Isil Sarawyn

Isil Sarawyn

[ » Nom (Sauf non humanoïde) :
* Sarawyn

[ » Prénom :
* Isil

[ » Âge (+âge d'apparence pour ceux qui vivent longtemps) :
* 335 ans -> 18 ans

[ » Race :
* Elfe

[ » Classe :
* Sentinelle

[ » Arme(s) / Élément(s) :
* Ses créations

[ » Description (3 lignes):
* Isil ne ressemble pas tellement à son frère. Contrairement à lui, elle a les cheveux d'un noir encre. Elle n'a pas non plus grandi autant que lui. Pour le moment, Isil a gardé un visage fin et jeune. Elle a, bizarrement, un oeil violet et un oeil orange. Depuis sa naissance personne ne comprend ce phénomène. Personne dans sa famille n'a les yeux orange ou violet. Alors que lui, Adanaëll, a hérité de la beauté des yeux de sa mère. Elle, elle a ses yeux à elle. Isil n'a qu'une robe entièrement noire, qu'elle ne met presque jamais. La plupart du temps, elle porte une veste noire enfilée par dessus un maillot blanc, et un pantalon noir. Ses cheveux lui arrivent à la taille. A part ça, elle n'est pas très grande mais pas toute petite non plus. Environ 1m70 voir 75. Elle porte des gants noirs. Elle n'a plus qu'un souvenir de son frère, ce qu'elle porte autour du bras, un étrange bracelet tressé avec des lanières de cuir noir.
Elle a un sabre qui n'apparaît que quand elle le veut. Il est orange et violet, même la lame. Ce qui forme un mélange étrange, un mélange naturellement gracieux et magnifique. Bizarrement, personne ne peut toucher son sabre. Quand on veut essayer, soit on est repoussé, soit il disparait.

[ » Caractère (5 lignes) :
* Isil a un caractère bien à elle. Elle est tout le temps joyeuse. A part une fois par an. Elle est très respectueuse et n'hésite pas à se taire quand elle rencontre une reine ou un roi. C'est une jeune fille particulièrement curieuse. Mais le pire, c'est le genre de question qu'elle peut posée et le nombre de question qu'elle pose. En plus, à peine les réponses sont données qu'elle enchaine sur une autre série de question. Plutôt naïve sur certains sujet, comme la relation entre un garçon et une fille. Elle connait bien le principe de l'Amour. Mais son problème, c'est qu'elle ne sait pas ce qu'elle ne devrait pas faire. Comme remercier un homme en sautant dans ses bras et lui faisant un baiser sur la joue sans sa permission. C'est une des choses qu'elle fait très souvent.
Isil est une jeune fille qui ne connait ni la timidité, ni la gêne. Ce qui lui attire parfois des ennuis. Elle est plutôt intelligente et ne comprend pas l'utilité d'une insulte. Surtout qu'elles ne l'atteignent pas.
Elle a oublié son nom de famille et certaine chose. Seul le visage de son frère reste bien net dans son esprit. Isil se rappelle des hommes qui la pourchassaient. Elle s'est mit dans la tête de venger sa famille si elle croise une personne avec le même uniforme. Pour elle son frère est mort par la faute de ces hommes. Elle pense être la seule survivante de sa vraie famille mais elle ne se rappelle de rien. Elle s'est rendu compte qu'elle ne vivait pas avec sa famille mais ne sait rien de plus sur elle. Comme si certains de ses souvenirs avaient été effacés. Elle ne se rappelle que de son frère, du visage d'une hybride et des hommes en noir portant un sabre jaune. Elle sait qu'elle aime la fille et son frère mais n'a toujours pas comprit pourquoi elle déteste ces hommes en noirs et veut leur mort.
Derrière ses airs de petite fille, Isil reste redoutable. Elle manie très bien les armes et est très rapide, souple et agile. Ne vous fiez pas aux apparences, c'est une combattante très expérimentée. Elle ne fait qu'un avec son sabre qui disparait et apparait quand elle le décide. Son combat ressemble à une danse qui n'a pas de pas spécial. Elle varie sans cesse d'attaque et de façon pour se défendre. Jamais vous ne pourrez comprendre la technique et très rare sont ceux qui trouvent une feinte pour l'attaquer, la blesser ou en tout cas, la mettre hors combat.
Enfin, bref, vous verrez par vous même.

