Retrouvaille [Artémis Yukomichy]

Orage était revenue de sa mission avec une nouvelle lettre de mon maitre assassin. Je soupira songeant dejas à la nouvelle mission qu'il allais me confier, il ce débrouillait toujour pour me donner les plus difficile, tuer le seigneur de tel lieu, assassiner l'aristocrate le plus proche de souverain,... Nouveau soupire, ce serais quoi cette fois. Je leva le bras, siffla, Orage ce posa, je lu... Et tomba à la renverse. Ma soeur était devenue maitre boureau,... J'avais du relire 3 foi la missive afin de m'assurer de ce qui y était écrit. Puis folle de rage je déploya mes ailles, siffla Orage et m'envola vers Casshern.

Arrivée la bas, je pénétra directement dans les prisons, liquidant les gardes génnant sans aucun remords et quand j'arriva enfin dans la salles des tortures, ma lame ruisselait de sang, mon regard était chargé de cet haine qui annonçait mon exitation. Je m'appuya discretement sur le mur en voyant la porte du fond de la salle s'ouvrir un prisonnier entra suivit de ma soeur,... Que je faillis ne pas la reconnaitre.

" Bonjour petite soeur."

Ma voix était plus glacial que la mort et mon sourir particulierement sadique... Ma soeur m'avait déçus pour la premiere fois de sa vie!

J'aimais mon métier. Entendre le cris des torturé nuit et jour et surtout pouvoir inventé d'autres tortures encore plus douloureuses. Cette fois je devais torturé un homme, soupçonnait d'avoir essayer de tuer un noble. En fait, je m'en contreficher. Je n'essayais pas de le faire avouer.
J'ouvrais sa cellule et le conduisait a la salle de torture. Une silhouette familière m'apparus et le son de la voix ne me laissa aucun doute.

"Grande sœur ! Que me vaut ce plaisir ?..."

Ma voix était ironique.
Je mena le prisonnier dans un coin de la salle et l'attacha. Pourquoi l'attacher ? Car beaucoup d'autres avant lui avait tenté de s'enfuir. Et je n'avais pas forcement envie de jouer au chat et a la souris. Je serrai bien ses poignet et ses chevilles pour l'empêcher de bouger et aller a la rencontre de ma sœur.

"Quoi de beau depuis la dernière fois ?"

Je désignai son arme sanglante et demandais:

"Tu en a tué beaucoup ? Parce qu'après, c'est moi qui suis censé faire le ménage, et c'est pas très marrant vois tu..."

Je parlai des gardes en demandant 'tu en a tué beaucoup'.

Je leva mon épée ensanglantée sur la gorge de ma soeur, m'avançant vers elle doucement la faisant reculer si elle ne voulait pas etre égorgée.

" Comment ose tu me parler sur un ton si désinvolte alors que j'apprend ce que tu es devenue par un message de mon maitre! A quoi sert que tu es accées au réseau de communication des assassins si tu ne l'utilise pas pour m'avertir de tes... Idioties !"

J'avais hurler la derniere phrase, j'était totalement hors de moi. Je fis tairent le prisonnier gémissant d'un regard et reporta ce même regard sur Artémis. Je n'avais pas répondu à sa question,... Je n'avais pas compter combien était mort, combien était blessé de toute façon ils mourraient tous. Comment avait-elle pus ce mettre au service de ce roi qui me courrais apres, moi Miloniä Yukomichy, le papillon blue, la princesse des assassins, l'assassin le plus rechercher du royaume! Elle n'avais donc pas compris le danger pour moi et pour toute la famille,... Cette petite peste était grande maintenant et n'avait plus rien a voir avec la petite fille turbulente que j'avais pris sous mon ailles il y avais des années. Je renifla dédégneusement, rengaina ma lame:

" Tu ne mérite même pllus de périr sous ma lame."

"Oh, grande sœur qui se met en colère !"

J'étais amusée, et je n'avais pas peur.

"Ensuite, j'ai voulus te prévenir mais bon... Si on apprend que j'ai des relations avec ton réseaux d'assassins, vous périrez tous et moi aussi. Crois pas que j'ai envie de mourir."

Je lui balança un grand sourire et continua:

"As tu déjà eu envie de me tuer avant ? Franchement ? Ensuite, je doute pouvoir être tuable."

