Legende [pv]

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[pv] Kate Pevensie

O

J'

Qu'est ce que j'avais à m'aventurer, ces temps-ci, à venir dans des endroits aussi peut acceuillant ? En premier lieu, je m'étais promenée à Sogrëme l'Échoué, et puis maintenant, j'étais dans une montagne avec une réputation de maudite, et je marchai en quête de ... si seulement, je le savais. Je marchais, et je n'avais même pas envie de chasser sachant que je les fait, il n'y a que quelque jours, que je venais de le faire et je préférai, même si s'était des annimaux, je préférai limitée les pertes. Aujourd'hui, je m'étais vêtus d'une combinaison en cuir, avec mon épée attachée à ma ceinture, et mon poignard bien cachée dans ma botte, j'avais aussi prévue un petit silex cachée sous le talon d'une de mes bottes. Je ne suis pas autant armés, pour attaquée mais plus, pour me défendre. Me defendre contre un vampire qui était peut-être toujours en vie et qui en avait certainement aprés moi. Une jeune femme vampire arriva dans mon dos, je la sentis, bien avant qu'elle n'arrive à ma hauteur. Je me retournai et lui fis un sourire chaleureux.

- Bonjour, Je suis Kate, et toi comment est-ce que tu t'appelles ?

Moi je viens de nul part. D'ici et de là-bas. Je marche tout le temps. La nuit je m'arrête et regarde la lune. J'étais venue sur Ombreuse pour voir cette lune mais maintenant que je t'ai rencontré je crois que la lune va attendre. Kate est habillée de cuir. Je vois très bien on épée. Je pense qu'elle sait se défendre et qu'elle a prévue de le faire. Contre qui ? Je sais pas. Pas contre moi en tout cas. Je suis peut-être rapide mais a cette distance son épée m'aura atteint avant que je n'ai le temps de lancer ma dague. De toute façon je ne suis pas là pour me battre. Je suis là pour ne rien faire. Parce que je ne vois pas qu'est-ce que je pourrais faire. Mon nom ? Il est simple et je pourrais te le dire. Quand viendra le moment. Je n'ai pas confiance mais je sais que tu ne m'attaqueras pas. Je ne prend donc aucune précaution. J'avance d'un pas et regarde les alentours. Je repose mes yeux gris sur elle et dit d'une voix calme.

"Naïa. J'ai vu la souffrance dans les yeux d'un animal. Crois-tu que c'est cette montagne qui le fait souffrir ?"

Elle me répondit qu'elle s'appelait Naïa et quel avait vu la souffrance dans les yeux de l'annimal. et elle me demanda, si je croyais que s'était la montagne, qui lui faisait cette souffrance. Une trés bonne question. Personnelement, je n'y croyais pas, je lui répondis avec sincérité :

- Personnellement, je ne pense pas que cette montagne soit maudite. Je ne ressens aucune souffrance, peut-être parce que je suis une vampire. Peut-être que l'animal à été bléssé au cours d'une bataille et s'est froissé un muscle, ou peut-être que s'est bien la montagne, mais, je n'en sui pas convaincu.

Je ne pensais pas qu'une simple montagne pouvait faire mal à quelqu'un ou à un animal. Mais plusieurs personne y pensaient fermement. Le doute planait...

Moi non plus je n'y crois pas. Je sais ce que j'ai vu dans les yeux de l'animal. Aucune blessure apparente. Moi je sais ce que cet animal avait. C'est pour ça que j'ai continué mon chemin au lieu d'attaquer. Aucune blessure non. Pas de ce genre là. C'est rare qu'une femelle se batte. Non ? Si. Elle n'étais pas blessé. La montagne n'y est pour rien dans tout ça. Tu aurais du me proposer un autre exemple. Le bon exemple. Mais ce n'est pas un test. Je voulais juste savoir si tu croyais à cette légende.

