Drame [pv]

Drame

[pv] Arän Karachy

J'avançai sans peur dans cette ville que je connaissais bien. Arän me suivait sans mot. Je voulais lui montrer cette famille qui m'avait accueillie. Et je voulais revoir Jana et Maïwen leur fille jumelle. Je les aimais beaucoup toutes les deux. Je connaissais bien cette famille et je savais que si j'entrai dans leur maison avec Arän, ils ne poseraient pas de questions trop embarrassante. C'est aussi pour ça que je les aimais bien. Depuis quatre ans je vivais avec eux. Nous arrivions bientôt. Quand j'ouvris la porte, mon sourire s'estompa. Je sentais une odeur étrange. Cette maison d'habitude à la senteur de rose, sentait maintenant la mort. J'entendis un bruit. J'accourra dans le salon et remarqua la fuite de quelqu'un. Ce n'était pas une des personnes de cette famille je le savais. Je m'accroupis après avoir tapé contre quelque chose qui n'était pas là avant. Je sentis quelque chose de froid, un corps. Je me releva en un bond faisant tomber une table. Je me retrouva dos au mur. Me laissant tomber sur le sol, je replia mes genoux contre moi et cacha mon visage de mes mains. Des larmes coulaient le long de mes joues. Je ne pouvais pas arrêter de pleurer. C'était pour moi impossible. C'était le père de cette famille qui était allongé sur le sol. Me ressaisissant je me releva et découvris le corps de la mère. Quand j'entra dans la chambre des jumelles j'entendis des pleures autre que les miens. Les pleures de Jana. Je m'avança vers elle et la pris dans mes bras. Lui murmurant des paroles douces à l'oreille. Je sentis le corps de Maïwen sa sœur. Elle était vivante mais quelque chose avait changé. Ce n'était plus une humaine. Je posa Jana sur le sol et m'approcha de sa sœur. Je sentais la douleur en elle. Je la pris dans mes bras, elle était inconsciente. Je ne voulais pas la perdre. Je continuais de pleurer. Pourquoi faire ça à cette famille. Pourquoi ?

Avans même de rentrer dans cette demeure je le senti. Un vampire, cette maison sentait la mort et la désolation, un vampire avait oeuvré ici. Gretchen avait dejas passé le seuil de cette maison maudite, je la suicit en un éclair, il ne lui ferait pas de mal. Mais,... il était deja parti. Gretchen était éffondrée mais elle ce reprit trés vite et connaissant la maison elle alla voir les jeunes filles dont elle m'avait parlé. Moi prudemment, je renifla l'odeur du vampire, m'inprégnant de son parfum de tueur pour le retrouver plus tard,... il connaitrais ma colere plus tard. Puis constantant le décés des deux adulte je me rendit dans la chambre des fillettes, l'une était idem, l'autre,... allongée sur le sol mais désomé dans les bras de Gretchen, était en pleine mutation. Je m'approcha, évitant le fillette humaine je me penchant sur sa soeur, la mutation était trop avançée pour que je puisse l'inverser. Eloignant Gretchen, je pris la petite dans mes bras, elle était inconsciente, je la mis sur le lit le plus proche. Une foi allongée, je regarda Gretchen qui avait repris l'autre petite et la consolait prennant une voix la plus humaine possible afin de ne pas affoler les petites je parla a Gretchen:

" Je ne peux plus rien faire pour elle, je m'occuperai d'elle une foi sa transformation terminé, elle a était mordue. Je suis navré Gretchen. Occupe toi des filles, je vais,... m'occuper du reste."

Je sorti et commença à m'activer, à vitesse vampirique, pour aller le plus vite possible. J'avais également fermé la porte, les humains n'avait nullement besoin de savoir ce qui c'était passé ici. Je néttoya tout ce qui était possible, tranportant les cadravres des parents dans leur chambre, nettoyant, la piece où ils avaient succombé sous les crocs d'un de mes semblables.

