Reveil --PV ~~ Milo

PV ninie

Je savais qui j'étais, Miloniä Yukomichy une assassin... Mais je ne comprennais pas pourquoi les membres de ma guilde me regardais avec autant de craintes et de respect. J'avais même déceler chez certain de la haine, du mépris... Alors, je voguer au gres de mes envies, là ou me porter mes pas, et j'avais échouer là, sur les remparts de la cité merveilleuse des falariels. Je cherchais dans les nuages un début de piste, un maigre indice... Tous ce qui pouvait me faire retrouver ce que j'avais perdu à cause... Mes poings ce serrairent d'eux même, les gouttes de sang perlèrent alors que mes ngles s'enfonçaient dans mes chair... Aaron. Me pardonerai_il un jour ce que je lui avait fais? Serais je moi même capable de voir autre chose que mon propre interré dans une relation, ou serège simplement capable de gouter à autre chose qu'a ma vie de solitaire dénué de but depuis qu'il est parti?... tant de question sans réponse.

Il était une fois, un monde que tout le monde connait sous le nom de : Exodus. C'est par une nuit d'orage qu'un jeune garçon fait la rencontre d'un belle femme. C'est une magnifique étoile tombée du ciel. Un soleil rayonnant de beauté. Ses longs cheveux à la couleur du blé tombant avec légèreté sur ses reins en une cascade dorée et étincelante. Des yeux d'un bleu éclatant et envoutant. Voilà à quoi ressemblait Aryä, mon maître. Quand je la vis, elle était allongée sur le sol, trois hommes debout, épée pointée vers son corps gracieux et souple. Ils étaient prêts à la tuer.

Je bondis du toit. Dans un même mouvement, je pris mon arc et encochai trois flèches ajustées à la perfection. Je lâchai la corde et elles partirent. Traits invisibles dans la nuit. Mortels. Les trois flèches se plantèrent dans deux gorges et une nuque. Les trois corps tombèrent sur le sol, sans vie. J'atterris en une roulade. La femme était au sol. Elle fermes les yeux. Je passais mon arc dans mon dos et dégainai mes lames. Elles se croisèrent au dessus de sa tête et je bandai mes muscles pour intercepter la lame de l'adversaire devant moi. Je jetai un rapide coup d'œil autour de moi. C'était un des hommes que la femme avait mit K.O. Mais, lui, il s'était relevé. Il me suffit de lancer mes deux épées. Il en intercepta une et l'autre se planta dans son cœur. Je me penchai sur le corps de la femme et je l'emmenai chez elle. Quand elle fut sauvé et que j'allais partir, elle m'a demandé de rester. J'allais devenir Assassin.

J'étais d'abord sceptique. (comme les fosses ><) Puis je l'ai vu se battre avec l'agilité d'un chat. J'ai tout de suite changé d'avis. Je voulais être comme elle. Je savais que ça n'allait pas être facile. Mais ma détermination m'aida beaucoup. Je savais aussi que son niveau était très haut, son maître avait été l'un des meilleurs Assassins. Elle ne m'a jamais dit qui, ni si c'était une femme ou un homme. Elle ne me l'a jamais décrit non plus. Pendant un moment j'avais même un doute sur la légalité de mon apprentissage. Avait-on le droit d'avoir un élève du sexe opposé ? En quoi cela pourrait gêner ? Aryä était très belle et parfois j'avais du mal à la quitter des yeux. Ce qui bien sûr la faisait rire et moi, sous la honte, je rougissais et je faisais ce qu'elle m'avait demandé.

Ce sont de très bon moment. Des souvenirs que je n'oublierai jamais. Mais maintenant passons. Tournons la page de ce grand livre noir qui trace ma vie. Je dois retrouver la Princesse des Assassins. Miloniä Yukomichy. Je sais beaucoup et peu de chose sur elle. Je sais qu'elle a les cheveux blancs et les yeux bleus. Ce n'est pas rare mais ça m'aide. Je sais qu'elle a une épée du nom de : Phatalis. Ce qui peut-être très utile. Mais qui peut aussi ne servir à rien. Enfin bon. Voilà un petit moment déjà que je la recherche. Je sais qu'elle est Falariel et c'est une des raisons pour laquelle je suis ici. A Casshern. Je sais aussi que ce n'est pas commun de voir des hommes se balader sur les toits. Mais c'est comme ça que je fais. C'est plus rapide parfois.