Sur ma dernière phrase, je montré mes bras de fer. L'on ne pouvait tuer une marionette. l'on pouvait juste la désarticulé. Mais étant toujours falariel, l'on ne pouvait pas me désarticulé. J'étais immortel et juste la vieillesse pourrait venir a bout de moi.

"Milonïa...."

Ce fus la première fois que je prononça son prénom entier;

"Je suis un assassin moi aussi, a ma façon... Je torture les hommes et je les laisse mourir comme des chiens. J'ai pouvoir de vie ou de mort sur tous et personne ne peux me contredire. Moi seule connait la vérité et je peux la changer autant que je le veux..."

Je lui fis a nouveau un grand sourire et remis une de ses mèches qui tombait devant son visage derrière son oreille.

"Milonïa, tu t'y fera.. Je suis juste un cas désespérer...Pour toi."

Je la laissa faire,j'étais totalement perdue, elle c'était transformée elle même en marionnette... Pere ne s'en remettrait jamais. Je tomba au sol, j'étais moi même totalement perdue. Je la regarda, le regard chargé de larmes:

"Mais qu'es que tu es devenue petite soeur."

Oui elle était assassin à sa façon, c'étais le seul éléments de son explication que j'avais enregistré. Comment avais-je pu la laisser faire une tel chose. Je ne croyais pas ce que je voyais, ma soeur, elle qui était si belle, devenue l'un de ses jouets meurtrié... J'étais en proie a un désarois totale quan j'entendis des pas et des cris dans les escaliers, les gardes avaient trouvé les morts et ma signature... Ba tant pis, je e leva, embrassa ma jeune soeur sur le front, dégaina ma lame, et me dirigea vers le lieu des cris. Je me retourna vers elle et un murmure m'échappa:

" Je t'aime petite soeur"

Je disparu dans les escaliers.

Elle laissa couler ses larmes. Elle ne pouvait croire ce qu'elle voyait a ce que je comprenais. Lorsqu'elle s'en fus, je compris ce qu'elle allait faire. Et je ne pouvais pas la laissait faire. Je soupirai. Un des avantage a être devenue une marionnette, c'etait la vitesse accrue. Aussi je me déplacé avec la rapidité des vampires et la rattrapai. Je me retrouvai devant elle. Je l'arrêtais brutalement. Les gardes arrivèrent, me virent. Tous avaient peur de moi.

"Vous êtes suspectés de trahison envers la famille royale des falariels. Il sembleraient que vous ayiez transmis des informations a des assassins."

J'avais inventé sa a la rache. J'ajoutais, un grand sourire au lèvres:

"Bye bye."

Leur dis-je, avant d'invoquer Ami. Avant même qu'ils comprennent ce qu'ils leurs arrivés, ils tombèrent au sol, sans souffle de vie. Je complétais, un sourire au lèvres:

"Mes soupçons se sont révélés juste et je les ai punis pour leurs trahison. Fin de l'histoire."

Nouveau sourire. Je me tournai vers Milonia et lui dis:

"Demi tour, tu retourne dans ma salle, nous devons parlez. De grès, ou de force."

Je lui barrais le chemin, l'incitant a retourner dans ma salle de torture. Nous devions discuté. Et si elle refusé, je pouvais toujours lui donner tort et dire aux autres gardes que Milonia avait tués les gardes en voulant s'échapper. Que j'avais essayé de l'en empêcher, mais que je n'avais pas réussis.
Tout le monde me croyait au palais. Personne ne douté de ma fidélité au peuple falariel. Bon, je tuais un peu trop de personne pour la sécurité du peuple, mais j'arrivais a créais une certaine paix dans le monde d'au dessus si je puis dire. Car les prison et la salle de torture se trouvait en sous sol...

" Je suis peut etre une vielle pour toi mais ma danse mortel est encore efficasse!"

