Un jour nous serons uni... [PV gretchen]

Je vennais d'arriver à Elvendil, sans faire de détour il m'avais fallu moin d'une heure pour ralier la capitale,... Pour retrouver ma demeure: La noble et respecté maison des Karachy. Je souffla doucement avans de me poster devans la porte,... celle ci s'ouvrir casiment mmédiatement et un sourir apparu sur mon visage quand je la vit en haut de cet escalier dans sa robe ancienne et bien entendu noire. Je m'inclina, noblesse oblige, devans celle qui était ma soeur d'adoption et baisa sa main en me relevans. Mon sourire ne m'avais pas quité. Levans la main droite, les domestiques qui nous entouraient partirent et ma voix enchanteresse s'éleva enfin.

" Bonjour cathérine, mo coeur est empli de joie de te voir en ce lieu.
_ Cesse cette hypocrisie mon frere, j'exige de savoir ou tu étais pendant toutes ces années.
_ Il est vrai que 5 années ce sont écoulées depuis mon départ... Mais tu sera bientot ce que j'ai fais de mon temps. Pour l'heure j'aimerais convoquer tous le monde dans le grand salon, domestique compris."

Je tourna les talons non sans voir l'air offusqué sur ce tendre visage, je souriais.

A peine une demi heure plus tard, je faisais mon enter dans le grand salon où tous les membres de la noble famille karachy, soi deux personnes, et tous nos domestiques étaient présent. J'avais une chose importante à faire. Je me place devns mes convives et annonça:

" Si je vous ai réunni ici c'est pour vous annoncer une chose. Je vais me marier, et la jeune personne qui partage mes sentiments arrivera dans une semaine! Je ne répondrais pas à vos questions et elle non plus, Tous ce que vous avez à savoir c'est qu'elle était anciennement humaine, et que je les moi même transformée. Que tous soi pres pour son arrivé dans une semaine. Vous pouvez disposer."

Les domestiques partirent immédiatement, retournant à leur occupation et songeant deja au préparatif de la fete, tandis que ma soeur Cathérine et son ami restaient. Je leur souris doucement et monta ensite dans ma chambre.
Cette demeure était tous ce qu'il me restait de ma famille, jen était le maitre et je n'avais de conte à rendre à personne, surtout pas à ma soeur d'adoption ou à celui qu'elle avait choisi.

La semaine passa si doucement que je cru que j'allais mourir. J'avais fait les choix pour elle, j'avais pri la robe, et les bijoux qu'elle porterais alirs que sonvisage hantait tous mes reves. Mais enfin le jour dit j'envoya un domestique au porte, avec un portrait d'elle fait par mes soins, et un ordre simple, la protéger et qu'elle ne parle à personne.

* Je t'attend ma Gretchen!*

Ma soeur inspectait Gertchen du haut de l'escalier, son point d'espionnage favorie. Moi, adossé à la balustrade, invisible au autre, le regard omnibuler par le jeune vampire qui était dans notre demeure: Gretchen. Puis ma soeur décendit les escaliers, seche dans sa robe noire et mon sourir s'élarie, tandis que je bandais mon arc. En oubliant les politesse elle attaqua:

" Que veux tu jeune vampire !"

Ma fleche siffla dans le silence de la piece et vint ce planter devans Cathérine. et ensuite ma voix s'éleva seche et cassante, la voix du chef que j'étais, alors que, dans le même temps, je m'avancer dans la lumiere:

" Il suffi Cathérine, je ne t'autorise pas à traité ma futur épouse anisi !"

J'eu l'immence joie de la voir enrager avans de s'incliner devans Gretchen et de lui dire

" Veuillez m'excuser Melle !"

Je sauta par dessus la ranbarde, arrivant directement au coté de la plus belle femme du monde, passans une main discrete au creu de ses reins, je souris à ma soeur:

" Cathérine, je te présente Gretchen, Gretchen, mon amour, je te présente Cathérine, ma soeur d'adoption."

Je regardai la beauté de la femme en haut de l'escalier. Elle était magnifique. Un mouvement là où mes yeux ne pouvaient voir attira mon attention. Je baissai la tête et fermai mes paupières. L'odeur qui emplit mes narines me fit ouvrir les yeux. La femme s'avança et me parla. Je n'appréciai pas son ton. J'étais plus jeune qu'elle et chez elle mais ce ne sont pas des excuses. Je plantai mes yeux émeraudes dans les siens et soutins son regard. Je ne me laisserai jamais marché sur les pieds.Une flèche pourfendit l'air. Je relevai les yeux là où j'avais ressentis un mouvement tout à l'heure. Cette j'en suis sûre, c'est lui.
Mon coeur eut un raté. Il s'était avancé dans la lumière. Je découvris une nouvelle fois son visage angélique. Son autorité sur la femme ne m'étonna qu'à peine. Il devait être le chez des lieux. La femme en noir s'inclina et s'excusa. Je souris. Arän me rejoignit en sautant la rambarde. Sa main se glissa dans mon dos et mon sourire s'agrandit. Cathérine, sa sœur d'adoption. Je m'inclinai à mon tour.