Aujourd'hui, je suis sur les remparts. Je crois que je n'ai pas le droit mais pour le moment il n'y a pas de gardes. Je montai sur les créneaux et regardai autour de moi. Je vis un homme voler un arc à la main. Il s'arrêta et visa la rue en bas. J'aperçus alors une femme. Je plongeai dans le vide au moment où la flèche fut tirée. Mon corps s'arqua. Les mains vers l'avant, les doigts ouverts. Je ne bougeais plus. Mes poings se refermèrent sur la flèche. Mon corps s'arqua dans l'autre sens et je ré atterris en une roulade. A peine j'étais de nouveau sur mes pieds que je tenais mon arc dans mes mains et tirait une flèche. Elle pourfendu l'air en un sifflement imperceptible. La flèche se planta dans le front du Falariel. Il tomba lourdement sur le sol, sans vie. Je passai mon arc dans mon dos, entre mes deux épées croisées dont les poignées dépassaient de mes épaules. Je me retournai pour regarder la femme. Mes joues rougirent et je m'inclinai respectueusement.

''Madame...''

Le vent des les cheveux, les yeux dans le vagues, je pensais. je savais qu'il était là, l'assassin pas tres doué pour le camouflage qui me suivais depuis peu. Je l'avais remarqué, je m'apprété à l'apostropher quand je le vit bondir et tirer,... Je soupira me prépara à dégainer... Trop tard, un jeune inconcient avait intercepté le jet et avec une dextérité extrme lui renvoya un trait. Je souris, m'assis au sol et attendis. Quand il parla je leva mes yeux bleu vers lui... Ils étaient gris acier:

" Bonjour, puis-je avoir l'immence honneur de savoir pourquoi tu à fais ça? Et puis... Non oubli."

J'étais en colere, mais reconnaissante.

La femme s'était assise. Je n'osais pas trop la regarder. Quand son regard gris acier croisa le mien, je frissonnai. Je sentis au plus profond de moi que j'avais fait une très grave erreur. Un noeud se créa dans mon ventre et j'avalai difficilement ma salive. Je reculai de quelques pas. J'étais devenus écarlate. Ne pouvant prononcer un seul mot. J'avais plus honte que peur. J'observai le ciel. Ou du moins essayait. Mon oeil gris était attiré vers la femme. J'évitai son regard avec la plus grande précaution. Ne voulant pas l'énerver plus. J'ouvris la bouche et m'excusai.

''Excusez-moi...''

Je baissai la tête sous la honte. Pourquoi est-ce que j'avais fait ça ? Pourquoi fallait-il toujours que je me mette dans des situations délicates ? Pourquoi faisais-je toujours des bêtises ? Mon regard se leva vers le ciel. Elle ne devait pas être fier de moi. Je ne serais jamais un grand Assassin. Jamais. J'ai toujours été nul. Je ne mérite pas un maître. Quand je rencontrerai Miloniä, je lui demanderai de me choisir le pire des Assassins pour maître. Je ne mérité que ça. Je baissai de nouveau ma tête toujours écarlate. Je ne savais plus ou me mettre. Qu'avais-je fait encore ?!!

J'éclata d'un rire leger, tandis que je me lever lestement. Il me faisait rire. Je l'examina et lui dit gentillement:

" Tu sais ce n'es pas tres malin de piquer le jouet des autres..."

Je dégaina phatalis:

" Et puis,... Je ne la porte pas pour rien."

La lame brilla au soleil révélant son nom graver au fer Phatalis. Je souris à ma lame avans de la rengainer et de faire tournoyer mes cheveux d'argent. Je m'amuser beaucoup, pourquoi je ne savais pas, mais je jouais.

La femme semblait jouer avec moi. Rien que cette pensée me ramena en tête le rire des filles et les images de leur jeu. Me faire rougir un maximum. D'un seul coup mes joues redevinrent blanches. Je relevai la tête et défiai la femme du regard. Quand elle leva sa lame, mon oeil s'écarquilla. Je rêvai, c'était forcément un rêve. Ce ne pouvait pas être elle. Pas déjà. Je levai la tête vers le ciel, l'observant attentivement. Un aigle passa juste au dessus de nous en criant. Comme s'il avait s'agit d'un signe, je baissai la tête et regardai la femme.

''Phatalis...''

J'avais murmuré ce mot entre mes dents serrées. Je n'arrivai pas à le croire. Je l'avais enfin trouvé ? Déjà trouvé ? Une joie étrange éclata en moi. Déferlant dans mon corps comme une vague de chaleur et de bienfaisance. Je secouai la tête. Ce ne pouvait pas être possible. Miloniä Yukomichy. La Princesse des Assassins. Je m'approchai de deux pas et mis un genoux en terre. Je baissai respectueusement la tête. Je parlai doucement, d'une voix emplit d'admiration.

''Madame, j'ai besoin de votre aide. Vous êtes la Princesse des Assassins et mon maître m'envoie vous demander de me donner un autre maître...''

