Drame [pv]

Je la sera contre moi. Me perdre? qu'elle idée bizare. Jamais je ne pourrais vivre sans elle, plus jamais je ne pourrais. Son bonheur était un besoin vital beaucoup plus grand que le sang. Ses paroles amenèrent un doute en moi, mais je refusais d'y penser. Lui faire perdre une parti de ce qu'elle était, hors de question. Je m'interdis même d'y penser une seule seconde. Quand je lui répondit en la serrant pllus fort contre mon torse de glace, ma voix était calme et pleine d'amour:

" Me perdre, voyons gretchen, jamais tu ne me perdra. Je serais toujour là pour toi. Pour l'éternité."

Ma derniere phrase, je l'avais murmurée, elle signifié l'évidence pour moi, si elle vennais à mourir je la suivrais de prés dans l'autre monde,...

J

"Je pense vendre cette maison."

Je me leve, vas vers elle, referme mes bras autour d'elle alor que je suis toujours dans son dos. Son parfum m'ennivre une nouvelle fois, prennant une grande inspiration, puis une autre, respirant inutilement à plein poumon pendant quelques minutes, laissant l'instant durer. Puis un murmure sort de mes levres, tout proche de son oreille:

" Tu sera toujour la bienvenue chez moi"

C'était une évidence, mais la prononcer lui donner une contennace, la rendait matériel. Ressérant mon étreinte, je la fit tourner dans mes bras, pour qu'elle soi face à moi. Je l'embrasse sur le front, baiser protecteur dont je ne me lasserais jamais.

J

"C'est sûr que chez toi ce sera mieux qu'autre part."

Je souris, tendrement à mon habitude. Je passa une main deriere sa tete et doucement lui enleva son bandeau. J'adorais ses yeux, nous étions seuls,... Elle n'aurait pas peur. Je l'éloigna de la fenetre, posa son bandeau sur la table et m'assis sur le fauteil du salon. L'embrassant une nouvelle foi, ne me lassant pas de la sensation si spécial de ses levres sur les miennes. Carressant les courbes si parfaites à mes yeux de son corps, de son visage, m'attardant sur sa joue, son cou. Je lui dit:

" La vie éternel n'as plus de raison d'etre si tu n'est pas auprés de moi pour la partager, je ne pourrais plus jamais vivre sans toi."

Je lui avouer enfin,... je lui disais, à ma façon certe, que si elle vennait à mourir, je la suivrait dans l'autre monde sans ésitation. Puis une idée me traversa l'esprit, elle ne voulais plus rester ici, ma maison n'étais pas loin.

" Veux-tu déménager maintenant?"

J

"Allons-y, je n'ai rien à moi dans cette maison..."

J

Son bandeau remis nous sortime de la maison, main dans la main. J'avais revéti ma cape qui me couvrait tout le corps ainsi que mes gants de satin blanc. je ne pouvais me montrer au soleil dans cette capitale humaine. Souriant à la belle qi me tennait la main je me laissa entrainer vers ou elle souhaiter, nous pourrions toujour aller chez moi plus tard, pour l'heure nous allions nous ballader. Nous étions tout les deux, ensemble, pour l'éternité. Et notre amour ce voyait. Resserrant ma prise sur sa main, je l'entrainna dans les ruelles sombre de la capitale, là ou je n'avais pas besoin de me cacher. Ce fofillant entre les maison, nous arrivons finalement chez moi.

Belle demeure dans le quartier noble de la ville, Je fit entrer Gertchen. Avant de la laissant découvrir l'endroit à sa façon. Je la pris dans mes bras une foi la porte fermer, l'embrassa tendrement:

" bienvenue chez toi ma chérie"

J

"C'est une très belle maison Arän."

Je n'avais pas bougé, la laissant découvrir les lieux. Je ne bougerai plus rien aprés, je n'avait d'ailleur jamais changé la place des meuble. ses mots me firent sourir, oui belle demeure dont j'était asser fiere. L'argent n'était pas un probleme pour moi, en 200ans j'en avais ammassé une quantité asser importante. Depuis que j'avais cette demeure, aucune femme n'y était rendée sous mon invitation, à par la femme de ménage qui ne fesais que la poussiere d'ailleur. Une touche féminine manquait, et elle était enfin arrivée. Je souris, m'approchant de Gretchen:

" Une idée que tu ne vas certainement pas aimé vien de me passer par la tête. Je souhaiterai t'offrir de nouveau vetement, et pourquoi pas une belle robe."

Je le regardais, l'admirais, attendant calmemant qu'elle accepte, j'étais prés à négocier pendant des heures si il le fallait, mais,... qu'elle le veuille ou non, elle aurrait une garde robe neuve.