J'avais perdu ce qui m'étais le plus cher au monde. Je pris dans mes bras la jeune Jana qui pleurait tout comme moi. J'essayais de la consoler mais elle continuait de pleurer. Je ne voulais plus que... Non. Ce n'est pas ça faute. Gretchen reprend toi. Ne t'éloigne pas de lui parce qu'un vampire à tué ta famille. C'est horrible mais pas lui. Il était avec toi. Ce n'est pas sa faute. Épargne le de ta colère. Il ne mérite pas que tu le traite ainsi. Il t'aide après tout. J'essayais de reprendre la raison, serrant fort Jana dans mes bras. Leur vie ne serait plus la même pour ces petites. Elles seront éloigné l'une de l'autre. Moi je devrais rester plus longtemps ici. Plus de temps qu'avant. J'ai négligé cette famille. J'aurai du rester cette fois. Rien ne leur serait arrivé. Pas à eux. Je sais que battre un vampire est impossible mais dans ce cas je ne serais pas morte pour rien. Je serais morte pour eux et elle. Je sentais les mouvements de souffrance de la petit Maïwen mais je ne devais pas m'approcher. Jana non plus. Rien ne serais plus pareil. Je mis Jana dans son lit et continua de la réconforter. Bientôt elle s'endormirait, l'épuisement augmentait en elle. Mais je ne pourrais pas la laisser. Ce ne sont pas des rêves qui la réveilleront. Mais plutôt des cauchemars. Elle s'endormit d'un seul coup. Un sommeil profond. Maïwen arrêta de se débattre, plus inconsciente que tout à l'heure. Je sortis de leur chambre et laisse la porte entre ouverte. Tout était déjà déplacé. Arän s'approcha de moi et je l'évita d'un mouvement souple. Les larmes coulaient encore sur mes joues. Je partis dans la chambre des parents et reviens peu de temps après. Il était toujours là, dans le salon. Devant moi. Je ne suis qu'une gourde. Pourquoi lui faire du mal à lui.

sa souffrance me fait mal. Mais comment lui en vouloir, même si je n'éprouver pas d'attirance pour les humains, je restais un vampire. Elle m'en voulais d'un certain point de vue. Quand elle m'esquiva, la douleur fut approxiamativement similaire a la douleur d'une épée de feu dans la poitrine. Pourquoi? Parceque je ... non rien. Elle revint aprés peu etre s'etre assurée de la mort des parents, moi je n'avais pas bouger, pas d'un seul milimetre. Elle pleurait, et la souffrance accasionnée par ces larmes fut insoutenable pour moi. Alor je parla, les fillettes dormaient plus ou moin, je repris donc ma voix habituel:

" Gretchen, je comprendrais si tu ne veux pas que je reste, mais sache que même si tu me met à la porte je resterais dans les parages."

la souffrance dans ma voix était perceptible, quelque soi sa réaction, je ne le laisserais jamais.

C'est ma faute ne t'en veux pas. Je te fais du mal alors que tu m'aides. Je regrettes mon geste. T'éviter m'a fait comprendre certaines choses. Ce n'est pas ta faute je ne dois pas t'en vouloir. Pas à toi. A cette personne qui est partie si vite mais pas à toi. Les filles dorment et je viens de fermer les yeux à leurs parents. Je ne veux pas que tu partes. J'ai encore besoin de toi. Je ne suis pas assez forte pour rester toute seule. J'enterrerais les parents quand le temps m'en donnera l'occasion. Je me débrouillerais pour m'occuper de Jana mais je ne peux pas garder Maïwen, je le sais. A grand regret, j'aurai tant aimé qu'elle reste près de sa sœur. Elles étaient liées et inséparable. Il faut qu'un vampire assoiffé de sang les séparent, peut-être pour la vie. C'est triste. Je n'arrive pas à arrêter mes larmes. J'aimais cette famille plus que tout. Je voulais les protéger. Jamais je n'aurais pensé que ce genre de truc leur arrive à eux. Ils étaient gentils, si gentils. Ils ne posaient pas de questions qui mettent mal à l'aise. Ils ne demandaient rien en échange de leur hospitalité. Moi j'aurai aimé les aider. Ils m'ont tout donné. Je crois que tu peu comprendre. Mon bandeau était maintenant trempé. Mes joues ne séchaient pas, les larmes continuaient de couler. Je m'approcha de toi encore un peu. Je suis désolée Arän. Si tu savais. La douleur que je ressens est immense. Je ne tiens plus. Continuant de pleurer je me jettes dans tes bras. Je sais que tu ne me laisserais pas. Mais reste avec moi. Ma voix ne fut qu'un murmure.