Princesse des assassins... Tout revien d'un coup, comme si le simple fait de savoir enfin le résultat faisait exploser une vérité cacher, comme la derniere piece d'un puzzle qui donne enfin son sens au dessin. Je le regarda, je savais enfin qui j'étais, je comprennais tout ce qui ce passais... Mais j'étais sans voix. Je le releva, l'invita à me suivre. Je m'assis sur le toit le plus proche, le regarda et lui dit doucement:

" Tu viens de me sauver, tu ne le sais certainement pas mais tu viens de le faire. "

Mes paroles étaient sans doute incopréhensible pour lui, mais je vennais de le remercier, rester à présent à payer ma dette envers lui. Plongeant mon regard d'azur dans son oeil unique je lui dit doucement:

" Raconte moi, explique moi qui est ton maitre et ce qui c'est passer."

Je voulais savoir ce qui c'était passer et qui avait bien pu lui dire de venir me voir.

Je la suivis silencieusement. Réfléchissant à ses paroles. Sauver ? Moi ? Ais-je enfin fait quelque chose de bien ? Je passai une main dans mes cheveux et m'assis moi aussi sur un toit. Je fixai la rue, sans vraiment la voir. Lui raconter. Si au moins j'en étais capable... Je restai plusieurs minutes silencieux. Réfléchissant à ce qu'il fallait dire et ce qu'il fallait taire. Je poussai un soupir et levai la tête vers le ciel. Puisant la force et le courage dans le bleu du ciel. Ce bleu aussi bleu que ses yeux...

''Mon maître est mort... Il s'est sacrifié pour me garder en vie... Il disait que je pourrais devenir un grand Assassin... Il avait foi en moi... Le peuple elfique avait décidé de mettre fin à ma vie mais mon maître s'est jeté sous la lame... Il a fait ça parce qu'un Vampire avait osé le mordre... Je n'ai rien pu faire... Elle... Elle est morte...''

Des larmes roulaient sur ma joue, partant de mon oeil gris. Du côté de mon oeil mort, mes cheveux cachaient légèrement le filet de sang. Je baissai la tête, cachant mon visage avec mes mains. Je me suis beaucoup attachée à elle. Elle m'a dit que je mettais TROP attachée à elle. Mais est-ce de ma faute ? Elle était parfaite. Elle ne méritait pas la mort. Alors que moi... Je continuai dans un souffle.

''Elle s'appelait... Aryä...''

En prononçant ce nom, je levai la tête vers le ciel. Je séchai mes joues d'une main. Je fermai les yeux et tout mon corps se détendit. Mon coeur se calma. Mes larmes se tarirent. Je poussai un soupir et me levai, me penchant au bord du vide. Observant tout simplement la rue. Je me retournai ensuite pour regarder Miloniä Yukomichy. Aryä m'avait choisi et disait toujours que j'y arriverais. Alors il fallait que j'y arrive. Il fallait que je sois fort et qu'elle soit fière de moi. Pourtant, pour l'une des rares fois, je n'arrivais pas à sourire...

Je regardai la belle blanche pleurer. Le rouge monta à mes joues. Même les larmes l'embellissaient. Je secouai la tête pour me concentrer sur ses paroles et non sur sa beauté. Ce que je réussi à faire plutôt bien pour une fois. Oui, je me rappelle. Elle avait parlé d'une histoire entre la Princesse des Assassins et elle. Mais je ne pensais pas que c'était si fort. Ses paroles étaient toujours flous, impossible de trouver en elles plus d'informations. Je savais ce qu'elle voulait que je sache et rien d'autre. Je pensais que l'une avait été le maître de l'autre ou toutes les deux des élèves en même temps. Je fronçai les sourcils. En Miloniä j'avais l'impression de retrouver Aryä par moment.

Aryä ne me disait rien sur elle, mais il faut avouer que je ne demandais jamais. Je ne suis pas curieux, je ne préfère pas poser de question. Je préfère garder le silence et observer. C'est pour cette raison que je ne demandais pas à Miloniä quel est le savoir que Aryä lui avait offert. Même si au fond, mais vraiment tout au fond, j'avais un peu l'envie de savoir. Je préférais garder le silence. Si elle voulait que je sache, je saurais. Son offre était... étrange. A vrai dire, je ne m'y attendais pas. Je pris mon temps pour réfléchir. C'est vrai qu'un jour Aryä m'a dit une chose...

''Aryä m'avait dit un jour qu'elle avait renoncé à avoir des élèves. Et pourtant, elle m'a prit sous son aile. Et puisqu'elle croyait en moi, j'accepte. Peu importe la difficulté des entrainements.''

Aryä m'avait dit toutes sortes de choses, c'est vrai. Elle m'avait dit tellement de choses que je me demandais si j'allais pouvoir tout retenir. Mais je retiens. Je retiens parce que je sais que j'en ai besoin. A tout moment. Je souris, levant une dernière fois la tête vers le ciel. J'effleurai du bout des doigts une plume noire de mes flèches, mon sourire s'agrandit. Oui, je voulais être son élève.