Je disait sa en déscendant l'escalier mennant à la salle des tortures. Je m'assis sur la derniere marche de l'escalier et regarda ma soeur. Comment était-ce possible. J'avais retrouver mes esprits et je me souvint d'une chose,... Lors de mon entrainement au camps, j'avais appris à combattre et à tuer des marionnettes-humaines, le feu. c'était la seule chose selon mon maitre de l'époque qui fesait fuirent et qui bien utilisé pouvait les tuer. Jamais je ne me servirais de mon savoir contre elle, elle était et restait ma soeur, mais elle était un danger pour la guilde. Alors je compris pourquoi mon maitre m'avait envoyer cette lettre. Je la sorti, alla vers la torche la plus proche,... Le principe était vieu comme le monde, un message codé:

* Je te le dit avans d'envoyer les maitre assassins à ses trousses pour ne pas que tu interviennes,... Ils vont la tuer!*

J'éclata d'un rire joyeux et sadique, ainsi c'était sa,... ilespérait que je les laisse faire, ou il esperrait peut etre que ma colere soi trop forte et que je le liquide moi même... Mais quel bande d'imbécile. Alors toujour en rigolant je regarda l'escalier,... Ils étaient là!

" Vennez ! Vennez mourir sous les lames de la princesse des Assassins!"

Je me mis en garde, mes deux poignards apparurent dans chaqu'une de mes mains. Les maitres assassins commençairent à déscendre...

Allait-elle bien ? Ce rire, ces phrase et cette voix me firent frissonner. Je n'avais pas l'habitude de la voir ainsi. A croire qu'on me l'avais changer en quelque secondes, a peine. Je soupirai, croiser les bras sous ma poitrine et ouvrait la bouche pour dire quelque chose. Seulement, je n'eus pas le temps de la ramener, je compris ce qui se passait. Je connaissais Miloniä. Il aurait fallut que je réfléchisse deux minutes. Seulement je ne l'avais pas fait avant. Je fermais ma bouche avant de gober une mouche.
Je fixais l'escalier. A la lueur d'une torche, une ombre dansait sur le mur. Mais je me doutais qu'elle n'était pas seule. Je soupirai. D'un mouvement j'invoquais Ami, Falane et Géogriace. Rapidement, je me dissimulais, attirant l'attention des personnes qui me regardaient sur mes marionnettes. Ma cachette ? A l'endroit le plus visible, a condition d'y regarder. C'est a dire le plafond. Et comme personne ne regarde jamais le ciel... Au pire, ma salle était truffé de pièges, de cachettes et de passages dont moi seule connaissais l'existence. Comment pouvais rester accroché au plafond de pierre ? Des crochets d'acier me retenait.
Dans la tradition des tortionnaire, l'ancien était tué par le nouveau. Cela punissait l'ancien pour toute les tortures qu'il avait perpétué et cela donnait un avant gout au nouveau. Donc je refusait de me faire tuer par quelconque assassins. Si je devait mourir par quelqu'un d'autre que le prochain tortionnaire, sa serai par la main de Miloniä. Ou par celle de mon âme sœur. Ce qui n'étais pas près d'arriver...

Ma respiration était silencieuse. Je ne faisais aucun bruit. La seule solution pour me trouver, c'était lever la tête. Et sa, peu de personne était capable de le faire...

J'étais en garde, attendant passiament que les maitre déscende, moi la princesse des assassins, j'allais certainement finir mes jour dans les geoles sans secrets et sans issue de la guilde, mais au moin j'aurais protéger la suele chose qui me reste en dehors de mon savoir,... Ma soeur! Alors que j'étais en garde et que les assassins venue pour ma soeur arrivaient enfin ma voix de grande soeur s'éleva dans la piece:

" Range tes jouets petites idiote, ils sont la pour te tuer, ils connaissent toutes tes passent. Alors s'il te plait, range tes jouet et reste à l'écart,... C'est mon combat!"

Alors sans même attendre de réponce persuadée que pour une foi alle allait obéir je me rua sur les maitres qui arrivaient, entamant ma danse de mort, en 10 secondes, deux maitres furent à terre, mes lames fidele compagne étincelait dans mes mains, Phatalys était toujour dans sont fourreau. Je m'arréta néanmoin d'un seul coup... Il était là, devans moi, et je m'apprétais à le tuer pour sauver sa vie, lui qui m'as toute appris, j'aurais du savoir qu'il serais là également, pour m'arréter, le seul à en etre capable,... Mais je le connaissais également tres bien ,j'avais mes chance, je me ressaisie, me remis en garde:

" Maitre, veuillais accepter mes excuses..."