"Reste... s'il te plait..."

Sa souffrance était perceptible comme son désaroi. Quand elle ce précipita dans mes bras, je referma mes bas autour d'elle. Lui carressant les cheveux, la rassurrant. Quand a sa demande, pfff évidement que je restais, je ne pourrais jamais la laisser, plus jamais je ne me séparerais d'elle.

" Je te le promet, je reste prés de toi"

Murmure tendre, ma souffrance s'estompais. Je desserais les dents, me détendais petit à petit. Je la pris dans mes bras, la porta jusqu'a un fautueil proche, je m'assis, elle sur mes genoux. Il fallait qu'elle ce calme si la petite ce réveillait, il fallais qu'elle soi là. La carressant tendrement,ma voix s'éleva:

" calme toi Gretchn, il ne faut pas que la petite te vois ainsi. Je m'occuperais de l'autre, je la transformerais en végétarienne, elle pourrat rester avec sa soeur, si on lui apporte du sang chaque jour. Je m'occuperais d'elle ne t'inquiete pas. Tu a besoin de dormir, repose toi. Je te réveillerais si elle se réveille."

J'aimais son contact, il me rassurait. La fille pourrait se réveiller en effet. Mais je ne dormirai pas. Je ne peux pas. J'aurai pu mais non. Mon sommeil serait perturbé, et maintenant que je suis là... avec toi, je ne peux pas. Je pourrais dormir comme un enfant mais non. Je ne veux pas dormir. Les larmes commençaient à ne plus couler. Doucement je me sentais m'apaiser. Je me sentais bien avec lui, contre lui. Je passa une main dans mon cou et enleva doucement mon bandeau. Le posant délicatement sur une table juste à côté du fauteuil. Je savais exactement sa hauteur et son emplacement. Le bandeau sècherait plus vite sur la table que sur moi. Les larmes ne coulaient plus sur mes joues. Je me redressa doucement, restant sur tes genoux. Non. Je ne dois pas dormir. J'aurai aimé que ce moment dur plus longtemps mais en même temps je voulais retourner dans le passé. Quand rien de tout ça ne serait arrivé. Je caressa ma main, parcourant ses lignes avec douceur. Je me rappelais une ancienne berceuse que ma mère me chantait. Une berceuse que j'ai moi même chanté, à ces deux filles dans la chambre. Mes deux sœurs. Elles avaient environ 12 ans de moins que moi mais nous étions si proche. Je tourna la tête vers Arän et lui sourit. Un sourire mélancolique certes mais un sourire quand même.

"Non. Je ne peux pas dormir. Je dois rester éveillé, pour elle."

Elle enleva son bandeau, pour mon plus grand bonheur, me perdre dans ses yeux était merveilleux. Même si il luisaient encore des larmes qu'ils vennaient de verser. Tu ne veux pas dormir, c'est ton choix, fait comme tu veux. D'un doigt je seche tes joue, si douce sous mon toucher de glace. Son sourir meme si il n'avait pas la même saveur que celui qu'elle m'avait affert dans la clairiere me fit plaisir. Je lui rendit ce sourir, le mien était mélancolique égalment mais sur mon visage angélique de vampire,... comment cela pouvait-il etre? Je me le demandais. Une main sur ses hanches, l'autre carressant les courbes parfaites de son visage, je l'admiré.

" D'accor, ne dors pas, mais repose toi un peu au moin."

j'attrapa une couverture qui ce trouvait là, l'enroulant autour d'elle afin qu'elle échape à ma froideur, puis la baisant sur le front. Je la serra contre moi.