[ » Histoire (3 lignes) :
* - Isil ! Venez s'il vous plait !
Je tournai la tête et fronçai les sourcils. Pourquoi ma mère m'appelait-elle ? Je souris à la lune et me relevai d'un geste souple et gracieux. Depuis que mon corps avait grandi, je l'avais entretenu de mon mieux pour qu'il soit le plus parfait possible. Maintenant, je peux me faufiler partout sans problème. Je ne me pressai pas pour rentrer chez moi. J'aimais bien la nuit. Beaucoup trop. J'aurai aimé rester dehors jusqu'à l'aube mais ma mère ne voulait pas. Elle n'aimait pas me voir toute seule à l'extérieur et dans l'ombre. Ce qu'elle ne sait pas, c'est que j'ai créé un sabre magnifique que je sais parfaitement manier. Mais c'est un secret. Elle ne doit pas le savoir sinon je n'ai plus de tête.
Un mouvement attira mon attention. Un sourire étira mes lèvres. Il se faufila derrière mon dos et tendit le bras pour m'attraper. Son bras se referma dans le vide. Avec plus de souplesse et de rapidité qu'un chat, je m'étais glissée dans son dos. J'attrapai son épaule et le retournai. Après avoir déposé sur sa joue un baiser, je lui offris un large sourire.
- Salut ! Tu vas bien ?
- Isil ! Mais comment... Tu... Encore raté.
Mon rire s'éleva avec douceur dans la nuit. Il me faisait bien rire. Depuis le début il s'entraîne pour essayer de m'avoir un jour. Mais à chaque fois je suis plus rapide. Je lui caressai le visage en souriant.
- Isil ! Dépêchez-vous !
Un frisson parcouru mon dos. Mon père était en colère, il fallait que je rentre. Je sais, je ne suis plus une gamine mais c'est mieux comme ça. Je déposai un tendre baiser sur ses lèvres et il s'empourpra. Je lui souris.
- Bonne nuit.
Je ne fis pas attention à sa gêne et je partis en courant. Si je rentrais trop tard, mon père allait réveiller tout le quartier. Je me dépêchai donc. Je m'arrêtai devant la porte, essuyai mes pieds et entrai tête baissée. Je poussai la porte sans bruit et la refermai avec délicatesse. Mon père était assis dans un fauteuil près de la cheminée. Face à lui, un homme que je ne voyais pas occupait le deuxième fauteuil. Je m'inclinai face à mon père.
- Vous voilà enfin, Isil !
- Désolée pour mon retard père.
- Je voulais vous présenter cet homme. Il s'appelle Stéfen.
Mon coeur eut un raté quand je découvris le visage de l'invité. Son nom m'avait évoqué vaguement quelque chose mais il me semblait que son visage m'était familier. Ma respiration se coupa et je tombai en arrière. Je sentis des bras solides me retenir avant que je ne tombe. Puis se fut le noir total...

- Elle n'a pas complètement perdu la mémoire. C'est bien ce que je pensais.
- Impossible ! Elle ne nous a jamais parlé de son passé ou de ce qu'elle se rappelait !
- Réfléchis un peu ! Elle ne pouvait pas vous en faire part. Tu aurais réagi pareil.
- Taisez-vous ! Elle se réveille.
J'entendais des cris, j'entendais des pleurs. Je sentais l'odeur de ma chambre, je sentais l'odeur du sang. Je sentais la douceur des draps, je sentais une douce main dans la mienne. Je voyais Stéfen et mes parents, je voyais un jeune homme. Une douleur au niveau du coeur me plia en deux et je poussai un cri. Des larmes roulèrent sur mes joues et Stéfen s'approcha. Une voix résonna dans ma tête. Une voix d'homme. Une voix que je connaissais que trop bien. Un voix qui me disait trois mots. Je t'aime.
- Adanaëll !
Ce mot m'était sorti de la bouche comme un cri, une plainte. Je m'agrippai au bras de Stéfen et plantai mes yeux dans les siens. Je sentis son frisson et cru le comprendre. Il avait peur. De moi ? Vraiment ? Mes yeux se posèrent ensuite sur ma mère qui sursauta. Seul mon père resta de marbre. Mais je savais qu'il avait autant peur que les autres. Tout en l'assassinant du regard, je commençais à dessiner. Je réfléchis un moment puis, ne voulant pas sa mort, je créai un sot d'eau glacé qui se renversa sur sa tête. Je me redressai satisfaite. Seulement, mon père ne sortit pas. Il dût se douter de mes projets et voulu attraper ma main. Trop tard. Nous avions déjà disparu...