"Tu as oublié une chose Kate. Je ne t'ai pas dit le genre de cet animal. C'était une femelle. Elle allait mettre bas d'une portée. Un exemple que tu as oublié."

Je lui souris et fit quelques pas sur le côté. Je baissa la tête et regarda la roche. La chaleur se faisait de plus en plus proche mais je ne m'en faisais pas. Je ne mourrais pas de froid. Loin de là. Parce que je suis déjà morte et que le froid ne m'atteins pas.

Elle me dit que j'avais oubliée quelque chose d'important. Une chose qu'une douleur extérieur ne pouvait provoquer. Une douleur intérieur, la naissance d'une portée car l'animal qu'elle avait rencontrée était une femelle et qu'elle allait beintôt mettre bas. Elle me raconta que j'avais oubliée ce détails. Et elle avait raison, je n'avais pas pensée à ce genre de détail. Ce détail ne m'était pas venu à l'esprit, pour une simple raison que je lui confiai, en souriant :

- Je n'ai pas pensée à ce détail pour la raison que cet endroit, est un lieu peu hospitalier pour choisir une promenade avant de mettre bas. Je lui demandai aussi autre chose, Ce n'est pas un endroit pour les animaux, mais encore moins à un être humain. Que viens-tu faire dans un coin aussi hostile, si je puis me permettre.

Je lui avait parlée tout en souriant amicalement. Elle fit quelque pas sur le côtés et u sentir la chaleur montait. Mais s'était une vampire, elle ne devait éprouver si chaleur, à l'instar de toutes autre sensation.

Ais-je vraiment l'air d'une humaine ? J'ai cessé de l'être depuis 195 ans. Je connais la différence entre moi et eux. Je suis de loin une humaine. Mais je ne ferais pas cette remarque. Non. Une question attend toujours une réponse, je donnerais cette réponse. J'irais droit au but. Je repensa à l'animal. Quelle tristesse dans ses yeux verts. Elle cherchait quelque chose de précis ici. Une chose qui s'appelle de l'aide, un mâle. Son mâle. Si ce mâle ne vient pas, elle mourra. Ainsi va la vie. Et nous ne pouvons rien faire. Je lève la tête et regarde le ciel. C'est une réponse simple que je vais te donner. Peut-être ne comprendras tu pas. Mais je ne t'ai pas demandé de comprendre. Juste d'écouter la réponse que tu veux que je donne.

"Cette femelle cherchait une aide. En l'occurrence son mâle. Elle avait la certitude de le trouver ici. C'était de loin une promenade. La lune m'appelle chaque soir. J'avais envie de la voir de là-haut. Mais je me suis arrêté ici. Parce que tu es là."

C'est simple non ? La lune je la regarde chaque nuit. A chaque fois d'un endroit différent. Ombreuse ne m'a jamais accueilli pour que je regarde la lune. Je voulais tester. Peut-être un autre jour. Je reviendrais sûrement ici. J'aime bien ce lieu, cet atmosphère. Tout ça m'accueille les bras ouverts. Tu peux comprendre... Ou pas. C'est ton choix.

- Cette femelle cherchait une aide. En l'occurrence son mâle. Elle avait la certitude de le trouver ici. C'était de loin une promenade. La lune m'appelle chaque soir. J'avais envie de la voir de là-haut. Mais je me suis arrêté ici. Parce que tu es là.

Voila ce qu'elle me répondit. Elle était venu ici pour la lune. Pour l'observai. Chacun aimait son moment de journée. Pour ma part, s'était les levée du soleil avec son coucher. Je les trouvai magnifique.

- Comment peux-tu être si sure de toi ? Face à ce que ressent l'animal. Et puis, ajoutai-je avec un sourire chaleureux, Tu n'es pas obligée de t'arrêter ici, parce que je suis là. Si tu veux on peut regarder la lune ensemble, si tu le souhaites ?