Je parti en courrant à travers les toits, bondissant de tuilles en tuilles et par dessus les ruelles sombres... j'allais à la tour de la guilde. Si je le prennais en apprentissage il fallais que j'en avertissage des ancien... Dire que je reprennais l'apprentissage commençait par Aryä. Je me dépécher donc, précée de commençais, de savoir ce qu'il vallait. Je voulais comprendre pourquoi Aryâ avait renier ses voeux pour lui... PLus je le regardais plus je l'admirer. Souple, leste, rapide,... Comme si il était né pour etre assassin, pour devenir comme moi, comme si nous étions fait pour nous rencontrer. J'étais heureuse, je bondisssais sans prendre garde au reste, les saltots parfaits s'enchainer les un apres les autres... Je déborder de joies et d'énergie. Voila bien longemps que je n'avais pas été comme ça. Je ralenti devant la salle du conseil, lui dit d'attendre,entra :

" Je prend le jeune Kamael en apprentissage et ceci n'est pas une question! "

Ce sont les seuls mots que je prononca avans de repartir le sourir au levres. Je l'entraina vers la maison la plus proche. Je m'assis enfin dans ma chambre sur mon lit. Je le regardais, l'admirais, le dévorait litérallement du regard,... il m'hypnotisait! Il était jeune, mais terriblement beau, peut etre que cela serait un probleme d'ailleur bas ! pour l'heure seule les présentation comptais:

" Tu auras une camarade, Lou. Elle est actuellement en mission, mais tu la rencontrera bientot. Elle est moin doué que toi alors soi indulgent, elle débute."

Serait-ce une pointe de fiereté dans ma voix? Ou peut etre d'éxitation...

Miloniä se mit en mouvement d'un seul coup. Elle bondit de toit en toit et je la suivis avec difficulté. Je ne la perdais pas du regard, jetant peu de coup d'œil sur mon chemin. J'observai sa grâce, sa souplesse. Elle me faisait vraiment penser à Aryä et pendant un moment, je la vis se transformer alors qu'elle bondissait sur un autre toit. Ses cheveux devinrent blond et parsemée de petites tresses. Les mèches au dessus de ses oreilles ramenées derrière la tête et retenues par une barrette désignant un aigle. Sa peau se hâla et ses oreilles s'agrandirent pour finir en pointe. Le souffle coupé, je retombai lourdement sur le toit. Je m'arrêtai et secouai la tête. Je ne veux plus que ça recommence ! Je relevai la tête et me dépêchai, sans vraiment savoir comment, je réussi à aller très vite, aussi rapidement qu'un Elfe. Je ralentit en arrivant un peu derrière mon nouveau maître. J'évitai désormais de la regarder.

Elle ralentit en s'approchant d'une tour. Je m'arrêtai quand elle me le demanda et levai la tête pour observer la tour. Elle était haute. C'est tout ce que je trouvais à dire. Elle n'avait rien de spécial, une tour banale. Miloniä ressortit très vite. Je la suivis de nouveau, faisant bien exprès de soit regarder la ville, soit regarder mes pieds. Je ne voulais plus que d'un seul coup elle change de visage. J'entrai dans une maison, puis Miloniä ouvrit une porte pour entrer dans une chambre. Je ne la suivais plus, je m'étais arrêté au seuil de la porte, observant la chambre en silence. Quand je croisai son regard, je devins écarlate et ne pus m'empêcher de le fuir encore plus. J'étais vraiment mal à l'aise. Je n'osai rien dire, je n'osai pas entrer, je n'osai même plus bouger. J'avais sûrement l'air idiot mais son regard me pétrifiait.

Je cherchai au plus profond de moi quelque chose qui pourrait me faire oublier ma gêne. Je trouvais après quelques secondes. Mon visage redevint légèrement hâlée et je fis un pas en avant dans la salle. Un seul pas. Je m'appuyai ensuite contre le mur. Juste pour ne plus être dans le couloir. Je tournai la tête pour regarder un endroit puis je fixai Miloniä, neutre. Je pris conscience d'une chose quelques secondes plus tard. D'un mouvement rapide et précis, je ramenai mes cheveux devant mon cache-œil. L'habitude de toujours le cacher parce que pendant un moment, je n'en avais pas. Un sourire étira mes lèvres. Ca me passera avec le temps.

"Allez entre et viens là."

