Une rencontre ... ( PV Arän Karachy )

En allant à l'ombre, je fusillai le ciel du regard. Tandis que lui me demandait : comment un être aussi mignon, peux-t-il être aussi agaçant. Une question purement réthorique auquel je décidais de répondre tout de même avec un léger sourire qui traversa mon visage :

- Le talent mon chèr, le talent.

Il me confia qu'il tuer ses victimes, par pure plaisirs, et qu'il m'avait murmurés ces mots pour le simple plaisirs de voir ses victimes avoir peur. J'étais dégoutés. Cette hommes avait été un sadique. Il est tué. Le simple regret que j'avais, était celui de ne pas avoir pu le faire moi-même. Dégouté, il se détourna de moi, mais ne partit pas cette fois-ci. J'étais en colère. En colère, contre ce monstre qui tuait ses victimes par simple plaisirs. A cause de lui, j'avais perdue ma vie, ma famille, et l'amour de ma vie. A cause de lui, je ne pourrai certainement plus jamais refaire ma vie, par crainte. Brulante de rage, je donnai un coup de poing dans l'arbre qui se cassa en deux et alla attérir 10 mètres plus loin. Puis me revint, en mémoire, qu'il m'avait dit que s'était d'autres vampires qui l'avait tuer. Cela veut dire, qu'ils avait été plusieurs a le tuer. Est-ce que ... ? Non cela ne pouvait être eux. Mon Dieu, si s'étais ceux que je pensais, moi et quelqu'un d'autre avaient un risque énormes, sur nos épaules. Et m**de, manquait plus que sa. Je n'ai pas le droit d'avoir une vie bien tranquille, comme avant ? Apparemment non, entre mes dents sérrés, je lui demandait :

- Ces vampires qui l'on tué ... décris les moi.

Il me raconta qu'ils étaient trois, tandis qu'il s'asseyait dans l'herbe je le rejoignit et m'assit à cotés à environ deux mètre de lui, leur corpulences étaient fine, l'un avait les yeux couleur de sang, et deux autre avec la même couleur que les miens. Il me confia que le combat avait duré trois minutes, et que s'était la seule chose qu'il avait la force de me dire. Il s'allongea, épuisée. Non pas physiquement, mais mentalement plutôt, andis que moi, je restai assise :

- Merci, tu viens de m'apprendre des choses qui me soulage.

Je lui avait dit que j'étais soulagés. En réalités je ne l'était qu'à moitiés. Ce n'etait pas les hommes que je croyais. Mais, il fallait que je sois prudente, que la personne que je protégée et moi-même devait être prudente. Je lui tournai la tête regardant au loin, deux animaux qui se battaient. Des rhinocéros. Je sentis son regard dans mon dos. Un regard interrogateur et curieux.

- La ville ou tu vis, elle est comment ?

Il me sourit. Et me demanda si je me renseignais sur mon futur lieu de vie. Mais je voyais bien qu'il voulit partir chez lui. C'est vrai que cela m'interessai de vivre la-bas. Et peut-être que ce serait plus facile, de vivre avec ma protéger. Oui, ce serait bien plus facile si je vivais, dans une ville d'humain :

- Oui, ta ville m'interresse. Et, je pense que c'est un bon lieu d'habitation. Et je pense aussi que je vais m'y installer.

Oui, s'étais une bonne solution. Les vampires qui faisait ... cette loi, ne devait pas trouver la fille. Et je ne pense pas qu'il viendrait la cherchait dans une ville d'humain.

Il me dit de venir, si je le souhaitais, et m'informa de demander un M.Karachy si je venais à le chercher. Il me fis savoir aussi qu'il était assez connu dans sa région. Sa ne m'étonnai pas qu'il soit connu dans sa région. Il avait un sourire angélique au lèvres. Un petit signe de la main, commença à parit rse ravisa, fit demi-tour et et déposa un bisou sur mon front. Ce geste était protecteur nulement sous-entendant. Il me murmura à trés bientôt Miss Pevensie. Puis il partit trop vite pour que je le suive. Cette ville d'humain, qu'il venait de mentionnait m'avait l'air assez bien, pour que je m'y installe. Cela représentait quelque inconvénient. Faire les courses, pour sauver les apparences. Mais il valait mieux prendre quelque des petites choses enquiquinante, et avoir la sécurité, que le contraire. Je rentrai chez moi. Dis quelque petit mot à mon protéger. Des mots pour le réconforter :

- Ne t'inquiète pas, tout va bien se passer. Je pars pour quelque heures. Mais je reviens vite. Tu as tes médicament à prendre dans 1H35 et 28 secondes.

Ma voix s'était faites douce, pour le rassurer. La tension n'allait pas arranger sa maladie. Cela fonctionna, il s'était appaiser. Je courus à une vitesse hallucinante vers la ville en question. Je trouvai, une maison dans cette charmente petite ville. Mais je dus un peu abuser de mes qualités de vampire pour que l'homme qui la vendait accepte pour que j'emménage cette nuit. Il finit par accepter, et me tendis les clés. Je lui versais la somme d'argent qui me demandait en liquide. Il en fut surpris, mais ne commenta rien. Une nouvelle vie allait commencer. Une vie que j'éspérais sans problème.