Je m'approcha de Arän et écouta ce qu'il avait à me dire. Une robe ?! Je n'en ai jamais portée à vrai dire. Depuis mon accident, non et j'en ai porté une à la seule fête d'école que j'ai fait. Cette robe je l'avait emprunté à ma mère. Elle était belle. Je me trouvais tache à côté de la robe. Depuis je n'en ai jamais porté. Aucunes. J'ai toujours évité de porter des robes. Je préférais prendre un pantalon et un maillot. Je n'avais jamais repenser en porter une un jour. Pas depuis ce jour là. D'ailleurs cette fête s'était passé très mal pour moi. C'est ce jour là que l'on m'annonça la mort de mes parents. Et je portais SA robe. Je n'ai jamais aimé les fêtes et celle-là fut la pire. déjà que la joie et la bonne humeur ne faisait pas partie de moi, je n'ai pas arrêté de pleurer et de me trouver à l'écart. C'est comme ça que je vis, à l'écart, à côté de tout le monde. Dans un autre monde. Dans un monde où les gens ne se dessine que grâce à mes trois sens restant. L'odorat, le toucher, l'ouïe. Mettant le dernier de côté puisque le goût ne m'est pas utile pour ce genre de chose. JE caressa la joue de Arän et lui dit en souriant.

"Si tu le souhaites Arän, je veux bien mettre une robe. Pour toi..."

UN sourir joyeux illumina mes traits. Elle acceptait ma proposition sans rechigner. J'étais plus qu'heureux. Je lui pris la main, l'entraina dans la chambre. J'avais gardé quelques robes qui appartenait à Leslie et à ma mere. J'ouvris la garde robe, pris les 3 robes qui s'y trouvaient et les posa délicatement sur le grand lit dont je ne me servais jamais. La premiere était une robe bleu clair la taille était assez simple. la seconde était un peu plus saufistiqué et je l'aimé plus que tout, elle appartenait à ma mere, elle était verte emeuraude, au soleil elle briller de reflet argenté, constituée de satin. La derniere était rouge,et en velour avec un ceinture carmin. Jolie mais sans plus. Je pris gertchen dans mes bras, et lui dit:

" J'ai poser 3 robes sur le lit, choisi-en une. Je t'aiderai a l'attaché si tu n'y arriv pas seule. Pose moi des question si tu veux savoir des choses. Aprés,... je t'emmenerais faire les magazins."

j'étais aux anges, je l'embrassa et la laissa choisir sa robe.

J

"Elles sont trop belles, je... je ne peux pas porter ça..."

C'

Je lui sourit, la pris dans mes bras. J'avais remarqué une légere ésitation sur la robe emeuraude. Si elle lui plaisiat, je la lui offrait avec plaisir.

" Prend en une, aucune n'est trop belle pour toi. Choisi en une S'il te plait."

Je l'embrassa gardant une main dans son dos, j'attendit qu'elle me désigne la robe qu'elle avait choisi. Même si j'avais deja mon idée. De plus, si elle porté une robe, elle devrais laisser ses armes ici, en tout cas les plus voyantes. Et ça m'offrait une merveilleuse excuse pour la protéger.

J

"Voilà, j'ai fait mon choix."

J'

Elle était magnifique. La robe lui allait à merveille et moi j'étais évidement sous le charme. Je m'habilla également mieu, enlevant mes vetement de chasse pour mettre ce de ville, et pouvoir me mouvoir dans ce monde sans trop attirer l'attention. Elle par contre allait etre l'objet de tout le regard, et ma fiereté. La seule chose qui n'allais pas était son bandeau rouge, sa robe étant verte les deux couleurs n'allaient pas bien ensemble. Calmement je sorti un morceau de tissu en satin vert, le même que la robe et le lui tendit:

" Ta robe est verte et ton bandeau et rouge. Prend celui la, il est de la même couleur que ta robe, cela crééra une harmonie parfaite."

Lui carressant la joue d'un revers de la main j'ajouta dans un murmure:

" Tu est sublime ma chérie"

J

"Toi aussi Arän..."