J'avais envie de m'arrêter. Voilà toute une journée que je marche. J'ai rencontré des humains, des animaux. Mais aucun vampire. En voir une comme toi m'a donné envie de rester. La lune peut attendre la prochaine nuit comme moi je peux l'attendre. Mais si tu veux la voir pas de soucis. Je te souris. J'avance d'un pas et t'invite d'un signe de tête. Quand tu me suis alors je t'explique. Du moins j'essaie.

"Je vois dans le regard des animaux ce qu'ils veulent me dire et ce que je dois deviner. C'est une chose que je sais faire depuis maintenant 195 ans. Je ne saurais expliquer comment j'y arrive. Je me concentre sur ce que me dise les yeux de l'animal et je comprend. C'est tout simple. Encore faut-il prendre le temps de regarder l'animal dans les yeux et d'essayer de comprendre, de voir ce qu'ils veulent nous dire."

Je te souris et continue de monter. Un promontoire rocheux plus loin au dessus de la brume. Nous verrons la lune de là-bas. Je m'assois face au vide et lève la tête pour examiner la lune. J'aime ces reflets argents qui naissent au contact de sa lumière. Je préfère ceux qui dansent sur d'autre que moi. Alors je regarde Kate parfois, pour voir les reflets argents sur sa peau. C'est beau. Je trouve ça plus magique que la vrai magie.

Elle me fit un signe de tête, et je la suivis. Nous escaladâmes la montagne et elle m'expliqua, qu'elle était capable de deviner ce que les animaux ressentais. Pouvoir étrange et magique. Arrivée au sommet de la montagne, je m'assis à côtés d'elle, les jambes dans le vide. Je n'avais pas peur. Si je tombais, ce serait le sol qui souffrirait dans l'affaire alors ... Je regardai les reflet roux que la lune lui faisait sur ses cheveux, tandis qu'elle contemplait les reflets argentés sur ma peau. La lune était belle. Aucun nuages à l'horizon pour gacher ce moment. J'étais venun dans un autre but que regardai la lune. Mais ce que j'avais à faire, devrait attendre.

- Tu vis dans la ville des vampires ou autres parts ?

Je ne vis nul part. Partout est chez moi. Je n'ai de maison dans aucunes villes puisqu'aucunes villes n'ai ma maison. Je vagabonde sans cesse une maison ne me servirai à rien. Je préfère vivre de la nature. Je me nourri d'elle, je vis dans elle. Sans ça je ne vivrai pas. Même si dans un sens je suis déjà morte. Comment mes cheveux seraient aussi long si je vivais en ville ? Non. J'évite un maximum les villes. Je préfère me promener dans les plaine et les forêts. Comment te dire ? C'est aussi simple que ça. La ville, ça m'énerve.

"Je ne vis dans aucunes viles. Je n'ai pas de maisons. Elle ne me servirai à rien, je vagabonde tout le temps. Je ne reste jamais plus d'un jour dans une ville donc j'ai abandonné ma maison. Mais à mon souvenirs je ne l'ai pas vendu. Je n'y ai pas remis les pieds depuis longtemps alors elle ne compte pas."

Elle me raconta qu'elle ne vivait dans aucune ville, et qu'elle n'avait pas de maison fixe. Elle préférait vagabonder dans les plaines et les forets. Les villes l'énervait. Cela se voyait sur elle. Elle me dit qu'elle n'avait jamais vendue la maison, de l'époque ou elle était encore humaine, à son souvenir. Cela fait sait donc 195 ans environ qu'elle voyageait. Elle ne pouvait tenir en place, si je comprenais bien. Je lui fis un signe de tête, pour lui faire comprendre, que j'avsi comrpis. Je levai la tête pour contemplai la lune, et regardai au fonds. Cela faisait tout de même haut. Je réfléchissai à la manière ou la roche se disperserait si je venais à sauter dans le vide. Pensée sadique, en ce moment. Je relevai la tête, et regardai droit devant moi.
Quelque instant plus tard, un hurlement déchira mes tympans. Ce cri n'étais ni humain, ni animal. Je n'avais jamais entendu pareil cri. Aussitôt ma main droite se porta à mon épée. Je regardai, la jeune fille qui m'accompagnai et voyai qu'elle avait adoptée la même position. Position défensive, et elle avait sortit son arme. Quel était cette chose, si proche de nous ?