"Madame."

Avant ma transformation, j'ai eu peur de changer. Mais non, je suis restée la même. Je suis redevenue Gretchen. Je me retenais de me blottir contre Arän. Sa chaleur me manquait. Et oui, déjà. A peine s'était-il éloigné que j'avais eus l'envie et le besoin de me serrer contre lui. Je suis folle de lui à un point que je croyais impossible. Je glissai alors ma main dans mon dos pour la poser sur celle de Arän. Mon regard croisa le sien. Amour. Admiration. Envie. Manque.
Je reposai mes yeux sur Cathérine. Sœur d'adoption... Je comprends à peu près le truc. C'est comme moi quand j'étais dans la famille des jumelles. Non. Eux, ils m'avaient accueillit. Comme ces gens à la mort de mes parents. Eux m'avaient adopté, j'étais devenue leur fille. Enfin bon. Ce ne doit pas être exactement la même chose. Je reposai mes yeux sur Arän et souris.

"Désolée pour les habits mais je préfère sortir comme ça."

Je la regardais, on je la devorais du regard. Femme parfaite dans un avenir radieux, elle était divinemant belle. Plus tot Cathérine avais pris congés et était retournée furieuse dans ses appartement tandis que sans un mots je guidais Gretchen dans le labyrinte de notre demeure. Arrivé dans mes appartement j'avais enfin pu donnais libre court à mon envie dévorante de l' embrasser, mais avans toute chose j'étais allais ouvrir une pendrie où j'avais soigneusement rangé les robes de différentes couleur que j'avais acheter durant cette semaine. Puis tranquillement j'alla m'installer sur le lit, emmennant Gretchen sur mes genoux, la serrant des dans bras, ne voulant plus la lacher. J lui murmura doucement:

" Ne te tracasse pas pour si peu de chose mon tendre maour, j'ai deja prévue, tu vois."

Je l'embrassa simplement, tendrement, avans de me laisser aller, humant son parfum si subtile, me ravissant de tant de beauté et de tant de simplicité. je repensa soudain à la garde robe que j'avais fait, elle ce constituer principallement de robe souples et maniables mais il y avait également des tenue de combattante pour elle, elle prendra ce qu'elle voudra. je retourna bien vite à ma comtemplation, l'admirant, révant de chaqu'une de ses formes si parfaite à mon gout, on ne pouvait etre aussi belle et m'appartenir... enfin... je lui susura à l'oreille:

" Je t'aime"

je plongea mes yeux dans les siens, mon regard de sang dans le sien d'emeuraude...

Je soupira bruillament, me rendant conte de mon erreur, je n'auras jamais du la mettre sur mes genoux, elle n'irais jamais ce changer si je la tennais. Je secoua la tete avans de l'embrasser et de lui dire:

" Tu n'iras pas te changer tant que je serais à porter de tes yeux n'es pas?"

Je desséra donc mon étreinte autour de ses hanches, luttant moi même pour ne pas lui sauter dessus comme une bete sauvage. Je me leva caressant de regard chaque partie de son corps si parfait à mes yeux, et je sortie, 'assieyant contre la porte avans de lui dire.

" Change toi ma princesse, et ne t'occupe pas de mon porte feuille. Je t'attend."

Elle était sublime, une perle dans un écrin de satin. Elle était réellement magnifique. Mais je n'étais pas là pour la regarder durant des heure mais pour la présenter à ma famille, enfin à ceux qui partager la demeure et le nom des Karachy. Mais avans toute chose je devais lui dire qui j'étais, et qui elle serait dans cette maison. Je l'emmena donc dans ma chambre, une piece qui communiquer avec sa propre chambre grace à la salle de bain qui était commune mais c'est tout, ainsi elle aurait le loisir de s'entrainer sans que je ne la vois ou même de rester seule. Dans ma chambre, je m'installa sur mon lit, allongé sur le dos, les mains sous la tete. Je n'attendis pas qu'elle s'installe, elle finirais par venir me rejoindre j'en était certain. Mais il me fallais lui expliquer alors je commença:

" Gretchen, mon amour, il faut que tu sache qui je suis ici, et donc qui tu seras lorsque notre union seras officielle. Je suis le chef de la famille karachy, le seul vrai karach de sang. Tout le monde ici m'obéi, comme tu à pu le voir avec ma soeur adoptive. Et, en faisant de toi ma compagne, j'ai fais de toi la maitraisse de cete maison. ils t'obéirons tous, les domestiques bien évidement mais aussi les autres membres, ma soeur, son amis et même les nobles qui viendrons."

je me redressa afin d'admirer son visage, je cherchais à savoir si elle tennait le coup apres tant de révélation:

" J'aurais du te mettre au courrant de tous cela bien avans de te faire ma demande, je m'en excuse."

J'avais détourné le regard. J'avais honte.