Non. Ne m'empêche pas de sentir la froideur de ta peau. J'aime beaucoup ce contact. Tu m'enlèves ainsi la douceur de ta peau. D'une main tu caresse ma joue, de l'autre tu me tiens à la hanche. Jamais je n'aurais imaginé que Arän me prendrais sur ses genoux. D'ailleurs je n'avais jamais imaginer tenir tant à lui et m'approcher si près de lui. Rien de se qui se déroulait maintenant ne m'avait traversé une seule fois l'esprit. Je me laissa serrer contre lui. Je voulais penser à autre chose. Les évènements présents étaient assez choquant. Je continuais dans les surprises depuis tout à l'heure. Qu'il me sert contre lui, qu'il reste, qu'il me prenne sur ses genoux et essuie mes larmes. Rien de tout cela ne m'avait laissé sans réaction. Des frissons parcouraient souvent mon dos. Je me sentais bien ici. J'entendis un cri, Jana. Je bondis et accouru dans la chambre, pourtant silencieuse. Je me pencha sur Jana et lui murmura des paroles réconfortantes. Elle dormait mais elle m'entendait j'en étais sûre. Je chantonna alors cette berceuse si cher à mon coeur. Le plus bas possible même si je savais qu'Arän pouvait m'entendre. Quand elle s'apaisa enfin je lui fit un baiser sur le front et retourna dans le salon. Je laissa encore une fois la porte ouverte et souris à Arän. Rien de grave. Elle ne s'était même pas réveillé. Lui expliquer certaine chose serait difficile. Mais elle comprendrait. C'est une fille intelligente. Je m'assis sur le canapé qui était près du fauteuil et passa une main dans mes cheveux. Tout ça était bien trop compliqué.

Des frissons la parcourrait, mais pas de froid, pas du aux froid que je dégageais. Ressentait -elle la même chose que moi? L'enrouler dans cette couverture me privant anisi de son contact était une torture pour moi, mais necéssairent pour le maintenir vivante. Un cri retenti, la petite. Je la laisse y aller, elle la rassure, la berce de sa voix si belle puis me revient. Elle ce couche sur le canapé prés de moi, un nouveau sourir illumine mes traits, si belle, si fragile, si timide. Je m'accroupit a coté d'elle, passe une main sur son visage puis la laissant ce perdre dans ses cheveux. L'autre lui attrape les mains, tandis moi moi je la dévoire du regard. Je ne me rapelle plus ce qu'aimer fait, mis cela doit ce rapprocher de ce que je ressent. Soupir, de bonheur, avec une teinte d'amertume. Pourquoi une telle tragédie à un moment si magnifique dans mon existance éternel? Mais, c'est une humaine et moi un vampire, amour impossible, ou à sens unique. Quoi qu'il en soi, je serais là. Je me penche lembrassant sur le front avec tendresse.

Oui. Impossible. Il faudrait que je devienne éternel pour que ça puisse marcher. Je n'ai aucun moyen de devenir éternel. Tout espoir m'abandonne. Devenir vampire serait... Non. Je ne peux pas et je ne veux pas. Je ne suis pas née pour être vampire. Dragonnier encore moins. Pour cela il faudrait que j'abandonne Jana et Maïwen pendant un temps indéterminé et je ne veux pas. Rien que l'idée de ne plus pouvoir penser toute seule me fait peur. Je pense à tellement de chose intime et différentes les unes que les autres. Se serait la confusion totale si à mes pensées se rajoutaient celle d'un dragon. De toute façon nous avions au moins une centaines d'années de différence si ce n'est pas plus. Tout devient flou. Je n'aime pas ça. Ne plus comprendre où j'en suis. Devoir faire un choix. Devoir me perdre dans ma tête pour répondre à certaines questions. Je ne pouvais pas avoir d'espoir. Je n'avais plus aucun espoir. Je savoure le contact de sa main contre les miennes. Le sentir caresser mes cheveux doucement. J'essaya d'articuler quelque chose.

"Je... tu..."

Voilà où ça me menait. Je n'étais même pas capable d'aligner deux mots l'un à la suite de l'autre. Je commença à m'empourprer, comme d'habitude. Je tourna la tête mais pas vers le dossier du canapé. Vers sa tête à lui. Je souris et ferme les paupières. Une larme roula sur ma joue. De tristesse ou de joie je ne serais le dire. Mais elle fut unique.