S

"Sors ton épée ma belle, tu en auras besoin."

J

"Je t'emprunte ça. Ses ailes ne sont pas solide. Sa peau non plus. Défend toi comme tu peux et évites sa bouche."

U

La bête sortit de son trou et vola dans les airs, nous étudiant. Naïa était déjà passai à l'action en lui envoyant dans son aile. Je sorits mon épée de son fourreau, et au lieu de lui envoyer mon poignard, je contemplai la bête pour plus d'info. Elle était affamée ce qui était sure. Grande. Corps de taureau. Elle avait des ailes de dragons ainsi que la queu. La tête était ... pas vraiment descriptible à ce stade. Les oreilles de Dragon, avec le nez. Mais les yeux et la bouche était celui du taureau. Difficiles de savoir ou était son point faible, devions-nous visés son coeur ? ou plutôt entre les yeux ? Naïa m'emprunta mon poignard que j'avais dans ma chaussure et s'élança vers la bête qui lui donna un violent coup. Elle alla attérire contre un rocher plusieurs dizaine de mètre plus loin. La bête courru vers moi, et j'en fis de même vers elle. En bondissant, je lui donnai un coup d'épée à la tête, la lui faisant tombai par la même occasion. Naïa se releva avec peine. Je me retournai vers la bête et vis avec effroi deux têtes repoussait. J'allai vers ma camarade de combat et lui donnai mon aide pour qu'elle se relève :

- Il va falloir combinait nos force, pour mettre fin à cette bête.

Je courais vers la bête. Elle me frappa et m'envoya valser. Je commença à rire. Je commençais à rouiller dit donc. Depuis combien de temps n'avais-je pas essayé de tuer une telle bête ? Je me releva à l'aide de Kate. Peut-être ne savait-elle pas comment le battre... Moi non plus. Je m'amuse juste à trouver son point faible. Combiner notre force ? Heu... pour le battre ça sera pas utile d'un certain sens. Il faudrait qu'on trouve un autre moyen. Ses ailes le stabilise. Si je lui coupe beaucoup celle qui est déjà entamé, il sera entièrement déstabilisé. Je m'avança d'un pas vers la bête et la regarda arriver. J'évita sa gueule et fonça vers son aile. Je sauta le poignard en évidence. Retombant sur l'aile, complètement déchiré. Je pris le poignard d'une main et continua de courir, le blessant tout le long de son corps. Je finis par la queue que je du éviter. Il arrêta de foncer et ce retourna vers moi. Un sourire sur mon visage. Il était enragé. Je fis un clin d'oeil à Kate. Elle pouvait attaquer maintenant. Je me lança en courant, Je sauta sur son corps et continua de courir. Je m'assis sur son cou et je planta le poignard là où je devait trouver une artère logiquement. Je ne toucha que son muscle. C'était déjà beaucoup. JE comprenais alors. Intouchable par là. Juste déstabiliser par là. Nous devions agir ici. Je regarda Kate et lui dit.

"Ici."

Je lui montra entre mes deux yeux et me retourna. Il attaquait de nouveau. A elle d'agir, je le retiendrais.