J'avais vite repris mes esprit, je contemplais maintenant l'uniqu peinture de ma chambre, elle et moi, en plein combat. Je souris mélancolique, me souvennant de cette nuit là ou elle m'avait appris qu'un adversaire plus fort ne gagnera pas toujours, me souvennant de cette nuit si particuliere ou l'éleve dépassa le maitre, une nouvelle fois. Je revint à moi alors que Anastasiä la seule domestique de la maison qui n'avait pas peur de rentrer dans mes appartements arriver justement. Je la salua de la tete et elle ce mis au travil. Je lui avait demander, par essage, de préparer ses instruments de coifure, afin qu'elle me face des tresses et m'aide à me préparer pour ma prochaine mission dans la noblesse. Alors qu'elle s'affairait autour de ma chevelure de lune je m'adressa à Kamael:

" Je suis ton maitre maintenant. Et dans cette maison tu est chez moi, chez les yukomichy. Ne t'avise jamais d'y venir sans moi. Bien commençons... J'aimerais savoir ou tu en es, de quoi tu est capable. Tu as tout ce don tu as besoin, montre moi!"

Il y avait des armes en bas, alors que ma chambre était en mésanine, je pourrait l'observé ainsi. Je lui demander de s'entrainer seul avec toutes les armes qu'il s'avait manier, y compris les siennes. Le but était simple,s avoir ce qu'il vaait dans le ventre et dans les muscle afin de combler les manque en priorité et ensuite pouvoir s'occuper correctement de son éducation au combat.

Entrer dans sa demeure sans elle ?!! Jamais je n'oserai. Déjà que j'ai hésité avant d'entrer alors qu'elle était devant moi. Alors tout seul ! Je baissai la tête et m'avançai dans la chambre. Une femme y entra. J'inclinai la tête respectueusement et m'approchai d'une peinture au mur. Je la contemplais quelques instants, étonné. Les yeux écarquillés. Le dessin se rapprochait tellement de la réalité ! Ses longs cheveux blonds, ses fines tresses finies par des perles. La boucle argentée dans ses cheveux. Ses yeux bleus toujours aussi envoutant. Son corps fin et élancé, musclé. Il était recouvert d'un vêtement de cuir noir que je connaissais bien. Elle tenait dans ses mains une magnifique épée. Je l'avais vu la manier plusieurs fois. L'épée était elle, elle était l'épée. Sur sa cuisse, deux petits coutelas et dans sa botte, une dague. Un sourire rayonnant de bonheur étirait ses lèvres. Je me rappelais parfaitement de tout ces détails. Et les revoir fit surgir dans ma tête une tempête.

Je crois que s'il était permis de tomber amoureux de son maître, je l'aurai été d'elle. Aryä. Je baissai la tête pour remettre mes idées en place. J'avais vaguement entendu ce que m'avait dit Miloniä. Je pris une profonde inspiration et pareil à une ombre, je me glissai en bas de l'escalier. Je m'arrêtai au milieu de la salle, réfléchis quelques instants. Je me rappelais les entrainements que je faisais seul. Aryä me regardait, m'évaluait. Elle était à côté, debout. Elle me disait ce qui n'allait pas et ce que je devais faire. Comme si c'était naturel, je me mis en mouvement.

J'attrapai mes deux lames et commençai à bouger. Mes mouvements étaient fluides et souples. Pour le moment, lents. Mais je me concentrai, je commençai tout doucement l'entrainement. Plusieurs secondes coulèrent. Je faisais tournoyer mes lames noires autour de moi. Puis mes gestes prirent en vitesse. Il devinrent plus précis, plus nombreux. Je ne dirais pas plus efficaces. Je ne le pense pas. Après un moment, je m'arrêtai. Conscient que j'étais surveillé. Je fermai les yeux et examinai mon corps en profondeur. Je n'étais pas blessé, je n'étais pas fatigué. Je respirai calmement. Je rangeai mes lames et rouvris les yeux. J'observai la salle et regardai les armes. Je savais en manier plusieurs. Il me fallait choisir laquelle prendre maintenant.

Je ne le regardais pas mais j'écoutais, j'écoutais je bruit de ses lames, sachant exactement ce qu'il faisait,... Il s'arreta, je souris. Il était bien entrainer, ce n'étais pas domage d'ailleur. Mais ilmanquer de confiance en lui et de reflexe. Aryä était un bon maitre, lui un bon éleve mais peut etre trop pres de son ancien maitre. Alors je sus, je compris qu'il était amoureux de la mauvaise personne, qu'il souffrais de son absence. Je souris un peu plus... je rangea mes lames dans mes jarretières et m'avança, ma robe était belle, même plus que belle. Mais il le fallait pour réussir ma mission, je m'avança, décendit l'escalier lentement avec l'aide d'Anastasia que je congédia ensuite, et dit à mon éleve:

" Ce soir tu vas m'aider, ainsi je serais de quoi tu es capable."

je le laissa ranger ses armes, reprendre ses marques avans de partir consciente qu'il me suivait. si il voulait participer il devrait poser des questions, les questions juste.