J'attaqua, agissant instinctivement, mettant tout mon savoir dans cet ultime combat, je savais que, si je gagnais ce combat, les autres maitres s'inclinerais, j'aurais combattu et vaincue le plus grand d'entre eux, alors je m'acharnerais, pour elle. J'esquivais la casi totalité de ses coup, pourtant je santé bien qu'il ne donner pas son maximum, et moi non plus d'ailleur. Soudain rangea ses lames, dégaina Mortalys et je compris que le vrai combat débuter enfin, je dégaina phatalys à mon tours,... apres quelques minutes les lames s'entrechoquaient toujour, les maitres assassin qui accompagnaient étaient réunnis autour de nous silencieux. Au bout de ce qui me paru une éternité, ma lame s'enfonça dans son épaule,... J'avais gagné. Je me releva, retira ma lame, rengaina.

" Partez! "

Droite, fiere, impétueuse, la princesse des assassins avait gagner son ultime combat.

Elle venais de me donner un ordre. Pur et simple. Sauf que je sentais bien que je n'avais pas le droit de discuter. Je soupirai intérieurement et briser les liens avec mes marionnettes. Ce qui eu pour effet de les faire disparaitre. Lorsqu'elle eut finis son combat, je me décrochais et descendais de mon perchoir.

"Faut qu'on cause."

Dis-je tout simplement. Je tirais une chaise vers elle puis une autre vers moi. Je l'invitais a s'asseoir et m'assis moi même sur ma chaise.

"Pourquoi voulaient-ils me tuer exactement ? Et ensuite, comment tu vas ?..."

La seconde question était vraiment stupide.

"Maman c'est remis du choc que je lui ai fait ? Ou pas ?"

Et oui, j'appelais ma mère maman. Et quand je parlais du choc, je parlais du fait d'avoir tuer des gardes devant ses yeux. Je savais que notre mère n'étais pas très friande de sang et encore moins de combat. Alors bon...

(pas très long désow')

" Démon, hérétique,... Tu dois connaitre ces petite soeur, et bien voila pourquoi la guilde des assassins en a apres ta vie. Tu est concidéré comme une erreur de la nature par mes pairs et c'est pour cela qu'il veulent te tuer."

Je ne sais pas pourquoi je lui disait tous ça. Mais c'est uniquement apres m'etre assurer de notre solitude et avoir fini de parler que je m'assis sur la chaise que ma jeune soeur m'avais désigné. J'étais lassée de tant de violence, lassé d'etre la princesse des assassins concidéré comme la meilleur de sa promotion... Enfin,... la seconde question de ma soeur me sorti un peu de ma létargie. alors en la regardant je lui répondis:

" Mere ne vas pas bien, même si elle ce remet doucement. Te voir assassiner des hommes lui fait un choque immence mais j'ai réussi à lui faire accepter le fais que tu étais faite pour ça. Elle a accepter mon métier, elle acceptera le tien."

(Désolé c'est minable)

Vouloir me tuer ? Je doutais qu'ils y arrivent. Mais comment ils savez le moyen de me tuer.. Je devais m'auto-perfecctionné pour qu'ils n'y arrivent pas. Au moins pour Milonïa. J'avais ne pas montrer l'amour et le respect que doit une petite fille a son ainée, je l'aimais bien.

"Vaux mieux pas qu'elle vienne ici..Elle aurait une attaque dès la dernière marche franchi..."

je ne portais pas ma mère dans mon cœur. Elle s'était consacré qu'a son travail lorsque j'étais encore jeune, lorsque j'avais besoin d'elle. Maintenant, elle essayer de se rattraper comme elle pouvais. Mais il était trop tard. Quant a mon, notre, père, il avait fait une fixation sur Kaysa et s'était occupé de moi juste assez pour ne pas que je fugue pour de bon. Je soupirai et demandai:

"Alors, sinon, c'est quand que tu me présente a tes amis ?"

Je disait cela sur le ton de la plaisanterie. Je lui avais posé la question bien longtemps auparavant et elle n'avais jamais accédé a ma requête, elle ne me les avait jamais présenté.

Je soupira et tourna la tete avans de lui répondre, elle savais pourtant que je ne voulais pas mais elle devais vouloir elle me connaitre mieu sinon elle n'insisterais pas tant:

" Je... Je n'ai plus d'amis Arté... Je suis seule maintenant, je renoncé à tous, à tous ce a quoi je tennais."

Elle ne savais pas que j'avais aimé, elle ne savais pas qu'il était mort, elle ne savait pas que je l'avait vengé, elle ne savait pas que j'en souffrait, elle ignoré tellement de chose...