Elle s'avança d'un pas vers la bête et la regarda arrivai vers elle. J'éspèrais pour elle qu'elle savait ce qu'elle faisait. Elle évita lestement sa gueule gigantesque et fonça droit sur ... son aile. Oh !! je venais de comprende, ces ailes aider la créature à se stabiliser donc elle allait vers son aile pour le déstabiliser. Elle sortit son poignard, et lui découpait l'aile et lui fis une longue blessure tout le long du dos de la créature. Elle finit de le blesser par la queue qu'elle dut éviter. La pauvre bête immense était braiment en furie. Elle me fit un clin d'oeil. Elle sauta sur son corps et planta son couteau sur une artère mais n'y trouva que du muscle. Elle me regarda et me fis savoir qu'il fallait que je fise entre les deux yeux. letaureau-dragon commençai à faire du rodéo avec Naïa. Je courrus vers la bête et m'accrochai à son cou et lui plantai toute la lame de mon couteau, avec uin peu du manche dans son corps. La bête avait de moins en moin de force. Pas de chance pour la bête, elle alla vers le précipice la ou elle tomba. AU dernier moment, je vis que Naïa commençai à tombai vers le fonds elle aussi. Je rattrapai sa main de justesse et l'aider à remontai, en sécurité. Quoique même si elle était tombai, elle serai en sécurité elle aussi. Mais ce serait la roche qui n'aurait pas été en sécurité. Je lui offris un sourire amical.

Elle s'avança d'un pas vers la bête et la regarda arrivai vers elle. J'éspèrais pour elle qu'elle savait ce qu'elle faisait. Elle évita lestement sa gueule gigantesque et fonça droit sur ... son aile. Oh !! je venais de comprende, ces ailes aider la créature à se stabiliser donc elle allait vers son aile pour le déstabiliser. Elle sortit son poignard, et lui découpait l'aile et lui fis une longue blessure tout le long du dos de la créature. Elle finit de le blesser par la queue qu'elle dut éviter. La pauvre bête immense était braiment en furie. Elle me fit un clin d'oeil. Elle sauta sur son corps et planta son couteau sur une artère mais n'y trouva que du muscle. Elle me regarda et me fis savoir qu'il fallait que je fise entre les deux yeux. letaureau-dragon commençai à faire du rodéo avec Naïa. Je courrus vers la bête et m'accrochai à son cou et lui plantai toute la lame de mon couteau, avec uin peu du manche dans son corps. La bête avait de moins en moin de force. Pas de chance pour la bête, elle alla vers le précipice la ou elle tomba. AU dernier moment, je vis que Naïa commençai à tombai vers le fonds elle aussi. Je rattrapai sa main de justesse et l'aider à remontai, en sécurité. Quoique même si elle était tombai, elle serai en sécurité elle aussi. Mais ce serait la roche qui n'aurait pas été en sécurité. Je lui offris un sourire amical.

J

*Cette fois je t'ai eu, que ça sois toi ou pas.*

"Beau combat."

J

Je sentis l'odeur du sang de vampire. Une odeur bizarre qui m'étais famillière, pour donner de mon sang une fois toutes les semainesà l'humain que j'essayais de soigner de sa maladie. Je tendis mouchoir vers Naïa pour qu'elle puisse nettoyer sa plaie, je lui passer aussi un liquide transparent destiner à apaiser le saignement et à l'arreter completement :

- Mais en un peu sur le mouchoir et soigne ta blessur avec sa guérrira dans à peine une seconde. Puis j'ajoutai avec un petit sourire, cela sert d'avoir été medecins pendant plus de 150ans.

Je me souvenais de mes premiers débuts en tant que medecins. J'avais diagnostiquer des rhumes, des angines, des pneumonie, puis j'en étais arrivée à soigner des blessures de guerre, cela avait été moins marrant, sachant qu'ils saignaient, cela avait été trés difficiles de me retenir, et puis au fil des jours et des mois, je m'étais habitués, la ou peux de vampire aurait échoué. elle me sourit dans la seconde qui suivis face au à sa blessure qui s'était soignés.

