Porté disparu... [Miloniä]

Porté Disparu
M I L O N I Ä

J'apparus, au loin, près d'un arbre, assis sur un immense cailloux. J'étais calme et posé, malgré la scène que je venais de vivre il y a à peine une heure. Miloniä avait littéralement perdu les pédales, et est allée jusqu'à me menacer avec sa dague. Sa pauvre petite dague. Une bête comme les autres qui m'avait surement sauvée la vie. Je levais les yeux au ciel, me demandant comment le Malin avait t-il bien pu m'avoir aussi facilement, dans un piège aussi banal. Je serrais les dents, haineux. Il ne fallait pas que je m'emporte de la sorte.
Je me relevais, bien droit, le vent balançant mes habits et mes cheveux à son rythme. J'avais étais stupide ! Je frappais violemment l'arbre devant moi avec une telle brutalité que je le brisa en deux. Mon pied s'enfonça violemment dans l'écorce, de telle manière que je du forcer pour l'enlever. Comment avais-je pu me faire battre si facilement, et en plus de cela, jurer une promesse que je n'étais pas certain de tenir ? Je m'assis de nouveau sur mon rocher, enfouit dans mes pensées.
Je joignis mes mains l'une à l'autre et commença à fabriqué un dessin, d'un outil dont je ne connaissais pas le sens. J'échouais. Manque de concentration. Je mis donc cela de côté et attendit que la rage passe. Le silence c'était installé, et je ne pu m'empêcher de reconnaître qu'un certain bien intérieur c'était emparé de moi, j'étais comme purifié. Je pu alors entendre le chant des oiseaux, mélodieux, doux, berçant. Je fermais les yeux et quelque chose vint se poser sur mon épaule. Un être chantant, léger. J'entre ouvris un œil et observa l'oiseau, qui chanté, insouciant, sur mon épaule. Cet endroit était reposant, et nettement plus accueillant que mon cercueil...

J'avais ranger ma lame une fois qu'il était parti et je m'étais calmée une fois seule. J'avais respiré doucement et profondément avant de me dire que de toute façon il fallait que je m'excuse. Alors j'avais étendu mes ailles et j'étais parti,... Je ne savais pas où chercher alors j'avais envoyer Orage en reconnaissance et c'est lui qui m'avais indiqué un Vampire suspect,... depuis je le suivais.

Nous venions d'arriver au abord de la foret d'Ilurde quand Orage me fit signe,... Je pencha la tete et reconnu immédiatement Alucard. Je souris déscendit tranquillement et me posa derniere lui sans aucune discrétion, mon but n'était pas de le surprendre. Je fit disparaitre mes ailles, avança jusqu'a etre devans lui,... Mais je garda mes distance tout de même:

" Bonjour,... Enfin rebonjour. Désolé de te déranger, je voulais simplement m'excuser,... je ne suis pas totalement remise de cette disparition et en parler me fais souffrir."

Je baissa les yeux, attendant la santence qui viendrais certainement, si il me frapper j'encaisserais, si il m'ignorait je partirais et si il me pardonnait,... Je ne sais pas ce que je ferais.

J'étais calmé à présent. Enfin, pas pour longtemps tout de même car une odeur me vint au nez. Une odeur que je reconnus pas tout de suite et qui m'irrita aux premiers abords. Mais je reconnus vite Miloniä. Un sourire discret se dessina sur mes lèvres alors qu'elle s'approchait calmement de moi, embarrassée. ' Bonjour... Enfin rebonjour. Désolé de te déranger, je voulais simplement m'excuser... je ne me suis pas totalement remise de cette disparition et en parler me fais souffrir. ' Cette réplique me fit rire et je levais la voix, calme :

" Dieu a pardonné à ses meurtriers. Alors tu es pardonnée... "

Si ça avait été une personne normale, je l'aurais tuée sans hésiter, à vrai dire, je n'aurais même pas "fuit". Mais là, il était question d'autre chose... En tout cas, le fait qu'elle vienne s'éxcuser était à la fois infâme pour moi (car je crois que je ne l'ai encore jamais fait) et à la fois brave... Enfin, après, tout dépend du point de vue...

Il me pardonnait? Je leva les yeux vers lui pour vavoir si il ne plaisanter pas,... Il était tres sérieux,... J'eu envie de lui sauter dans les bras pour le remercier,... Mais je n'en fis rien et me contenta de lui dire simplement:

" Merci!"

Je m'assis sur le sol, ne saxhant que dire, que faire,... Il avait parler de dieu,... Ce dieu même qui m'avais abandonné alors que je l'implorais de lui rendre la vie,... Mes yeux s'embuairent et les larmes coulairent doucement sur mon visage autrefois si beau et heureux, devenue si triste en quelques semaines.

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