Aucun mot ne suffit pour décrire ce que je ressens !!! ( PV Kyrarä )

La magnifique créature que je tenais encore dans mes bras, me regardait avec ces emeraude qu'elle avait en guise d'oeil. Ils était lumineux et brillant, et ne cessait de me fixer, je ne pouvais détourner mon regard, et même si j'avais pu, je ne l'aurai pas fait. J'étais envoutée, comme hypnotiser. J'étais sortit de la salle, et avait murmuré un vague merci au dragonnier. Il me semblait qu'il avait répondu quelque chose dans le genre : De rien jeune fille. J'étais passais devant la file, qui ne cessait de s'allonger. J'avais vaguement conscience de leur regard sur moi, et pour une fois je ne rougissait pas face à leur regard, mais je rougissais de plaisir face à une tel merveille.

Je ne sais pas pendant combien de temps, j'avais marchée, mais je m'étais rendue, prés de la citadelle, à côtés d'un cours d'eau. Je m'assis à côtés de ce cours d'eau et y déposai la déesse. Je pris un peu d'eau dans mes mains, et lui tendis :

- Tiens, bois !!! J'avais murmurés tout doucement. Ma voix était simple mais douce et tendre.

Sa voix résonna pour la première dans ma tête. Sa voix était crisataline, aussi belle que le reste d'elle-même. Cette charmante jeune fille s'appelait Kyrarä, en surnom ? Kyra. Puis elle se mit sur mes genoux, son contact sur moi était agréable, un lien trés fort nous unissait. Elle me rendait heureuse, ce fut avec toute la délicatesse dont je pouvait preuve que je déposai un bisou sur son front, alors pour la première fois, j'utilisai moi aussi la télépathie :

- Je suis contente de t'avoir. Tu es tellement belle, Kyra.


Quand, je lui déposai un bisou, sur son front, une brulure déchira ma main droite. Je regardai la marque qui était d'un rouge vif, une marque en forme de lune sur le dessus de ma main. Je m'interrogeai sur cette marque quand ma douce me répondit.

Elle voulut se regarder dans l'eau, mais y perdit l'équilibre et y tomba dedans. Elle cria dans mon esprit, et m'offris un regard d'excuse :

- C n'est pas grave, lui communiquau-je par la pensée, je pouvais tout lui pardonner, C'est de l'eau, elle peut être froide ou chaude par rapport ou tu es et par rapport à la température extérieur, lui expliquai-je.

J'avais un mouchoir dans ma poche, je le sortit, et entreprit de l'essuyer un peu. Elle sentit le mouchoir, et semblai aimer le fait que je la nettoie avec ce mouchoir. Puis elle remarqua la marque que j'avais à la main :

- Je ne sais pas, je pense que s'est la marque qui marque notre lien. Ne t'inquiète pas ce n'est pas presque pas douloureux.

Je ne voulais pas l'inquieter, en réalité cela me brulait. Je voulais mettre ma main dans l'eau fraiche, je la mit et en but un petit coup. Puis je carressai ma nouvelle amie, ma confidente, la personnne qui n'avait jamais eu autant de place dans mon coeur, dans le cou.

Elle s'éloigna du sol, et commença à trembler. Je me levai d'un bond. J'avais peur. Peur pour elle. Je ne voulais pas qu'elle est peur et encore moins qu'elle ait mal. Au-dessus de moi, Kyra commençait à tremblait :

- Kyra, est-ce que sa va ? Tu m'entends ? S'il te plait redescent.

Ma voix était complètement paniquée. J'avais peur pour elle. Qu'est ce que je pouvais bien faire pour atténuer sa peur ? Si elle n'avait plus peur, je n'aurai plus peur et l'inverse était vrai. Nous étions soudés, une ficelle. Le bout de la moitié d'une ficelle, ne pouvait avoir peur, sans que l'autre ne ressente pas la même chose :

- Comment est-ce que tu vas ? demandai-je à Kyra

J'étais complétement paniquée, quand j'entendis sa voix douce et mélodieuse dans ma tête. Elle me dit de ne pas m'inquièter, que tout se passait trés bien. Qu'elle redescendait dans quelque instant ? Pourquoi ne pouvait-elle pas redescendre maintenant ? En dépit de mes éffort, pour balayer la peur que j'éprouvait, se sentiments rester présents. Et a mon avis, ma peur ne s'envolerait pas tant que je n'aurais pas serrer dans mes bras Kyra, ma dragonne. Une brulure déchirante, traversa ma main. La blessure qui unissait notre union entre Kyra et moi, se mettait de brillait de plus en plus. J'allais l'interroger quand tout d'un coup un vent s'installa dans la prairie ou nous étions. Aussi bizarre que cela puisse paraitre, je ne trouver pas cela étrange, juste normal, une part entière de moi. C'était moi qui faisait ce vent. Dés, que je compris que ce vent étais du à ma faute, il s'arrêta net.

- Kyra, ce vent, je crois ... je pense ... en fait je suis sure que c'est moi. Je trouve sa normal mais toi qu'est ce que tu en penses ?

Une fois qu'elle m'est montrés ce qu'elle savait faire avec l'eau, elle se coucha et s'endormi. La fatigue du fait qu'elle est grandi, et qu'elle et utilisé son pouvoir. Je ressentais la fatigue qu'elle avait, ou plutôt je ressentais sa fatigue et la mienne de la même raison que Kyra. Non, je n'allai pas m'endormir maintenant, je tirai de mon sac une grande couverture et la mis sur le dos de Kyra. La couverture étais grande pour moi, mais plutot petite pour Kyra. Une fois lui avoir mise la couverture sur le dos, je me couchai à ses côtés, repenssant àce que je venais de faire et à ce que Kyra venait de faire avec l'eau. Pourquoi, elle controlai l'eau et moi l'air ? J'essayai de garder les yeux ouvert, mais c'étais difficiles alors, je me laissai aller vers le sommeil.

[ Désolé c'est court, manque d'inspiration ]

[ je propose une fin??? puisqu'elle dorment toutes les deux tu est ok?]