Spoiler:

Je savais qu'elle avait suivit chacun de mes mouvements. Sans en oublier un seul. Mais ça m'importait peu. Je cherchai au plus profond de moi cette sensation que je ressentais chaque que je m'entraînai quand Aryä était encore mon maître. Mais je n'arrivais pas à la retrouver. A la place de ça, une profonde mélancolie m'envahit. Je serrais les poings. A ce moment Miloniä descendit les escaliers dans une magnifique robe. Ses cheveux lunes dansaient derrière elle, parsemés de magnifique tresses. Sa robe d'un blanc pur et d'un rouge carmin. Elle se mariait très bien à la beauté de Miloniä. J'avais le souffle coupé devant une telle grâce et une telle beauté. Je sentis le rouge monter à mes joues. Je baissai la tête.

J'expirais, j'inspirai. Mon unique oeil était fermé. Je visualisai l'air entrant dans mes poumons et sortant de mes narines. Je me repris vite, redevenant normal. Ma peau hâlée réapparu sans trace d'un quelconque rouge. Je relevai la tête et regardai Miloniä. Indifférent à sa beauté. La mélancolie qui me habitait m'empêchait de voir à quel point les femmes pouvaient être belles. Je baissai la tête et avançai à la suite de mon nouveau maître. Je savais que là, je devais poser des questions. Et les bonnes. Mais je n'en avais aucune envie. J'aurai plutôt préférer me cacher dans une maison abandonner et rester seul quelques heures. Je n'étais pas curieux et je n'aimais pas particulièrement poser des questions. De plus, la situation ne sollicitait pas mes lèvres de bouger et mes cordes vocales de pousser des sons. Je restais donc muet, le regard perdu devant moi, sur le sol. J'avais conscience que là maintenant, je devais perdre un poing et la décevoir grandement. Mais franchement, je m'en fichais.

Mon regard se posa sur les tresses dans les cheveux lune de Miloniä. Je levai la tête par habitude quand je pense à elle. Mais là, je ne vis que le plafond, pas le ciel. Je poussai un soupir et fermai les yeux. Je me concentrai sur le bruit des pas de mon nouveau maître pour me diriger. Je cherchais dans ma tête des situations aussi ressemblant à celle-là dans mes souvenirs. Je revis une scène qui m'aide beaucoup. Aryä me disait que si je voulais progresser avec elle, il fallait que j'abatte ce mur devant moi, que je pose des questions. Les bonnes questions. Je lui ai demandé, comment trouver les bonnes questions. Elle m'a sourit, oui, je venais de lui poser une question. Elle me répondit, tu les trouvera au plus profond de toi. Je rouvris les yeux, fixai Miloniä plusieurs secondes et baissai la tête en soupirant. Je ne trouvai pas. Je posai alors une question sans intérêt qui allait sûrement la décevoir. Mais...

''Où va-t-on ?"

" En mission jeune homme, en mission dans la noblesse de Casshern"

Je le guida jusqu'au palais ou un deuxieme assassins m'attendais lui aussi en tenue de gala, il serais mon cavalier et mon alibi pour cette soirée. Mais avans d'entrer je regarda mon jeune éleve et lui dit calmement:

" La prochaine cherche les bonnes questions. ce soir tu vas rester sur le toi, et regarder notre travail, un assassin n'es pas forcément seul. C'est un bon exercice pour toi."

Je rentra dans la salle accompagner du deuxieme... et la soiré débuta. La cible fut vite répérée, mais l'heure de passer à l'action n'était pas encore venue, alors nous dansions lentement, valsant dans un rythme parfait, faisant l'objet des regards et de l'admirations de tous.

Nous valsions lentement et moi j'observais, voyant tout y compris mon éleve et son expressions quand il regardait mon cavalier. Alors je compris, et je parla doucement mais ma voix était plus froide que la mort:

" Tu ne survivra pas ce soir."

Je lui souris, tournaya, changea de cavalier et continua ma valse. J'étais consciente du danger imminant que représentais ma cible. Un poignard de lancé apparu dans ma main droite, et a peine une seconde plus tard ce ficha dans le coeur de l'hote de la soiré. Je tournoya une nouvelle fois pour m'arreter net au cri d'une femme. L'homme était à terre, je m'approcha, j'étais connue dans la noblesse pour faire partie de la garde du palais, il me laisserent donc passer et apres un bref examin j'annonça tristement.

" La princesse à encore frappé."

Je me releva, sans une goute de sang sur ma robe blanche. Alla retrouver mon cavalier et lui dit de ma suivre sans question. nous sortîmes sans un mot, mon travail était fini ici mais commençé ailleur. Je guida l'autre assassin jusqu'au maisons peu éloignées mais abandonnées sachant pertinament que Kamael me suivait. Je m'arreta au centre de la maison fit assoir l'homme devans moi et dit :

" Arrete de te cacher Kamael et viens te présenter à cet homme."

