La nuit... [libre]

Je fus surpris et ramené à la réalité lorsque je reçus l'eau sur mon bras. Je remarquais des traces de brulure sur ma manche. Elle était en train de prendre feu sans que je m'en rende compte... Elle se mit devant alors que je n'avais pas compris sa phrase.
Je vis une petite flamme orange sur son doigt puis tout son corps s'embrasa avant de s'éteindre.
Je m'étais levé d'un bond lorsque je l'avais vu en feu. Une foi le feu éteint, je me sentais un peu idiot de m'être inquiété comme ça.
Je lui souris. Je compris qu'elle voulait détendre l'atmosphère. Je retroussais mes manche et je me dirigeais vers le foyer.

"Moi aussi je peu jouer avec le feu."

Je plongeais ma main dans le foyer. Je remuais les braises avant de ressortir ma main qui avait rougit.

"Seulement que moi je ne peux le faire longtemps."

Je remettais mes manches en place avant de me retourner vers Isil.

"Tu veux faire quelque chose? J'ai pas envie de dormir..."

J

"Tu sais faire quoi toi ?"

J'

Elle cogita un moment. Elle se téléporta non loin de moi et me demandais ce que je savais faire. Elle n'avait pas remarqué que j'étais assassin? Très bien, je vais donc lui montrer.

"Ce que je sais faire? C'est très simple, je vais te montrer."

D'un mouvement rapide je me retrouvais derrière elle, tenant sa tête d'une main et laissant ma lame sous sa gorge.

"Je sais tuer, je suis un assassin."

Je relâchais vite mon emprise en rengainant ma lame. Je retournais m'assoir en la fixant.
Il y avait quelque chose d'étrange dans son regard. Comme une lueur espiègle...

"Toi tu as une idée derrière la tête... Et c'est inquiétant je dois dire..."

A croire que j'avais déjà cerné son comportement...

J

"C'est tout ? Juste tuer... Pour une fois que je n'avais rien en tête Hawk. Mais tu viens de me donner une idée. "

J

"Montre moi ce que tu as dans le ventre Hawk !"

C

Je croyais rêver. C'était donc ça qu'elle avait en tête? J'ai l'impression de voir Miloniä en un peu plus jeune... Bref.
Je me dirigeais dans le cercle qu'elle avait créé. Je la fixais droit dans les yeux avant de me mettre en garde, à mains nues.

"Je te préviens tout de suite, je combat toujours sans me soucier de mon adversaire."

Elle faisait tournoyer son sabre. Je savais qu'il ne fallait pas la sous-estimer. Je suis sûr que c'est un adversaire de taille.
Je fis un demi-pas en arrière avant de me jeter sur elle. Elle dégainais son sabre et m'envoyais un coup que je réussi à parer. Elle avait de la force... Je m'écartais vivement d'elle avant de repasser à la charge. Cette foi-ci, j'esquivais le coup et lui fis un croche patte qui la fis chuter.
Je revenais dans mon coin, épée en main.

"Tu en as de la force, on dirait pas comme ça..."

J

"Je te l'ai dis, méfie-toi des apparence."

M

J

Elle était forte et agile.
Elle me plaqua au sol avec un peu de brutalité... Je toussais. je reprenais mon souffle. Je me redressais et affichais un sourire en coin. J'observais les éléments qui m'entouraient. Un air malicieux se dessina sur mon visage. Je me relevais et je fermais les yeux. Je me concentrais sur sa respiration. Le feu qui crépite, les insectes de la nuit, son souffle régulier, mes battements de coeur... J'entendais tout cela. Je rengainais mon épée et me mis en garde à mains nues, gardant les yeux fermés.

"Ouvre grand tes yeux et n'en perd pas une miette."

Je sautillais. Je sentais où j'étais, mes sens étaient augmenté du fais de bloquer ma vue. Je ne me fierais pas aux apparences. Je chargeais. je bondis, saisissant le lustre au dessus pour atterrir derrière elle. J'enroulais mon bras autour de celui qui tenait son sabre et je passais l'autre autour de son ventre pour la serrer contre moi.