Je suivis Arän dans sa chambre. Il se coucha sur le lit et après plusieurs secondes d'hésitation, je m'assis sur le bord. Arän commença à parler. Je baissai la tête et regardai la bague qu'il m'avait donné. Toutes ces révélations me bouleversaient. Je ne voulais pas qu'on m'obéisse. Je ne suis pas faites pour ça. Je n'aime pas donner des ordres. Je n'aime pas me savoir au dessus des autres. Mais si je ne donne pas d'ordre. Ca gênera qui ? Les serviteurs m'aideront s'ils le veulent. Je ne forcerai personne. Excuse moi, mais c'est plus fort que moi. Je n'aime pas ça. Je n'aime pas recevoir et donner des ordres. C'est comme ça. C'est moi. Ca a toujours été comme ça. Enfin bon, ça ne devrait pas gêner. Au pire, je me forcerai. Pour toi.

Je tournai la tête pour regarder Arän. Il détournait le regard. Je m'approchai de lui et posai ma main sur sa joue. Je le fis tourner la tête, le forçant à me regarder. Je lui souris. Pour qu'il comprenne qu'il n'y avait rien de grave. Qu'il me le dise avant ou maintenant, ça changeait quoi ? J'admirai la beauté de son visage, la beauté de son regard. Je me rappelle cette journée dans la forêt. Le moment où il m'a demandé de toucher son visage. Rien qu'à la pensée de ce moment, je sentis le rouge monter à mes joues. Je baissai la tête pour cacher mon visage. J'avais honte de ma timidité et de ma gêne. Lui, ça le faisait rire. Et j'aime bien quand il rit. Je relevai la tête pour planter mes yeux dans les siens. Mes joues commençaient à dérougir. Je posai ma main sur celle de Arän et lui dis sérieusement.

"Crois-tu que ça pourrait changer ma décision ?"

Il ne devait pas s'inquiéter pour si peu. Et c'est moi qui dis ça. Même une histoire de rang ne pourra me faire changer d'avis. Je lui ai dis oui. Et c'est pour la vie. Je ne changerai jamais d'avis. Jamais. Sauf si lui me demandait de ne pas accepter. De revenir sur ma décision. De dire non et de partir. J'aurai le coeur lourd oui. Mais je ne ferais. Pour lui. Seulement pour lui. Et pour personne d'autre. Je n'arrive toujours pas à croire que tout ça c'est vrai. Je me rappelle bien la toute première fois. La fois où il était dans cette maison inconnue. J'étais aveugle, au milieu de cette ville. J'ai rencontré son père qui m'a emmené chez lui. Et j'ai rencontré Arän. Sans vraiment y faire attention. Jamais je n'avais pensé qu'il ressemblerait à cet homme devant moi et qu'il passerait ses jours à mes côtés. Même si dès le première fois on je l'avais rencontré, son aura m'avait intéressé, si différente... Je ne pensais pas qu'il était cet homme qui allait enlever mon coeur. Et je peux vous jurer que ça ne me déplais pas du tout.

Je l'attira contre moi de façon à ce qu'elle soi allongée à mon coté le torse sur le mien... Jamais je n'avais oser faire cela mais là, maintenant, j'avais envie. Alors tendrement mon regard changea, doucement il changea de couleur alors que je me concentrais. Je ferma les yeux une demi seconde et quand je les rouvris ils étaient de couleur noisette, la couleur qu'il avaient avans ma transformation. Mais canine avaient disparu elles aussi. J'attira doucement le visage de ma future femme à moi et je l'embrassa tendrement. Je ne rompi notre baiser que pour plonger mon regard d'homme amoureux dasn celui de ma femme... Oui elle était ma femme, du moin ma futur femme. Mais il restait une chose à faire avans qu'elle ne soi un Karachy à part entiere et cela je ne voulais pas lui dire, je voulais qu'elle le face d'elle même. Je ne savais pas comment lui dire, je ne savais pas comment lui faire comprendre, alors je la laissais, si elle en avait envie, elle le ferais sinon... Nous entendrons.

Les domestiques de la demeure avaient pour consigne d'ignorer notre abscence au diner, de ne pas ce soucier de nous et surtout de dire à ma soeur et mon beau frere de ne pas venir nous déranger. Je voulais etre seul, seul avec elle. Je ferma alor les yeux,... Et avec des gestes rapides et précis j'entrepris d'ouvrir ma chemise, révélant ainsi mon torse nu et blanc à la femme que j'aimais,... je n'avais pas honte, je voulais simplement qu'elle le face,... Qu'elle comprennent que c'était important pour moi,...

De quoi je parle, à quoi je pense... Au fais de boire mon sang, il le fallait mais je ne savais pas si elle accepterais de le faire, me mordre alors que j'avais enterré mon pouvoir Vampirique, alor même que je ne pouvais pas la mordre en retour, pourtant il le fallait, il faudrais que je la morde,... mais plus tard, un autre jour. Je planta mon regard dans le sien lui hurlant en silence:

" Je t'en prie, comprend moi..."