Je souris et continua de regarda la lune. Si belle. Elle me proposa Un mouchoir et un liquide. Je regarda la tout étonné et accepta. Je n'avais qu'à peine remarqué la blessure sur mon manteau tellement je trouvais dégoutant le sang qui coulait dans ma bouche. Il n'avait que ça à faire de me blesser à l'intérieur de ma bouche pour que je crache toute les deux secondes. Un peu d'exagération ne fait pas de mal. Je soigna ma plaie au pif et lui redonna son liquide garde le mouchoir pour essuyer ma bouche après avoir craché. C'est assez dégueulasse de devoir me supporter à cracher du sang mais c'est dégeulasse de l'avaler. En tout cas moi je déteste. Je trouve que ça un gout horrible. Pire que le sang humain je ne vois que ça. Je me redressa légèrement pour regarder la bête toujours immobile. Je rouvris la main et regarda le poignard attentivement. Je le lui tendis en souriant.

"Tiens, je te le redonne."

Elle regarda la lune et me tandis mon poignard, elle n'avait plus d'armes sur elle. Et si il y avait une autre bête du même genre que celle que l'on venait de tuer ? Il valait mieux qu'elle garde mon poignard pendant quelque temps. Au moins, jusque l'on s'en aille de cet endroit si étrange. A la base, j'étais venue pour diverse raison, et l'une d'elle était pour prendre une fleur qui ne poussait que sur cette montagne. Puis j'avais rencontrés Naïa, cette jeune vampire, et ensemble nous avions vaincu cet animal sorti de je ne sais ou :

- Non, gardes-le, tu es désarmés, et aprés cette bête, je ne serai pas surprise qu'il y en est d'atre du même genre, tu me la rendra plus tard. Sourire espiègle, je remontai légèrement la patte de mon pantalon de la jambe droite, ce n'est pas comme si j'étais entièrement désarmés.

En effet, sous mon pantalon, se trouvait diffèrent poignard.

M

"Non c'est bon. Je n'aime pas trop les poignards et au cas où je sais où il est."

J

Elle aimait voyager, cela se voyait sur elle. Est-ce que je me trompe en disant qu'elle aimerait aussi les défis ? Je ne sais pas. Il y avait quelque chose en elle qui était différent des autres vampire. Elle me rendit mon poignard, en me disant qu'elle n'aimait pas trop ce genre de chose la. Et qu'en cas de besoins, elle savait la ou il était. Elle se perdit dans la contemplation de la lune. J'étais debout à côtés d'elle, regardant dans la crevasse, le monstre mort, qui voulait nous manger quelque instant plus tôt.les cheveux au vent, je m'assis à côtés de Naïa, regardant avec elle la lune.

- Est-ce que tu as déjà travaillée auprés des humains ?

Je voulais savoir si cette vampire avait déjà cotoyer les humains. Je l'avais déjà fait pendant 150 ans en tant que médecins. Maintenant, j'avais arrêtée, pour m'occuper entièrement de mon protégée.

L

"J'ai travaillé avec des humains pendant moins d'un an."

J

Je sentais, qu'elle avait un peu devinait ce que je ressentais face à mon statut de vampire. Elle le savait, j'en était sure, alors pourquoi lui cacher ? Devai-je quand même lui dire, même si elle était en partie au courant ? Je tergicotais pendant encore quelque instant, puis lui avouer, je me sentais d'une certaine manière proche d'elle, tout en me sentant éloigner :

- J'ai travaillais pendant environ 150 ans, auprés des humains en tant que medecin et détective privé, et oui tu a raison, je regrette ma nature de humaine, j'ai perdu, tous ceux qui m'étais chère. J'aurais aimé mourir avec eux. Mais je n'ai pas eu cette chance, le vampire qui a tué ceux que j'aimais, ne l'entendais pas de cette oreille et m'a transformé. Contre ma volonté.

Bien, que nous soyons dans le noir, le fait que nous soyons toutes les deux des vampires, ne m'aidait pas. Malgré ma paleur habituel des vampires, je palis encore plus, en me rappelant ses souvenirs si douloureux. Je portais mon regard ailleurs, détournant ainsi mon visage de Naïa.

» La Légende Sauvage