"Alors?"

Lui avais-je murmuré à l'oreille avec une voix douce. Elle se retourna vivement et j'esquivais son coup en glissant sur le sol. Une chaise était près de moi. Je la saisi et m'en servis pour bloquer son attaque. Je revins rapidement sur mes jambe et je bloquais son bras qui allait me toucher. J'ouvrais à nouveau mes yeux et elle était en face de moi.

"Là, j'ai eu chaud."

La lame était à quelques centimètres de mon visage...

I

"Alors ? Alors, tu es un très bon assassin. Légère pause. Mais je me demande bien si certaine chose ne pourrait pas te déconcentrer. Comme ce qui déconcentre tous les hommes."

M

Il faut dire qu'elle est coriace. Je suis un très bon assassin? Tu n'as jamais croisé Milo alors...
Elle fit disparaitre son sabre puis s'avança vers le foyer. Elle s'installa sur le fauteuil dans une position très décontractée...
Pendant ce temps, l'aubergiste vint me trouver pour me prévenir qu'il allait dormir et qu'il n'était pas loin.
Je me dirigeais près d'Isil, je m'asseyais non loin d'elle en la regardant reprendre des forces. Elle était adorable dans cette position. On dirait un chat qui s'étend de tout son long pour se reposer. Un sourire vint éclairer mon visage.
Cependant, il y eut un bruit étrange près de l'auberge. J'enfilais ma veste, remis ma capuche et je me mis à la fenêtre pour regarder ce qu'il se passait. Une détonation et je me retirais vivement de la fenêtre. Un éclair la traversa à ce moment. Un mage devait vouloir jouer. Je sortis par la fenêtre brisée et je me retrouvais encerclé.
Des hommes en noirs avec des sabres jaune.... Souvenir, souvenir.
L'un d'entre eux ne portait pas de sabre mais sa main fumante m'indiquait qu'il était l'auteur de cet éclair.

"Où est la fille?"
"Vous croyez vraiment que je vais vous le dire?"

Je dégainais mes lames et je me ruais sur le mage. J'esquivais deux éclairs et m'en pris un en pleine épaule. je réussi à le tuer mais je me retrouvais mal en point pour les autres...
Je me levais et me précipitais vers l'auberge, évitant les coups de sabres. Je bondis à travers la fenêtre brisée avant de tomber sur le dos sur une table. Mon épaule était en sang. Je tournais la tête vers Isil.

"Il y a tes copains dehors, j'en ai tuer qu'un, le plus gênant. Je pourrais rien faire de plus..."

A ce moment tout les autres entrèrent dans l'auberge. Ils n'avaient surement pas vu Isil vu qu'ils se regroupèrent tous autour de moi, près à frapper.
Je fermais alors les yeux. *C'est long une seconde par moment....*

J'

Q

I

J'

I

U

"Qu'ai-je fais ?"

Je passais un long moment les yeux fermés et inconscient. Lorsque je revins à moi, je me relevais et constatais la présence d'un bandage autour de mon épaule meurtrie.
J'entendais des sanglots. Je levais la tête et vis Isil recroquevillée dans un coin de la salle. Je me levais en hâte pour la rejoindre au plus vite.
Elle était en larme, elle n'était pas habillée comme tout à l'heure mais je m'en fichais royalement. Elle pleurait et c'est tout ce qui m'importait.
Je m'agenouillais à côté d'elle en posant ma main sur son épaule. Elle devait pleurer depuis un moment. Je la pris dans mes bras en la serrant contre moi.

"Calme toi Isil. C'est fini. Arrête de pleurer s'il te plait..."

Je ne savais pas ce qu'il c'était passé mais ça l'avait beaucoup affecté. Le bandage autour de mon épaule disparut et se transforma en lien pour cheveux.
Je caressais doucement ses cheveux pour essayer de la calmer.