Il m'attira contre et je me laissai faire. Il se passa une chose étrange dans ses yeux. Ils changeaient de couleur. Ses paupières se fermèrent et lorsqu'il les rouvrit, j'admirai ses yeux avec étonnement. Il étaient devenus noisettes. Quand il m'embrassa, je remarquai un changement que je ne compris pas. Je m'écartai doucement de lui et effleurai du bout des doigts mes canines. Mon sang se glaça. Je venais de comprendre. Il n'était plus vraiment un Vampire. Comme s'il était redevenu un humain. Ses yeux se fermèrent et il ouvrit sa chemise. Ma main se posa sur son torse et j'essayais de comprendre. J'aurai préféré ne jamais comprendre...

Mon instinct Vampire me l'avait soufflé. Il m'avait murmuré de céder à mes envies, mes pulsions. Il me disait de le mordre. Lui. Arän. Ma main se retira vivement de son torse et je bondis hors du lit. Je reculai jusqu'à ce que mon dos touche le mur. J'étais effrayée à l'idée qu'il puisse me demander ça. A moi. Si tôt. Alors qu'il le sait autant que moi, je n'arrive pas encore à me contrôler. Je ne suis pas maître de moi-même. Je sentis une larme rouler sur ma joue. Je la chassai de la main et résistai pour ne pas lui faire subir ça. Je croisai son regard et je partis en courant dans la salle juste à côté. Une autre chambre. Sûrement ma future chambre. Je me réfugiai sur le lit qui était contre le même mur que le lit dans la chambre de Arän. Je repliai mes genoux contre moi et croisai mes bras sur mes genoux. JE posai mon front sur mes avant-bras et réfléchis à vive allure.

Tout était confus, ça allait trop vite. Beaucoup trop vite. Je ne pouvais pas faire une chose pareille. Je peux lui faire mal. Ne pas m'arrêter. Lui ôter la vie. Ne pas me contrôler. Me tuer. Pourquoi me demandes-tu de faire ça ? Pourquoi veux-tu que je fasse ça ? Ca ! Je ne peux pas. Tu ne peux pas me demander de faire ça. Jusqu'à maintenant, je n'ai tué que des animaux. Des animaux ! Que va t-il se passer après ça ? Leur sang ne sera plus le même pour moi. Je ne pourrais plus. Il m'en faudra encore. C'est trop tôt Arän. Je ne peux pas. Pas encore. Je ne sais pas. Je suis perdue Arän. Je ne comprends plus rien. Tout est flou. Confus. J'aimerai que tout redevienne comme avant. Que j'arrive à comprendre ce qui m'arrive. J'en ai pleins la tête. Beaucoup trop. J'ai envie que tout s'arrête Arän. Mais je ne sais pas comment. Ma langue effleura mes canines. Et si tout devait se passer comme ça ? Et si j'en étais capable ? Capable de boire son sang pour qu'il coule dans mes veines à jamais. Pour que nous soyons unis par un lien invincible. Je ne sais pas.

Je ne me concentrai que sur mes pensées. Essayant de comprendre. Je ne savais donc pas s'il était là près de moi. Ou adossé au mur. Ou encore dans sa chambre, sur son lit. Je ne savais pas. Mais dans tout les cas, si je parlais il m'entendrait. Je le sais. C'est une certitude qui me pousse à ouvrir la bouche. Je prononçai alors quelques mots, quelques phrases alors que je m'étais calmée. Je relevai la tête pour voir s'il était là. Si je pourrais trouver du réconfort dans son regard. Savoir si depuis tout à l'heure il me regarde. Recroquevillée sur le lit. Je voulais savoir. Je voulais qu'il soit là. Que je puisse me jeter dans ses bras.

"Si je le fais. Que se passera t-il Arän ? Dis moi, s'il te plait..."

" Tu deviendra une Karachy. Une vraie, tu fera partie de moi et je ferais parti de toi. Uni à jamais."

Ma voix était calme tandis que j'étais adocée dans 'louverture de la porte. Je l'avais suivit, je savais qu'elle réagirais ainsi, elle finirait par l'accepter en tout cas... Je l'esperais. je ne l'avais pas quitée du regard, pas une seule fois, je ne voulais plus etre séparé d'elle, plus jamais. ensemble à jamais uni par un lien invisible et impossible à rompre... Les liens du sang. Si elle buvait mon sang elle connaitrait mes pensées les plus intimes, je souris à cette idées. Comment résisté à l'envie de lui offrir cette preuve de mon amour... au plus profond de mon âme une seule chose reignait: mon amour pour elle, son image...

Ma tete ce posa sur le rebord de la porte, mon regard d'humain était devenu tendre, je la voyais comme la voyait les humains: Belle, belle à en mourir et j'offrirais sans probleme ma vie pour elle. Mais pour l'heure elle était fragile, instable, perdue.