Je vis dans les moindres détails les gestes de Miloniä. Je la vie changer de cavalier pour ma plus grande satisfaction. Puis un poignard apparut dans sa main, juste l'espace d'un battement de coeur. Le poignard pourfendu l'air en sifflant. Comment faisaient-ils pour ne pas entendre ce sifflement ? Peut-être parce que moi je suis différent. Je lâchai un soupir. La lame se planta dans une poitrine puis Miloniä s'avança. Déclara le coupable et sortit. Qui aurait pu croire que c'était elle la Princesse ? Je me relevai d'un geste souple et sautai de toit en toit, aussi silencieux et discret qu'une ombre.

Je la suivis et quand elle entra dans une maison, j'entrai moi par une fenêtre. Je me tapissai dans l'ombre et continuai de maudire cet homme. Il ne devait pas se douter de ma présence. Je marchai avec rapidité et silence sur les poutres retenant le plafond. Je m'arrêtai au dessus de l'homme et quand Miloniä me demanda de me montrer, je sautai.

Je retombai sur le dos de l'homme qui, sous le choc, s'écrasa au sol. Je fis une roulade, me relevai dans le même mouvement et me retournai pour lui faire face, les poings serrés. Il essayait de retrouver son équilibre tant bien que mal. Je ne le lâchai pas du regard. Un grognement sortit de ma gorge et je serrais les poings un peu plus fort. Il feinta d'avoir mal au dos pour attraper une dague et se ruer sur moi. Ma rage augmentait tout ce qui fait de moi celui que je suis. Je le vis arriver sur moi avec lenteur. Je le laissai charger, je le laissai croire qu'avec cette maladresse il allait pouvoir me tuer. Moi. Elève de Aryä. Elève de Miloniä.

Au dernier moment je glissai le long de son bras et abattit le tranchant de ma main sur son poignet. Je tirai ensuite sur son avant-bras ce qui le fit s'écraser une nouvelle fois sur le sol à cause du déséquilibre. Je reculai de quelques pas. Je savais que tuer quelqu'un par vengeance ne servait à rien. Alors malgré ma haine, je ne le ferais pas. Je lui enlèverai juste l'envie de recommencer. Quand il se releva, je mis dans mon regard toute ma haine. D'un mouvement lent, j'attrapai mon arc et encochai une flèche. L'homme parut avoir peur ou alors il se mit dans la tête que maintenant, j'étais à sa merci. Il se mit en mouvement. Ses ailes sortirent de son dos et il s'envola dans la salle. Ma flèche suivait chacun de ses mouvements. Je captai sa vitesse, devinant sa prochaine destination. Il passa près d'une fenêtre. Je lâchai la corde et quatre autres flèches suivirent la première. L'homme n'alla pas plus loin, il fut accroché au mur. Quatre flèches l'empêchaient de bouger. La dernière était collée à sa joue. Promesse.

Sans un regard en arrière, je bondis, attrapai une poutre, me hissai dessus et partis par la fenêtre qui m'avait fait entrer. Je marchai silencieusement sur le toit et bondis sur un autre plus haut pour enfin m'assoir. Je poussai un soupir et fermai les yeux. Appréciant la brise. Ecoutant le moindre bruit. Discernant le moindre mouvement. Je faisais la paix avec moi-même.

J'assistais à tout impassible et fiere en même temps. Il ne le tuerais pas, je le savait, il n'oserais pas. Mais cet homme n'était plus un assassin depuis qu'il avait attenter à la vie d'un maitre. ou en tout cas qu'il n'avait rien fais pour l'aider. Je le laissa partir, il devait faire la paix dans son esprit. Moi je siffla orage, il m'apporta Phatalis et ce posa sur un poutre non loin de moi. Je le remercia d'un sourire avans de me retourner vers l'homme épinglé au mur. Je dégaina, dansa lentement vers lui. Je rengaina phatalis, la rendit à Orage et me issa sur le toit ou ce trouvait mon éléve. Je m'assis à coté de lui sans un mot. Mon aigle partis vers la tour de la guilde.

Dans la maison, sous les deux assassins, un homme gisait, la gorge trancher dans une expression de terreur.

Les deux Assassins... N'est-ce pas abusé ? Je ne suis pas Assassin. Je ne suis qu'un apprentie. Je n'arpente pas encore assez la voie des Asssassins pour me prétendre en être un. Vous devez vous demander sûrement si je ne suis pas en train de devenir fou. Peut-être après tout. Je ne sais pas. Vous allez me dire. La voie des Assassins ? Mais Kamæl, tu as perdu la tête ? Et moi, je dirais simplement que je ne sais pas. Pour moi c'est clair. Si clair. Vous me direz ensuite qu'il n'y a pas de voie. Que je dois arrêter de dire n'importe quoi. Alors à ce moment là vous me direz. Kamæl reprend toi. Ce n'est pas comme ça que l'on devient Assassin. Alors expliquez moi. Si ce n'est pas la voie des Assassins que je vois. Qu'est-ce ?