"Je sais pas ce qu'il c'est passé mais je suis sûr d'une chose, c'est terminé. Calme toi..."

Ma voix était douce et je faisais ce que je pouvais pour lui donner un ton réconfortant.
Je ne supportais pas de voir une amie pleurer...

"Je sais que je ne représente pas grand chose mais je suis là, je suis là si tu veux. Tu peux compter sur moi..."

J

"Merci..."

J

Elle se hissa à mon oreille pour me murmurer un 'merci'. Elle nous téléporta dans la chambre et s'évanouit dans mes bras. Je la regardais d'un oeil bienveillant. Elle était épuisée et elle méritait bien un peu de repos.
Je dégageais les couverture et l'installa dans le lit. Je la recouvrais de la couverture avant de m'assoir à côté du lit.
Je posais ma main sur son front pour vérifier qu'elle n'avait pas de fièvre. On sais jamais dans un état de fatigue pareil...
Je lui caressais délicatement les cheveux. Elle était adorable quand elle dormait. Une enfant. Voila ce à quoi elle ressemblait.
Je récupérais mon livre que je rangeais dans ma veste. J'allais fermer la porte et les fenêtres ainsi que les rideaux.
J'éteignais les lumière avant de revenir à son chevet.
Le soleil devrait se lever d'ici deux bonnes heures. Je n'étais pas fatigué. Je restais donc là, à veiller sur elle comme..... comme un grand frère...

J

U

J

"Désolée, je voulais voir le soleil se lever."

Je vis Isil se réveiller, me sourire avant de se dégager du lit. Elle vint à la fenêtre pour constater que le soleil allait bientôt se lever. Elle posa sa main sur mon épaule et, avant même que je réagisse, nous nous retrouvions sur le toit.
Il faisait frais mais ce n'était pas désagréable. Elle se couvrait les épaules avec une couverture qu'elle avait invoquée avant de s'excuser de m'avoir emmené ici.

"Ne t'inquiète pas, je comprend."

Je m'asseyais près d'elle sans pour autant être contre elle. Elle était comme une enfant contemplant le lever du jour pour la première foi.
Le soleil se levait. Le ciel prit une teinte rouge claire, qui vira ensuite à l'oranger, pour venir au jaune du soleil.
Magnifique....
Déjà, on pouvait entendre la nature se réveiller. Les hommes aussi étaient réveillés, la cheminée transporta l'odeur du petit déjeuner.
Je me relevais et pris Isil dans mes bras pour la porter.

"Désolé, je commence à avoir faim avec toute cette agitation cette nuit."

Je bondis au sol avec Isil avant de la déposer et de rentrer avec elle dans l'auberge. Je nous installais près du feu.

"Je t'invite, sa te dérange pas?"

L

"Moi j'ai tout l'argent que je veux alors JE t'invite."

J

J'

Visiblement, elle voulait m'inviter. Avec elle je préfère ne pas discuter car ce serait inutile. Quand l'aubergiste arriva, Isil tomba de sa chaise. Je ne comprenais pas mais je me contentais d'un sourire et d'un haussement d'épaule.
L'auberge se remplissait peu à peu et déjà les ivrognes faisaient leur apparition.
Ils s'installèrent au bar et buvaient verre sur verre.
Ils commençaient à embêter la serveuse qui les remit à leur place d'un verre d'eau en pleine figure.

Nous mangions tranquillement quand une odeur d'alcool vint à mes narines. Les deux ivrognes se rapprochaient de notre table et commençaient à venir vers Isil. Je me levais vivement et m'interposa entre eux et Isil. Ma capuche laissait voir mon oeil où était inscrit la colère.

"Laisse nous le capuchon, on veut causer avec la demoiselle."
"J'ai bien peur de ne pas pouvoir accéder à votre requête messieurs."
"Tu te fou de nous c'est ça espèce d'emm*rdeur public !"