Je m'avaça doucement vers elle, respirant calmement. Je m'assis au bord du lit, en faisant attention à ne pas me mettre trop pres, qu'elle puisse controler ses envies, ses pulsions. Si elle le faisait, elle serais s'arréter seule, mais il falait qu'elle soit en pleine connaissance de ses moyens. Elle en était capable, j'avais confiance en elle... Je tourna enfin mon regard vers cette femme parfaite qui serais mienne un jour ou l'autre, et je lui dit combien je l'aimais et combien ...

Il était là. Vers la porte. Je croisai son regard. J'avais envie de lui sauter dans les bras. De me blottir contre lui comme une enfant sauterait dans les bras de son père après un cauchemar. Mas il n'est pas mon père et je ne suis plus une enfant. Je n'arrive pas à sauter sur lui. A apprécier son contact et son odeur. Je n'arrive pas à commander à mes jambes de me faire bondir sur le sol pour me réfugier dans ses bras. Pourtant j'en ai envie. Affreusement envie. Je n'y arrive tout simplement pas. J'ai peur de moi-même. De ce que je pourrais faire. Je ne veux pas. Je ne peux pas. Pas ça. Non. Pas cette chose là. Je fermai les yeux.

Je sentis ses mouvements, les tremblements du sol. Les ondes créées par le bruit et son odeur. Je rouvris les yeux quand il s'assit sur le lit. Il était là. Devant moi. Si près et si loin de moi à la fois. Je relevai la tête. Je lui sautai dans les bras, calant ma tête sur son épaule. Je cherchai ce sentiment de réconfort et de sécurité qui m'habite quand je suis dans ses bras. A chaque fois que mon corps est contre le sien. Que son odeur emplie mes narines. Que sa peau si douce rentre en contact avec la mienne. A chaque fois que je le sais près de moi. A chaque fois que je croise son regard. Quand il est là, devant moi. Je me délai légèrement de lui pour plonger mes yeux émeraudes dans les siens noisettes. Je n'ai pas l'habitude de les voir comme ça mais je les aime bien quand même. Je ne souriais pas. J'étais redevenue parfaitement sérieuse. Calme et maître de moi-même.

''Pardonne-moi... Je ne peux pas...''

[désolée court mais je dois aller manger ^^ (mais le rp est fini quand même )]

Je le serrais calmement dans mes bras. J'étais triste, triste qu'elle ne puisse pas le faire, mais elle n(étais simplement pas prete alors j'attendrais, je la respectais. Elle était dans mes bras, ses yeux dans les miens, quand une voix douce, calme, mélodieuse; envoutante s'éleva, la mienne:

" Pourrais-tu y parvenir si je suis tel que tu m'as connu?"

Sans lui laisser le temps de me répondre je ferma les yeux. Me concentra.

Reveillant doucement un nistinc vieu de plus d'un siecle, un vampire reprend forme. Ses canines s'agrandissent et s'emplissent à nouveau de poison, ses yeux reprirent lentement la couleur de sa nourirture... UN merveilleux reouge carmin, tandis que ces transformation s'oppéraient son instint ce réveillait: Un tueur renait.[/i]

Je rouvris les yeus apres quelques secondes. Leur rouges sang rencontra l'emeraude des siens... U sourire illumina mon visage alors que mes canines devenaient visibles posé délicatement sur ma levre inférieur...
J'avais certe soif mais la beauté de le femme dans mes bras me subjuga, j'oublia instantanément les odeur alléchante qui me montait au nez. Mes yeux devinrent aveugle au reste du monde, emprisonnés dans les emeraude qui lui tennait lieu de regars, mon nez s'empli de son doux parfum et j'oublia doucement l'apel du sang, mes oreilles ce centrèrent sur les battement de son coeur, faisant tourner le monde autour de sa personne, mes mains devinrent avides de la douceur de sa peau... Bref c'était un renaissance pour moi, je la redécouvrait comme elle m'avait vu la premeire fois,... Expérience unique. Ce furent mes yeux qui parlerent pour moi, ils lui dirent combien je tennais à sa personne, combien je l'aimais, ils lui donnerent la force et le courage de le faire, pour enfin lui dire:

" Tu peux le faire."

Je sais que je vais le décevoir. Mais je ne peux pas le mordre. C'est impossible. Je ne peux pas faire une telle chose. Pourquoi dois-je faire ça ? Ai-je vraiment besoin de ça pour être une Karachy ? Mon sang coule déjà dans tes veines. N'est-ce pas suffisant ? Peut-être que je ne me rends pas compte de ce que ça ferai si je buvais ton sang. Mais toi, tu rends tu comptes de l'ampleur de ce que tu me demandes ? Je ne sais pas où as-tu trouvé le courage de me mordre. Moi je n'arrive pas à me dire que je dois le faire. Je n'arrive pas à me dire que ça nous unira. Un lien incassable. Je trouve ça toujours mal. Je n'arrive pas à changer d'avis. Je crois que je ne mérite pas tout ça. Qu'est-ce que tu fais avec moi ? Tu perds ton temps. Je n'y arriverais sans doute jamais.