Larme unique qui m'empli d'une impréssion étrange, entre bonheur absolu et tristesse infini. je l'essui tendrement, jamais encore je n'avais fait sa. Etre aussi proche d'un humain, ne désirer que son bien,... Comment était-ce possible, comment moi, un vampire de 200 ans puis-je tomber amoureux d'une humaine? Un sourir tendre ce dessina sur mon visage, carressant sa joue d'un revers de la main:

" Oui moi aussi."

Réponce aux paroles qu'elle n'avait pas réussi à prononcer mais que j'avais comprise. Amour impossible qui nous rongeaient toud les deux.

M

"La vie à fait de nous ce que nous sommes. Et on ne peux malheureusement rien n'y faire."

Je comprennais, nous ne pouvions pas nous n'avions pas le droit de trahir ce que nous étions. Déchirement totale de deux partie d'une même personne. La souffrance fut telle que je du arréter de respirer. Elle allait le remarquer mais, ce n'est pas grave, je tennais trop à elle pour la quiter. Jamais je ne pourrais, je resterais jusqu'a sa fin, l'aimant parcequ'il était impossible pour moi de faire autrement. Le destin avait décidé pour nous, la souffrance qui en découlait ne regardait plus que nous désormé. Assise sur le canapé, le regard plus vide que la normal, je savais ce qu'elle avait voulu dire, elle avait fait son choix, moi le mien et il fallait que je lui dévoile.

" C'est injuste mais c'est ainsi. Je resterais auprés de toi et des petites tant que tu me supportera à tes cotés."

PLus promesse que poposition mes mots vennaient de celler mon destin, lié à jamais à cette humaine.

J

"Je pourrais te supporter une éternité si je le pouvais Arän..."

Dans mes bras elle laissa libre cours à son chagrin, la berçant délicatement avec tout mon amour. Répondant à ses paroles par le même murmure que le sien:

" Alor je serais la pour l'éternité"

J'étais puissament heureux et en même tant je n'était qu'un tas de cendre consumé par ma souffrance. Elle aurait pu etre mienne, pour une éternité non négligeable, elle a choisit d'etre humaine pour elle. Tout en elle me rapellais que je l'aimerais toute ma vie et même plus. Même quand on la prendra pour ma mère je continurai de l'aimer du même amour, me consumant intérieurement dans les même secondes qu'elle. Je ne lui survivré pas longtemp et quand elle partirait je la rejoindré dans l'instant, vivre sans elle m'était devenue impossible,... Tout comme notre amour. Mais pour l'heure nous avions une mission, elle s'occuper de la petite humaine, moi de la petite vampire. Ensemble nous réussirons, ensemble nous les protègerons et ensemble nous vengerons leurs parents, SA famille. La berçant toujour, je me mis à fredonner cette berceuse qu'elle avait chanter pour la petite et que je connaissait également. Rare vestige de mon existance humaine.

S

"Où as-tu connus cette berceuse Arän ?"

J

L'effet de la berceuse m'emplit de joie, ses larmes ce tarrirent rapidement, sa main dans mes cheveux fit accélérer mon coeur de marbre et le sourir qu'elle m'offrit enleva un légers poid de mes épaules. sa question me fit sourir, elle dans mes bras, moi la berçant et chantant pour elle, on croirait réver. Je lui répondit néanmoin calmement ma voix empli de l'amour que je n'avais plus à cacher:

" C'est ma mère qui me la chantait quand j'étais enfant, puis plus tard, la femme que j'ai aimé alor que j'étais humain la chantais a sa petite soeur pour l'endormir ou l'apaiser aprés un cauchemard. Je ne l'ai jamais oubliée."

Le contact de sa peau son mon corps de marbre froid était étrange mais si bon,... Sensation exeptionnel pour un amour hors norme qui ce voulait eternel. Je la serra contre moi plus fort, l'embrassa dans le cou, et avec un sourir la vis s'empourprer. Alors que je me perdais dans son regard envoutant, l'idée qu'elle gele sur place me fit peur, dégageant mon regard, je lui demanda tendrement:

" Tu n'as pas froid?"

J

"J'emmènerais Jana dans une famille non loin d'ici. J'ai confiance en eux, ils seront s'en occuper. En revanche je ne connais aucune famille capable d'élever un vampire. Connais-tu une personne de confiance Arän ?"