Déjà l'homme me menaça d'un couteau. Le second fit de même. D'un mouvement vif et rapide, j'étais derrière eux à leur tordre le bras et les mettant à genoux.

"Allez cuver votre alcool ailleurs, on est pas intéressé. Surtout si c'est pour nous déranger."

Il firent un geste obscène envers Isil et je fini par être vraiment énervé. Je les pris par les cheveux et leur fis entrer violemment en collision leur boîte crânienne.

"Apprenez le respect !"

Les deux hommes s'effondrèrent au sol, la tête en sang... Tout les autres me regardaient avec peur. Je haussais les épaules avant de me rassoir et de manger.

J

Isil ne semblait pas aller bien, vu sa réaction je dirais qu'elle a peur des hommes...
Je me levais pour me diriger vers elle. Je m'agenouillais près d'elle en posant ma main sur son épaule.

"Isil, tu ne vas pas bien à ce que je vois. Viens, suis moi."

Je la saisi délicatement par la main pour l'emmener avec moi. Nous montions l'escalier afin d'atteindre notre chambre. Je fermais la porte derrière nous avant de la faire s'assoir sur le lis.
Je m'assis en face d'elle.

"Tu veux m'en parler? je peux peut être t'aider..."

Ma voix était douce et calme. J'étais convaincu que ce qui lui était arrivé cette nuit a dû la traumatiser...

"S'il te plait, je vois bien que tu est mal. Si c'est de ma faute j'en suis vraiment désolé. Pas doué comme je suis c'est surement à cause de moi. Excuse moi."

H

"Tu aimerais toi être le centre d'attention d'ivrognes obsédés par les courbes de ton corps ? Tu aimerai devoir supporter leur regard qui courent sur ton corps sans se gêner et avec un très grand plaisir ? Tu aimerai voir leurs yeux te crier qu'ils n'ont qu'une seule envie, regarder ton corps comme avec leurs yeux, mais avec leurs mains ? Tu aimerai savoir que en plus, tu es censé être beaucoup plus jeune qu'eux ? Je sais pas si tu comprends..."

P

Elle m'expliqua tout et je comprenais. Je comprenais que j'avais vu juste et aussi quelle était la source de son problème. Je retirais ma capuche afin de dévoiler complètement mes yeux. Je posais mes doigts sous son menton afin de lui redresser délicatement la tête. Je plongeais mes yeux remplie d'affection dans les siens.

"Je comprend. Ne t'inquiète pas je comprend ton problème. C'est pour éviter de faire subir ça aux femmes que je n'ose poser le regard autre par que sur leur visage. Tu es une belle fille et les pauvres dégénérés d'homme dont est fait ce monde ne voient que ça. Ils ne voient que ton physique."

Je retirais ma veste avec ma capuche afin qu'elle l'enfile. Elle était un peu grande pour elle mais ça devrait quand même le faire.

"Utilise ma veste. Elle cachera ton corps à ces idiots. Je veux te protéger et j'espère le faire bien..."

Je vins m'assoir à côté d'elle. Je la serrais contre moi affectueusement.

"Tu pourras toujours compter sur moi pour t'aider, te soutenir et te réconforter. Un peu comme... Comme un frère. Si tu le souhaite je peux jouer ce rôle pour toi."

Je relâchais mon étreinte avant de revenir à ma place d'origine. Je posais mes yeux verts sur son visage. On pouvait voir que ce n'était pas de la convoitise qui se trouvait dans mon regard, mais de la compassion. Je tiens à l'aider, je tiens à être là pour elle quand elle en aura besoin...

J

"Merci."

J

"Pour le rôle de frère je préfère pas."

Je la regardais enfiler ma veste et dessiné quelque chose qui ressemblait à une ceinture. J'avais un sourire satisfait. Ses formes étaient devenues bien plus discrète.
Elle sauta dans mes bras, déposant un baiser sur ma joue avant de me remercier. Je lui fis signe que ce n'était rien. Elle prit ma main et nous téléporta à notre table. La serveuse était sur le point de débarrasser lorsque Isil l'arrêta gentiment avant de lui murmurer quelque chose. Elle refusa cependant mon offre pour être son grand frère.