Si tu étais comme je t'ai connu ? Mais non, ça ne change rien. Arän, que tu sois comme tu es maintenant ou que tu changes radicalement, tu restes Arän. Et ce n'est pas ton physique que j'aime. C'est Arän que j'aime. Et c'est ça qui m'empêche de le faire. Parce que je sais que je vais mordre Arän. Tu comprends ? Je sais que je te déçois. Je sais que par ma faute, tu vas être triste. Mais comprends moi. L'aurais-tu fais à ma place ? Tu sais qui je suis. Je n'arriverai jamais à le faire. J'ai toujours été timide et je n'arrive pas à me lancer dans ce genre de chose. Je ne vois que le côté mal de cette action. Nous sommes si différent toi et moi. Toi tu l'aurai sans doute fais sans hésiter. Moi j'ai envie de pleurer. C'est idiot je sais. Excuse moi Arän. Je m'en veux de ne pas pouvoir faire cette chose qui te tient tant à cœur.

Mais tu sais, c'est difficile à faire ces choses là. Je ne sais pas comment toi tu y es arrivé. Mais moi, je ne peux pas. Rien que de penser au fait de transpercer ta peau avec mes canines. Puis de boire ton sang. Ses yeux étaient de nouveaux rouge. Je les admirai une dernière fois avant de me blottir contre lui. J'ai peur de le faire sans le vouloir. Je n'arrive pas encore à me contrôler. A savoir où il faut mettre le barrage. A prévoir le problème. Ca ne fait qu'une semaine que je suis comme ça. Que je suis Vampire. Tu me demandes déjà tant. Je t'ai dis que je t'aimais et je n'ai pas mentis. Je t'ai dis que je pouvais faire tout ce que tu me demandais. Mais ne suis-je pas entrain de mentir ? C'est trop compliqué tout ça.

Cette chose là, n'est-ce pas lui qui me demande de la faire ? N'a t-il pas cette envie irrésistible de sentir mes crocs dans son cou ? Gretchen... Regarde toi. Tu dois le faire. Pour vous. Pour... lui. Et seulement pour lui. Jamais plus je ne recommencerai. Sauf si c'est lui qui me le demande. Il veut que je le fasse. Il le veut absolument. Alors il faut que je le fasse. Pour son bonheur. Pour voir encore et encore ce sourire sur ses lèvres. Pour qu'il ne soit pas triste. Parce que je l'aime, je dois le faire. Je peux le faire. Il a confiance en moi. Je dois avoir confiance en moi. Pour lui, pour son sourire, pour son bonheur. Pour le rendre heureux. Parce que je l'aime et que je veux qu'il soit heureux.

Mes yeux lui crièrent de m'excuser. Je déposai un baiser sur ses lèvres. Ma main glissa dans ses cheveux blancs. Mon visage se rapprocha de son cou. J'effleurai sa peau d'un baiser et doucement, mes crocs se plantèrent dedans. Une unique larme roula sur ma joue tandis que je buvais son sang. Comment pouvais-je faire ça ? Rien qu'avec la force qui me poussait vers l'avant. La force de mon amour. Ses pensées se mêlèrent aux miennes. Je vis mon visage et tout l'amour qu'il me portait. C'était étrange mais pas désagréable. Je me redressai et l'allongeai sur le lit, face à moi. Je posai ma main sur sa joue et plongeai mes yeux dans les siens. Je l'avais fais pour lui, parce qu'il me l'avait demandé. Maintenant je me rends compte que ce n'est rien. Et je ne comprends pas pourquoi je n'ai pas voulus le faire. Je ne sais même plus ce que je pense. Une seule de mes pensées n'est pas confuse ni floue. Celle qui me montre son visage et qui me dit que je l'aime. Celle qui ne me quittera jamais et qui restera aussi belle et claire. Un léger sourire étira mes lèvres. Oui, je l'aime...

Je me laissais aller à la béatitude de la morsure, je la laissais faire, je lui faisait confiance, totalement. Quand elle m'allongea sur le lit je sus qu'elle avait compris. Ce n'étais rien, rien de mordre la personne que l'on aime, pour devenir comme elle. Je lui souris doucement avans de l'attirer contre moi, de la serrer dans mes bras. J'étais heureux qu'elle l'ai fait, qu'elle ai réussi à affronter cette peur qui la rongeait. ma voix s'éleva à son oreille calme, douce, senseul, juste pour lui plaire:

" Mon amour, tu es désormé une Karachy. Mais pas seulement. Mon sang vas bientot passer dans tes veines, et tu poura maitriser tes pouvoir vampirique plus rapidement."

J'embrassa ses levres avans de me laisser aller sur le lit mouelleux ou nous étions installé. UNe question me trotais dans la tete mais je ne pouvais pas lui demander. J'attendrais le soir pour connaitre la réponce.