Miloniä s'approchait. J'avais ressentis ce qu'elle avait fait dans la maison. Je savais ce qu'elle venait de faire. Sans remord. Je soupirai et rouvris les yeux. Je la regardai s'assoir à mes côtés. Sa beauté ne me gênait plus. Je n'y pensais pas. J'étais perdu dans le monde vague de mes pensées. Impossible de savoir si je guidais vraiment mes gestes et mes paroles. Je sais juste que là, maintenant, j'avais envie de dire quelque chose. Une chose sans importance. Une chose qui n'était pas une question. Mais une affirmation.

"Vous l'avez tué..."

Oui je l'avais tuer, mais lui était encore trop jeune pour comprendre pourquoi. Pour comprendre qu'un assassin qui en veux à la vie d'un maitre ou qui ne l'aide pas en cas de grand danger, ne fait plus partie de la guilde et est une tache indélébile dans nos rangs si souvent inspectés. je lui souris, souriant aussi à la lune, aux étoiles et au fil qui les liées avant de lui répondre de la voix calme que j'avais quand j'enseignai:

" Oui je l'ai tuer, mais tu ne pourra certainement pas comprendre pourquoi si je te l'explique, tu n'es pas assez entrainer mentalement pour affronter ce genre de chose. Mais je suis fière de mon élève ce soir et je suis sur que Aryä aurait dit la même chose."

je me leva, m''étira lentement tel un chat qui sort d'une sieste et lui fit un sourire avant de sauter au sol et de marcher en direction de ma maison,... J'étais toujours en robe, il me fallait me changer avant de poursuivre le cours du jour.

Aryä... Qui peut m'assurer qu'elle est fière de moi aujourd'hui ? Qui peut me dire qu'elle était sincère avec moi ? Qui peut me dire ce qu'elle pense vraiment ? Qui peut me dire qui elle était pour moi ? Qui peut me dire qui je suis pour elle ? Et qui peut me dire si j'ai le droit de me poser toutes ces questions ? Je baissai la tête. Je ne suis qu'un moins que rien, je ne mérite aucun enseignement. Encore moins celui des meilleurs Assassins. Qui sait qui je suis ? Même pas moi. Je suis né un jour. Mais quand ? Qui sont mes parents ? Toutes les histoires sont différentes. Si différente. D'un côté que je suis le fils du Diable, de l'autre j'ai été retrouvé dans un cimetière. Mais moi je veux la vrai. Je sautai sur le sol et rejoignis Miloniä. Une question me vint alors.

"Un maître a t-il le droit de se lier d'amitié à son élève ?"

J'espérai qu'elle me réponde. Que je sache. J'ai besoin de savoir. Je dois comprendre. Tout ce qui se passe dans ma tête et qui reste en suspension, attendant une explication. J'ai besoin de faire le vide. De me concentrer pleinement sur mon enseignement. Pour devenir celui qu'elle voulait que je devienne. Jusqu'à ma mort. J'ai encore pleins d'autre questions sur les maîtres et les élèves. Mais j'attends. Je respecte la Princesse qui est maintenant mon maître. Je ne veux pas la bombarder de questions auxquelles elle ne voudra certainement pas répondre. Malheureusement. Parce que moi, j'ai besoin de savoir.

Sa question ne me surpris qu'a moitier, il avait aimé Aryä plus qu'une simple amitier, ils étaient tous les deux arrivés à la relation ultime que tos les maitre espere un jour avoir avec leur éleve, une relation proche de l'amour qui dépace ce sentiment tout en étant moin fort, la relation de confiance absolue. Je ne savais comment lui expliquer tous cela, sans le blesser, il avait besoin de temps pour ce refaire hors il n'en avait pas. Je soupira souris aux étoiles et commença:

" Oui et non. Une relation maitre éleve dépace le stade de l'amitier simple sans pour autant franchir la limite de l'amour. On dit que c'est une raltion de confiance absolue. Un maitre choisi son éleve mais c'est l'éleve qui choisi le maitre. c'est compliquer pour un apprentie, mais pour que cette relation ce face il faut une confiance parfaite entre les deux etre. et non pas un simple eleve qui suis son maitre aveuglément. Non c'est plus que cela. La relaion de confiance absolue est un relation complexe qui permet au deux etre lier de sentir et de comprendre l'autre par un simple regard."

Je lui avait expliquer comme j'ai pus, mais sa tete bouillonner de trop de question pour qu'il comprenne exactement l'étendu de la relation ui le lier à la défunte Aryä. Je leva la tete vers les étoiles et la lune dont les rayon faisait de nouveau syntiller mes cheveux d'argents. Nous marchions lentement et une idée me vint:

" Kamael, je vais te laisser jusqua demain soir pour me poser toutes les questions que tu voudras, j'y répondrais si je le peu. Une fois ton esprit appaissé, nous pourrons commencer ton apprentissage."