- Où sommes-nous ?
- C'est toi qui devrait me le dire Stéfen.
Je m'étais téléportée en emmenant Stéfen avec moi. Nous étions dans une maison de luxe. Il n'y avait personne. Seulement nous deux. Je pris son poignet et l'emmenai à l'étage. J'ouvris une porte qui donnait sur une chambre baignée dans l'obscurité. Je créai au bout de mes doigts une flamme orange et avançai. Je m'arrêtai près d'un lit d'enfant et me retournai. Stéfen me suivait et regardait les lieux avec attention. Il essayait de me faire croire qu'il ne connaissait pas ces lieux. Mais l'étonnement sur son visage était faux. Il vit alors ce qui était posé à mes pieds. Un magnifique sabre bleu. Je me baissai pour le ramasser et il voulu me retenir. Mais ma main se posa sur la poignée et je me relevai. La lame se posa sur la gorge de Stéfen.
- Vous m'avez tous menti !
- Tu as perdu la mémoire Isil et...
- Non ! Vous avez effacé ma mémoire ! Je le sais !
- Isil calme toi. Tout ça ce n'est pas vrai.
- Tu continus de me mentir !
- Mais je...
- Vous m'avez bien dit que les sabres forgés par leur propriétaire ne peuvent être touché que par la famille de leur créateur !
- Oui mais...
- Alors comment explique-tu que ce sabre n'appartient pas à mon père et que pourtant je puisse le toucher !
- Parce que c'est un sabre normal il n'a rien...
- Menteur ! Ce sabre a été créé par mon vrai père ! Je sais reconnaitre la différence entre un sabre comme celui-ci et un sabre normal !
- Mais comment peux-tu...
- Parce que moi même j'en ai créé un voix-tu ! J'en ai marre de vos mensonges ! Maintenant je comprend mieux ma haine envers certains, parce que cette haine fait parti du passé que vous m'avez fait oublier ! Mais pourquoi !!
- Parce que tes...
- Je ne veux plus cette réponse ! Vous me décevez ! Tous !
La colère montait en moi. Un filet de sang coulait sur la gorge de Stéfen. Je lâchai le sabre bleu et le mien apparut. Magnifique sabre violet et orange. Il sortit de son fourreau avec un chuintement meurtrier et je m'approchai de l'homme apeuré. J'entendis des pas dans l'escalier. Deux hommes. Ils étaient vêtus de noir et avaient chacun un sabre jaune. Je fis un pas vers eux. Peut-être avais-je crié trop fort. Mais ce n'était plus mon problème. Les hommes arrivèrent sur moi.
Alors que le premier allait abattre son sabre sur ma tête, celui-ci se transforma en plastique et je glissai le long de son bras pour lui enfoncer mon sabre dans le ventre. Le deuxième reçu de l'eau sur tout le corps et gela avant d'exploser en pleins de petits morceaux de glace. Je pris le poignet de Stéfen.
Des hommes montèrent l'escalier. Ils étaient cinq. Ils entrèrent dans la chambre et trouvèrent leur deux compagnons. Un était éparpillé dans la salle sous forme de glaçons. L'autre était effondré sur le sol et tenait dans sa main un sabre en plastique. Il n'y avait aucune trace de la fille et de l'homme qui l'accompagnait. Ils s'étaient... Envolés...