(sorry pas térrible et tres court)

Arän se leva. Je le regardai partir et poussai un soupir. Il réapparu quelques minutes après. Je le regardai et lui souris timidement. Il tenait dans ses mains deux verres remplis de sang. L'odeur vint chatouiller mes narines. Je fronçai légèrement les sourcils et plongeai mes yeux dans ceux de Arän. Il me dit qu'il allait prendre une douche. J'acquiesçai doucement de la tête et le laissai sortir de ma chambre. J'observai silencieusement mes mains avant d'entendre la voix de Arän. Un immense sourire étira mes lèvres tandis que mes joues rougirent légèrement. Je me levai et me dirigeai vers la porte. Je l'ouvris doucement et levai les yeux pour les planter dans les siens. J'effleurai du bout des doigts sa joue avant de déposer sur ses lèvres un unique baiser. Je lui souris.

''Alors ? Tu ne devais pas prendre une douche ?''

Mon sourire s'agrandit. Ma main glissa de sa joue en une caresse. Je le dévorais une dernière fois du regard avant de fermer doucement la porte. J'avais envie de lui sauter dessus et de ne pas le laisser partir mais. Plus vite il aura fini, plus vite il reviendra. Je m'approchai lentement de la fenêtre, observant silencieusement le ciel. J'avais passé quatre années de ma vie sans pouvoir admirer sa magnificence. Ca m'a manqué de ne pas pouvoir le regarder pendant des heures. Même si souvent, je m'arrêtai au milieu d'une plaine et je levai la tête. Je savais qu'il était là, au dessus de moi. Je devinais à peu près quel couleur il pouvait avoir mais je ne pouvais le voir. Je poussai un soupir et je m'accoudai au rebord de la fenêtre après l'avoir ouverte.

Je fermai les yeux. La brise était douce et fraiche. Je laissai mon esprit partir dans le monde de mes souvenirs. Je ne pensais à plus rien. Je savais que là maintenant, j'étais vulnérable. N'importe qui pouvait venir et me toucher, me tuer. Mais au moindre bruit, au moindre effleurement, je sortirai de mes pensées. Je sens mes sens qui se baladent. Créant une sorte de bouclier invisible autour de moi. Sans vraiment le vouloir, ça m'entraine à me contrôler. J'essaie de penser à autre chose tout en gardant un lien avec le monde réel. Aussi infime qu'il puisse être. Mais je sais qu'un jour j'arriverais à entendre tout ce qu'il se passe dans cette maison même si je pense à autre chose. C'est inévitable. L'image de Arän surgit dans ma tête. Un sourire étira mes lèvres. Décidément.

Ma douche ne me pris pas longtemp, même pas 5 minutes. Mais je resta invible à son regard, l'admirant dans la lumiere de la fenetre, illuminée par le soleil couchant, belle comme jamais... J'avais vite compris qu'elle même comprennait certaine choses de la vie de vampire à laquel je l'avait contrainte. Je m'en voulais toujour, je n'arrivais pas à penser autre chose... j'avais perdu le controle de mes croc, j'avais succombé à l'odeur alléchante de son sang... Je m'en voulais pour tous ça mais j'étais heureux et ça je ne pouvais rien faire contre. Je sorti enfin de l'ombre apres plusieurs minutes d'admiration... je sorti de la salle de bain comune, me révélant enfin à l'emeraude de son regard. Je vint dériere elle, l'enlaça et lui murmura doucement avec toute ma tendresse:

" Me pardonneras tu un jour mon bel amour?"

Doucement la douche se mit en route. Je me rendais compte encore plus de mon manque de contrôle. Parfois je l'entendais agresser mes oreilles, puis le son devenait doux pour ensuite passer moyen. Je ne contrôlais rien, c'était assez embêtant voir énervant. Même, je pense, très désavantageant lors d'un combat. Je me perdis une nouvelle fois dans mes pensées. Oubliant le son de la douche. En vérité, c'est que je ne l'entendais plus. Je pensais donc l'avoir oublié en me concentrant sur mes pensées puisque je n'entendais rien d'autre. Mes pensées étaient quelque chose de vague. Je n'arrivais pas à penser à quelque chose. Tout était flou. Je ne pensais qu'au moment où Arän reviendrait près de moi.

C'est assez étrange quand même. Voyez vous, dans ma tête tout passe à vive allure. Tout se faufile dans un coin pour être oublier. Tout se bouscule et s'efface devant une image. L'image d'un visage souriant au regard aimant. Le visage de Arän. Je ne pouvais pas penser à autre chose. L'image s'envola, explosa, s'évapora. Elle partit de mon esprit quand je sentis des mains douces se glisser sur mon ventre. Ses mains. J'ouvris les yeux et me laissai aller contre son corps musclé. Ma main se glissa sans difficulté hors de l'étau de ses bras et se posa sur sa joue pour l'effleurer doucement. Je posai mon autre main sur une des siennes. Je fermai de nouveau les yeux. Continuant de caresser très légèrement son visage de Dieu. Un murmure s'échappa de ma bouche. Un murmure que je n'essayai pas de retenir.