U

Nous sortime ensemble de ma maison, main dans la main. Les soleils étant de soti je mis ma cape de "noble" ainsi que mes gants avant de sortir m'excusant au passage pour le désagrément qu'elle pouvait en ressentir mais c'était une précaution obligatoire si je tennais à la vie. Je l'entrenna donc dans les rues de la ville. Je me dirigeais vers les quartiers ou les tisserants étaient nombreux,, ils n'étaient pas aussi douer que les tisserants des hauteur de la ville, mais j'avais deviné qu'elle ne serais pas à l'aise dans le monde de la bourgeoisie. Les gents que nous laissaient passer, les hommes la dévorant du regard, les femmes examinant notre couple avec réserve. Moi je souriais, j'étais heureux de m promener avec la plus belle créature sur terre, enfin à mes yeux du moin. Nous arrivions devant un magazin, le gérant était de ma connaissance, j'entra, l'entraina avec moi et lui dit à l'oreille.

" Il y a ici tous ce que tu désir, pantalon, maillot, robe... Tu a juste à demander."

J

"Ça ne prendra pas longtemps. Je sais ce que je veux."

J

Rien ne lui plaisait,... pas grave il y avais d'autre boutique toute plus belle les une que les autres. Je l'emmena donc dans un autre magazin, celui la même ou j'avait pri l'habitude de commander mes tenue de chasse. Elles étaient élégante, rafinée et résistante. Apres un échange bref avec la couturiere elle accepta de s'occuper de Gretchen.

" Ma chérie, cette jeune femme est à ton service. Dit lui ce que tu désir elle te présentera les choses."

Je l'embrassa sur le front avant d'ajouter dans un murmure

" reste là tant que je ne suis pas revenue, je n'en est pas pour longtemp, ici tu ne risque rien."

Je parti donc, pour un magazin proche, une bijouterie trés exactement, j'avais envie de lui offrir autre chose,...

Je me demandais bien qu'est-ce que je risquais. Depuis que j'ai pu partir seule dans les rues, je vagabonde ici. Je n'ai jamais eu du mal à part il y a quatre ans mais c'est une exception. Je visita le magasin discutant avec la couturière. Un habit me plus. Je lui expliqua que je viendrais le chercher demain et on continua de parler. Elle répondait à mes question sans elle même en demander. De toute façon entre elle et moi la seule qui pouvait savoir la vérité c'était moi. Je lui posais des questions toutes plus étrange que les autre. Surtout sur le vêtement que je voulais prendre. Je lui demanda même sa souplesse. Elle me répondit que tout dépendait de l'action qu'on effectuait. Une réponse qui ne me plus pas mais j'ai cru observer que l'habit était très souple. Nous regagnâmes l'entrée du magasin et je la remercia avant qu'elle parte. J'avais sentis en elle, qu'elle se demandait pourquoi tout ces question. Je pris Arän par la main quand il rentra dans la boutique.

"J'ai choisis. Je viens le chercher demain."

Je revint au magazin ou j'avais laissé Gretchena alor qu'elle était en train de prendre congé, elle c'était trouvée un vetement, parfait. Dans une poche de ma cape, le petit paquet attendait son heure. La prennat par la main je l'emmena alor vers un parc, qui ce situer au centre de la capitale. Un banc était libre, et les arbres nombreux en ce lieux donnaient une ombres permanente, ce qui me permit d'enlever ma cape et mes gants. Nous nous installiäme sur le banc. Puis lentement je passa ma main dans la poche ouvrit le paquet qui renfermé le present pour elle et lui dit:

" Tien ceci est pour toi."

J

"C'est magnifique Arän..."

L

Je fut ravis de sa réaction et accepta son baiser avec bonheur. Je lui attacha le collier avec délicatesse, laissant mes mains froide sur son cou, et l'attirant a moi pour un nouveau baiser, plus tendre et plus passionner. Je faisais toujour attention en l'embrassant, mes crocs étaient enduitent de venins et je ne voulais pas arrété sa vie si jeune. Rompant doucement l'union de nos levres, carressant tendrement les courbe de son visage descendant sur son cou pour épouser la forme de la pierre en exagérant, formant ainsi un coeur avec mes doigts sur sa peau si douce.

" C'est de l'or, et le pendentif, c'est un coeur de rubis, image du mien aussi froid et dur que moi."

je lui sourit même si elle ne le voyait pas. J'étais heureux et sa elle le ressentait.

J'

"Je t'aime..."

U

J'eu le souffle coupé. Ses mots, la premiere foi qu'elle les prononcée, un bonheur immence s'emapra de moi. Je la pris dans mes bras et la fit tournoyer pendant plusieurs minutes. Je la posa enfin au sol, l'embrassa. Les limites que je m'étais imposés explosèrent, je la serra contre moi. Le bonheur ocasionnés par ses mots n'avait plus de limite.

" Je t'aime aussi Gretchen"

La voix pleine d'amour, les levre sur son cou, ses joue, ses levres,... Je ne me lassais plus de l'embrasser et de lui répéter ces mots.