- Stéfen ! Que s'est-il passé ?
Ma mère venait de me percer les tympans en découvrant le sang sur la gorge de Stéfen. Je levais les yeux aux ciels. J'avais tâché mes habits avec le sang d'un autre et pourtant, je pouvais me mettre sous ses yeux, elle ne verrait rien. Mon père arriva. Il avait revêtu un pantalon et était torse-nu. Il s'essuyait les cheveux avec une serviette. J'écarquillais les yeux. Jamais je ne l'avais vu comme ça. Il semblait plus attirant. J'avais beaucoup plus envie de lui parler qu'avant. Je découvrais enfin ce qu'il m'avait caché. Sa beauté et toutes ces cicatrices sur son corps. Je n'en croyais pas mes yeux. C'était vraiment lui ? Je secouais la tête. Ma mère discutait avec Stéfen en lui pansant sa minable plaie. Je lâchai un soupir.
- Comment as-tu réussi à te faire ça ?
- Ce n'est pas moi.
- Qui ?
- Tu le sais très bien.
La voix de mon père s'était élevée. Haut et fort. Je me frottais les yeux mais c'était bien vrai. C'était bien lui. Ma mère avait arrêté son geste et un frisson traversa son corps. Elle s'ébroua comme pour sortir d'un mauvais rêve. Puis ses yeux se posèrent sur mon père, suppliant.
- Tu sais très bien la vérité. Ca devait arriver. Isil a grandi.
Tous les regards se posèrent sur moi. Je fronçai les sourcils sous l'incompréhension. Que se passait-il au juste ! Ca m'énervait plus qu'autre chose. Mon père posa ses yeux dans les miens et je sursautai. Je ne comprenais pas tout mais une chose était clair dans mon esprit. Je n'avais plus ma place ici. Je reculai jusqu'à la porte et lançai un dernier mot à ma fausse famille.
- Adieu !
- Non Isil ne partez pas !
Ma mère avait hurlé. Je me retournai et posai une main sur la poignée. Doucement j'ouvris la porte et respirai l'air frais de la nuit. Sans me retourner je répondis à ma mère.
- De toute façon vous ne m'avez jamais aimé mère...
Je l'entendis pleurer et je fis mon premier pas dehors. Un poids énorme s'envolait de mes épaules. Un sourire satisfait étira mes lèvres. Je continuai de marcher tandis que les cris de ma mère essayaient de me retenir. Mais j'avançai. Bientôt la maison disparut dans l'obscurité et ses cris avec. Je faisais mes premiers pas vers un avenir qui me plaisait. Un avenir qui me rendait joyeuse. Je m'arrêtai, levai la tête vers la lune et après une longue inspiration, je disparus...

[ » Avantages (Minimum 5) :
* Belle, Gentille, Affectueuse, Joyeuse, Parfait maniement du sabre, Ne fais qu'un avec son sabre, Guerrière redoutable.

[ » Inconvénients (Minimum 5) :
* Naïve. Ne connait pas la timidité et la gêne. Veut se venger. Amnésique. Curieuse.

[ » Maîtrise de la Magie ?
* ✓

[ » Niveau de maîtrise du pouvoir (pour ceux qui maîtrise la magie) :
* Maître. Elle maîtrise parfaitement son pouvoir. La téléportation. Elle peut aller d'un endroit à un autre autant de fois qu'elle le veut mais il y a quand même des limites. Ca lui prend de l'énergie et son énergie a une limite très précise. Si elle se téléporte trop de fois à la suite, elle peut tomber dans les pommes. Elle peut aussi se téléporter à un endroit qu'elle ne connait pas. Mais elle ne préfère pas trop le faire. Ca lui demande beaucoup plus d'énergie. Le petit inconvénient, c'est que si elle est surprise, ça peut arriver qu'elle se téléporte sans vraiment le vouloir.

[ » Par qui ou quoi avez vous connu FFC ? :
* Yunie

[ » Avez-vous des conseils pour nous ? :
* Toujours pas XD

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