Je releva doucement la tete, une päle immitation de sourire vint sur mes levres mais elle n'étais pas dupe j'en était certaine, mais maintenant c'étais trop tard, elle allais me questionner, je lui répondrais et ce serais pour moi la pire des torture... Mes amis? Qui me restait-il? Aaron bien sur mais elle le connaissait deja Qui d'autre? Ashky peut etre mais je ne sais si je peux le concidérer comme tel... Qui d'autre hawk peut etre aussi, mon ami, mon confrere... C'est touts, ils sont peux en faite, je ne connasssais que peu de gens. Mon regard était vide, vide de toute émotions, de tout sentiments, il était bleu azur, chose rare... J'étais triste, triste et seule depuis qu'il était parti...

Une chose me frappa en plein cœur.Un sentiment que je ne connaissais pas encore. Ou que j'avais oublier. De la peine. Je savais que c'etait sa. Ce fus une sensation étrangère pour moi. Pourtant elle me frappa. Tout sa venais de ma sœur. Si elle savais tout ce que je sais.. Mon sourire se perdit dans le néant et mon caractère joyeux et ironique se ternit. Je la pris dans mes bras, comme une amie le ferais. Je ne comprenais que trop bien sa peine.
Elle ne savais pas que j'avais enquêter a propos d'elle. Même si je ne connaissais pas toute ses connaissances, je savais la principal, John. Il avait été son âme sœur. Je le savais. Même si je ne l'avais jamais rencontré, on m'en avais dit que du bien. Surtout cette Aiko et Laura. La première je l'avais rencontré il y a bien longtemps je ne sais plus trop ou. Quand a laura, j'avais fait exprès de lui trouver tout les défauts de la terre. Mais ce que j'en avais tiré, c'est que pour avoir des amis sincère, il fallait être une personne bien.
J'étais donc là, dans les bras de ma sœur. Une sœur que je n'avais pas vu depuis longtemps, une sœur que j'aimais par dessus tout et que je considérais comme ma mère. Une sœur qui avait pris le temps de s'occuper de moi quand j'étais petite. Une sœur qui était bien haut gradé dans mon estime. Celle qui comptais le plus pour moi. Une femme que je voulais protéger a tout prix. Une femme qui avais vécu l'amour, la haine et la tristesse.

"Milo.. Je...Je suis désolée.. Tu sais ou me trouver si tu as des problème, hein !"

Même si la froideur du métal devais être désagréable, je faisais tout pour qu'elle sente un maximum d'amour dans mon étreinte. Elle était en partie ma seule amie a par Aaron. Je n'avais qu'eux deux et je tenais a eux. Plus qu'a tout. Je ne voulais pas les savoir triste. Sa me rendait triste également. Et je ne supporter pas cette sensation de faiblesse qui grandissais au fur et a mesure.

Je me leva soudain, je n'avais pas le droit de me lamenter sur mon sort ainsi. Alors je resta debout, regardant ma jeune soeur sans réellement comprendre ce qu'elle était devenue. Une part de moi était fiere, l'autre... Peut etre écoeurer et triste de la voir ainis, elle qiu était si belle... Enfin là n'est pas la question. Mon regard repris sa couleur grise bleuté habituel et je lui dit doucement:

" Je doit partir petite soeur. Je ne peut pas me permettre de rester là à rien faire."

Je monta les escaliers, et avans de passer la porte j'ajouta dna sle vent:

" Il s'apellait, John, et je l'aimais..."

La fin de ma phrase resta en suspend ne sachant pas moi même ce que je voulais dire. Je sorti pleurant doucement... Maintenant tu sais petite soeur, même si tu le savais dejas c'est moi qui te l'ai dit.

Elle se leva, je restais assise. Elle grimpa les escalier, me parla. Je ne bougeais pas. Je souris, un sourire franc et gentil. Quand sa concernait ma sœur, elle qui avais su se faire respecter a mes yeux, je préférais me montrer douce. C'etait la seule a qui j'avais révélais cette part de moi même. Je soupirai. Je regardais l'ombre de Miloniä quelque instants, puis murmura:

"Au revoir Grande sœur..."

Je me relevai, me retourner et m'enfonçais des les entrailles de la terre sans un mot...

(désolée c'est pourri... & Fin ?)

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