"Pas de problème. En tout cas moi je te verrais comme ma petite soeur... Si sa ne te dérange pas bien évidemment."

J'observais discrètement les hommes de la salle qui jetèrent un rapide coup d'oeil vert nous avant de reprendre leur conversation. Mon idée avait l'air de marcher.

La porte de l'auberge grinça et un homme surgit. Sa tête m'était connu. C'était une de mes cibles actuelles. Il fallait que je le tue et que je le décapite sans que personne ne s'en rende compte... Dur dur....
J'écrivis un mot pour Isil afin de ne pas être remarqué. Je lui indiquait d'un rapide coup d'oeil ma cible avant de me lever afin d'aller en cuisine.
Je connaissait les allergies de ma cible et demanda au cuisinier s'il pouvait ajouter de l'huile d'arachide sur son plat. Je lui expliquais qu'il adorait ça et il ne chercha pas à comprendre. J'apportais le plat à la serveuse qui alla le servir à l'homme en question.
L'effet réussi. Il s'étouffa. Je le fis monter à l'étage et demanda au gens de me laisser faire et de retourner à leur repas. Ils hésitèrent avant de s' exécuter.
Je penchais le corps par la fenêtre afin de le décapiter. L'aigle apparut et vint récupérer la tête. Je jetais de toute mes forces le corps qui atterrit dans un arbre. J'essuyais mon arme avant de redescendre tranquillement. Je revins à notre table. Personne ne me remarqua et ne me posa de questions.

"Je trouve que ma veste te va bien, pas toi?"

J

"Moi je trouve que tu prends de gros risques. Que sais-tu sur tes victimes ? Comment peux-tu prévoir la réaction d'une de tes victimes ? Et ne t'inquiète pas, personne ne peux t'entendre à part moi. Comment j'ai fais ? Je suis Sentinelle, je fais ce que je veux."

J

Je la regardais, surpris. J'avais remarqué qu'il n'y avait plus aucuns sons autour de nous. Je la regardais joignant mes mains devant mon visage et plantant mes yeux verts dans les siens.

"Je sais quasiment tout de mes cibles. Dans mon corps d'assassinat on à une technique bien spécifique pour avoir nos victimes. Nos commanditaires nous donnent une cible qu'un groupe spécialisé espionne pendant au moins un mois. Après seulement les informations sont transmises aux assassins afin qu'ils puissent avoir plusieurs cordes à leur arc."

Je marquais une pause avant de m'installer au fond de ma chaise. Mon regard ne quittait pas ses yeux.

"Pour ce qui est de prévoir ça, c'est mon truc. J'analyse ceux que je vois et les perces à jour. Je les cernes. Je sais exactement comment ils vont réagir. Par exemple, je sais comment tu va réagir si un homme en noir avec un sabre jaune à la ceinture faisait son apparition ici. Tu changerais radicalement de comportement et te transformerais en tueuse..."

A ce moment même, un homme en noir apparut. Je l'observais attentivement avant de remarquer un petit détail flagrant. Je me levais et me dirigeais vers lui. Je lui serrais la main avant de lui murmurer quelques mots à l'oreille. D'un signe approbatif de la tête, il disparut par la porte. Je revins près d'Isil, la saisis délicatement par le bras afin de la relever.

"Faut qu'on sorte. Suis moi sans un mot s'il te plait."

Je l'emmenais avec moi en cuisine. De là, nous descendîmes à la cave. Je retirais une grande planche de bois révélant un passage secret. Nous sortîmes discrètement avant de rejoindre la forêt. Un chat noir aux yeux pourpre vint vers nous. Il bondit sur mon épaule et se mit à.... me murmurer quelque chose à l'oreille avant de disparaitre dans la nature.

"Restons ici un petit moment si sa te dérange pas."

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