M

"La chaleur de mon coeur me fait oublier le froid de ta peau. Je ne sens que sa douceur."

Quelqu'un de confiance? Oui ne t'inquiete pas de ça ma belle. J'ai promi de m'occuper de cette petite je tiendrai parole une foi sa tranformation achevée.

" Oui ne t'inquiete pas. Des amis vivant à Elvendil peuvent s'occuper d'elle. Elle y sera accueilli comme leur fille. Et je pourrais toujour veiller sur elle."

La gardant dans mes bras, je l'observai. Si belle, si attirante, j'avais décidément de la chance dans mon malheur. Mon sourir illuminait de nouveau mon visage, je m'assis sur le canapé, Gretchen sur mes genoux. Je ne savais que faire, il fallait déménager Jana le plus vite possible, mais je refusais de la lacher pur le moment. J'orais aimé l'embrasser mais je n'osais pas.

E

"Remet-le moi s'il te plait. J'emmène Jana et je reviens le plus vite possible."

J

Je lui remis son bandeau sans discuter, je devais la laisser partir, pour qu'elle éloigne jana de cette maison et de sa soeur. Mais avant qu'elle ne réveille la petite, je la releva une foi son bandeau remis, me levant également je la pri par la taille, tendrement. Il fallait que j'essaye, quite à me prendre une claque, je l'accepterais mais j'en avais besoin, besoin de celler ainsi mon amour pour elle. Je l'attira contre moi, enfouissant mon visage dans son cou, sentir son odeur, m'impregner de son parfum, même si elle était rapide, elle partirait quand même. Me redressant aprés juste quelques secondes, ma main ce posa sur sa nuque tandis que l'autre restait dans son dos au creux de sa hanche. Je l'embrassa, passionément, fesant attention de ne pas la briser. Rompant le baiser trés vite, je m'éloigna d'elle:

" Vas y sinon je ne te laisserais jamais partir."

Façon détournée de m'excuser, j'étais a moin de 30 centimetres d'elle, pourtant,...

" Je m'occupe de l'autre petite pendant ton absence promi."

I

"Ils sont morts..."

- Morts ?

"Oui morts. Jana ne peux pas rester avec moi. Je voudrais que tu ne lui mente jamais. Tu répondras à ses questions sans mentir. Elle a le droit de savoir."

- Et sa sœur ?

J

Elle emmena la petite dans sa nouvelle famille alor que je me rendait dans la chambre de l'autre pour voir comment sa tranformation ce déroulait. Elle était toujour immobile, elle souffrait énormément mais je ne pouvait rien faire. Je mis mes mains glacées sur son front, prennat la mesure de son coeur,... elle refroidissait vite, son coeur ne battrait plus trés longtemps, et dans 2 jours elle serais animée d'une soif immense. Il me fallait l'éloigner d'ici avant l'achevement de sa métamorphose. Je retourna dans le salon, attendant le retour de gretchen. Quand elle franchit le seuil, j'alla à sa rencontre. Je lui expliqua mon plan en quelques mots. Le voyage ne durerai qu'une nuit mais,... ce serait une nuit de solitude pour tout les deux, l'un sans l'autre.

Deux jour passèrent, la transformation était bientot achevé c'était l'heure de partir.

Je pris la petite Maïwen dans mes bras, embrassant Gretchen avant de parti. je courru jusqu'a Elvendil sans m'arréter. Frappant à la porte de mes amis, ils m'ouvrir et écoutèrent mon histoire sans m'intérrompre. Une foi mon récit achevé je leur demanda de prendre soin de Maïwen, et de ne rien lui cacher, ça c'était un souhait de Gretchen, je ne pouvait lui en vouloir. Ils acceptèrent immédiatement, prommettant de s'occuper d'elle comme de leur propore fille. Je retourna le plus vite possible en ville, auprés d'elle. Fermant la porte deriere moi. Je n'était parti que quelques heures, le jour était a peine levé. Je trouva Gretchen sur le canapé, endormie. Je m'assis sur le fauteil, me plongeant dans la contanplation de l'etre que j'aimais.

D

"Je ne veux jamais te perdre Arän..."

P