''Que dois-je te pardonner Arän ?''

La chaleur de son corps, la douceur de sa voix. Je rafermi ma prise autour de son corps... je voudrais lui dire, lui avouer la honte que j'avais, le haine qui m'animer pour moi même, je me détestais.

" Je t'ai infliger ça... Pardonne moi."

Elle ne pourrait ce controler seule que apres plusieur année d'entrainement, tout comme moi qui avait commencé ma sombre carriere de vampire en tuant des etre d'exemption appeler humains... Je ferma les yeux, me remémorant mon traitre de mentor, ma rencontre avec elle, ma passion pour celle qu'il tua, ma rencontre avec les autres... Mon passé.

Perle de soie qui roule sur le velour d'une joue inconnue. Comment savoir qui tu es, à qui appartiens tu? Je ne sais même pas pourquoi tu es apparue. Je m'en voulais, je m'en voulais de lui imposer une éternité de douleur et de sang, je m'en voulais de ne pouvoir l'aider, je m'en voulais pour ce que j'avais fait, j'aurais aimer ne plus exister en ce jour malheureux ou elle devrait comprendre que je ne pouvais rien pour l'aider à ce maitriser... Et si un jour elle mordais un humains, cette race ou vive ses freres elle s'en voudrais et ne me pardonnerais surment jamais... Je m'en voulais, et les larmes coulaient sur mon visage... Sans que je n'y face rien.

Arän. Comment te dire que tu te trompes. Comment te dire que tout cela est faux. Comment te dire que... Arän, je t'aime. Je t'aime plus que tout au monde. Mon dernier amour était fort et passionnant mais je te jure qu'il n'arrive même pas à la cheville de ce que je ressens pour toi. Je n'ai jamais aimé autant quelqu'un. Même mes parents. Je peux te le dire, je les aimais beaucoup. Arän, tu n'as rien à te reprocher. J'ai choisi d'être immortelle pour rester à tes côtés. A jamais.

Pourquoi penses-tu à ça maintenant Arän ? N'es-tu pas heureux ? Tu ne m'as rien infligé. J'ai accepté. Si je dois en vouloir à quelqu'un c'est seulement à moi. Et à moi seule. Ne te tourmentes pas pour si peu. Je ne regrette rien. Et je n'ai pas peur des épreuves que je vais passer. Je les attends avec impatience. Je les affronterai. Pour pouvoir rester avec toi. Contre toi. Pour pouvoir t'aimer comme jamais je n'ai aimé. Pour pouvoir t'avouer encore et encore qu'il n'y aura que toi même après ma mort. Pour pouvoir apprécier le son mélodieux de trois mots simples : Je t'aime. Tout ça pour toi. Pour moi. Pour toi et moi.

Laisse moi rêver que toi et moi ne se finira pas...

Ses larmes compressèrent mon cœur dans un étau de tristesse. Pourquoi pleures-tu Arän ? Pourquoi ces larmes sur ton visage ? Tes larmes me font mal. Quand je te vois si triste, si honteux. J'ai envie moi aussi de pleurer. De pleurer ton malheur. J'essaie de faire tout mon possible pour te rendre heureux. Mais malgré mes efforts, je n'y arrive pas. Tu es mal au fond de toi et je ne peux pas t'aider. Je ne sais pas comment t'aider. J'ai peur de te faire plus de mal que de bien. J'ai peur que ce soit de ma faute. J'ai peur du jour où tu ne m'aimeras plus.

''Arän, tu n'as rien à te faire pardonné...''

Je me retournai dans ses bras pour me retrouver face à lui. J'essuyai ses larmes d'une caresse. Je souris légèrement et plongeai mes yeux dans les siens. Je posai mes mains sur ses joues et approchai mon visage du sien. Je déposai un baiser sur son front puis sur sa joue avant de l'embrasser doucement. Je rompus pour me blottir contre lui. C'est rare que je fasse ça mais pour une fois, je ne rougis pas...

Je lui rendit son baiser, heureux d'avoir trouver la femme parfaite et l'harmonie supreme. Je la serra plus fort dans mes bras, la pressa contre mon coeur.
Un moment passa, nous étions enlacés et je ne voulais plus bougeais. Mais je m'écarta d'elle légerement ne rompant sous aucun prétexte mon étreinte, je voulais juste lui parler:

" Mon amour, te souviens-tu ce Maiwen? "

Je ne lui parlais pas de la fillette pour rien, non non. Je savais de source sur que la petite avait grandit, suite à la présence du venin dans ses veines, elle avait muri aussi plus vite que la normal. Mais elle avait réclamée Gretchen, elle ce souvennait d'elle... Elle savait ce qu'elle était, elle avait besoin de réconfort. J'avais songer que ce serais une bonne idée... et si Maiwen faisait n'importe quoi, nous serions assez réactif, son pere adoptif comme moi pour les séparer avan une quelconque éffusion de sang.