque je tombai dans une rue déserte, je décidai e m’y arrêter. Je m’adossai contre un mur, et fermai lentement les yeux. Je sentais le vent sur mon visage. C’était agréable. J’entendis des pas dans la rue, je rouvris les yeux. Ce n’était que quelques enfants qui passaient en courant. Rassurée, je fermai les yeux une nouvelle fois. Et une nouvelle fois, j’entendis du bruit plus loin. C’était tout près, juste derrière la courbe de la rue. Le bruit de plusieurs pas, d’un sabre tiré d’un fourreau, le combat. Court. Un des deux adversaires venait de tomber. Des pas s’approchaient de moi. Je rouvris les yeux et me redressai. Une femme m’interpella. Je ne la connaissais pas.
Comme je l’ai dit, j’étais de bonne humeur. Aussi je lui répondis tout de suite :

« Saatsuka’li Mitali. Ou Saatsu. Et toi ? »

Elle s'appelait Saatsuka'li Mitali. Saatsuka'li avait laird de se sentir bien dans las rues de myridia. Je la regardais et je lui répondais.

- Moi c'est Cassandra Taressi. Ça ne te dérange pas si je t'appelle Saatsu?

Je me m'étais a cote de Saatsuka'li. Je regardais le ciel bleu, d'une belle matinée. Le vent frais caressait mon visage. Je baissais ma tête et regardais Saatsuka'li. On dirait que Saatsuka'li était malade tellement que son visage était pale.

- Pour quoi ton visage est aussi pale?

Cette question me paraissait idiote mais tant pis maintenant que je lui est dit je ne peux plus retourner en arrière.

Cassandra Taressi. Cassandra Taressi … son nom ne me disait rien. Mais peut importe ! Elle me demandait si elle pouvait m’appeler Saatsu. Pourquoi fallait-il toujours qu’on me mette de mauvaise humeur lorsque tout va bien ? Je venais de lui dire qu’elle pouvait m’appeler Saatsu. Et elle me le demandait …
Ne pas m’énerver. Garder mon calme. C’était tout ce que j’avais à faire. J’étais de bonne humeur. Il fallait que je le reste.

« Bien sûr que tu peux »

Je pris une profonde inspiration. Refouler la colère qui s’emparait de moi avait été une tâche difficile. Très difficile. Mes mains s’étaient mises à trembler. Elles tremblaient toujours. Pourquoi mes émotions prenaient-elles toujours cette forme ? Impossible de les contrôler. De me contrôler. Impossible d’éviter le pire… je serrai mes poings et fermai les yeux. Il était inutile et dangereux de repenser au passé. Cassandra me posa une nouvelle question. Une question étrange et idiote. Cette fois, je parvins plus facilement à garder mon calme, même si sa question était plus offensante que la précédente.

« C’est comme si je te demandais pourquoi es-tu blonde… »

Je savais que j'avais posé une question idiote mais bon tant pis. Je regardais Saatsu et levais un de mes sourcil en entendant sa réponse. Saatsu étais vraiment bizarre. Je la regardais et lui parlais.

- Tu pouvais ne pas me répondre je savais que s'étaie une question idiote de toute façon.

Je regardais le ciel et fermais les yeux un petit moment. Je passais ma main dans cheveux et regardais Saatsu. J'avais l'impression que l'on nous observaient. Je regardais autour de moi et ne voyais personne d'autre que moi et Saatsu. Je me retournais vers Saatsu et je lui parlais.

- J'espère que toi aussi tu as l'impression que l'on nous observe.

J'espère quelle le sent elle aussi je ne veux pas avoir l'air idiote encore une fois si elle ne le sent pas.

Cassandra reconnaissais son erreur. C’était une bonne chose. Elle remontait dans mon estime. Elle se sentait observée. Moi pas. Mais je n’avais jamais été douée pour « sentir » la présence d’autres personnes. Je me concentrais, faisant le vide en moi. Chose très difficile. Je n’arrivais jamais à faire taire mes pensées tourbillonnantes. Je regardai Cassandra.

« Je ne me sens pas observée. Mais je ne suis pas douée pour ça »

Je me relevai complètement, prête à utiliser ma magie si Cassandra avait raison de s’inquiéter. Tout était très calme. Il était possible qu’elle se soit trompée. Fort possible. Je me tournai de nouveau vers elle, toujours aux aguets.

« Es-tu sûre de toi ? Je n’entends rien ni ne vois rien. Tu as du te tromper. »

J'étais sur mes garde je savais que l'on nous observaient, Saatsu n'était pas doué pour ça mais elle devait me faire confiance moi j'arrive bien sentir les gens qui nous observe. J'avançais petit a petit, je m'arrêtais et regardais Saatsu.

- Tu peux me faire confiance je suis sur de moi.

Je la regardais en souriant, j'approchais de plus en plus de l'endroit ou je sentais que l'on nous observais. En avançant je parlais a Saatsu.

- Je ne me suis pas trompé je sens très bien quand on nous observe, crois moi.

Je fis signe a Saatsu de ne pas me suivre, quand j'étais près de l'endroit, un homme sauta pour m'attaquer mais j'esquivais son attaque, et je lui mis un coup de pieds dans le ventre et il tomba par terre, je lui enfonça mon sabre dans le ventre et retira mon épée. Je rangeais mon sabre. J'avançais vers Saatsu et lui parlais.

- Tu vois on nous observaient, il faut me faire confiance pour ces genre de chose.

Je m'adossais contre un mur, je levais la tête et souriais. J'étais heureuse a cette endroit calme, pas un bruit. Je baissais la tête et regardais Saatsu et lui adressais la parole.

- Viens on marche un peu.

Je me redressais et avançais vers Saatsu. J'avais le sourire au lèvre et attendais que Saatsu me réponde.