Entrainement aux aurores [libre]

Le soleil n'était pas encore levé que moi je marchais dejaas vers le saut du dragon, pour mon habituel salut à l'astre de feu. Je me posta au sommet de la grande cascade, vide de tout etre suceptible de me déranger. Je sorti mon épée, m'assis en tailleur, arme en travers des genoux et commença ma méditation, attendant le levé du jour. Les premiers rayons apparurent, je me leva, et commença l'étirrement de chacun de mes muscles, l'éveil de mon corps. Je repris ensuite mon épée, effectuant les geste enseigné par mon maitre des années plus tôt et que je refesais chaque jour en guise de salut au soleil et chaque soir pour saluer la lune.

Seule, perchée sur un rocher au sommet d'une immence cascade, Miloniä fesais connaissance avec ce jour nouveau.

EDIT YUNIE : +1 level pour entrainement ^o^ !

Une fine brise souffla, faisant voltiger les cheveux de l'elfe qui marchait, sans bruit, en direction de la cascade.Il se mouvait avec grâce et était extrêmement silencieux. Il se stoppa un moment, écoutant et appréciant la rumeur de la cascade. Puis il se remit en marche, toujours en silence. Il lui arrivait parfois de venir en haut de la cascade, savourant le paysage qui s'offrait à sa vue, parfois même en plongeant du haut sans réfléchir. Il aimait ça, se sentir tomber dans le vide, perdant tout lien avec la terre pour s'offrir aux airs. Mais même malgré ça, il était toujours autant attaché à mère Nature. C'était dans ses veines, une nécessité aussi importante que sa vie. S'il reniait la nature, il se reniait lui-même. Et jamais il ne lui était venu à l'idée de se reconvertir dans les airs, ou de renier son dévouement à la nature, aux plantes, à la terre...
Dëlwin s'arrêta une nouvelle fois. Il sentait une présence. Il y avait quelqu'un. Il eut un petit sourire. Il était de bonne humeur ce matin, et la présence de quelqu'un d'autre ne le dérangeait pas. Il continua son chemin en direction de la cascade, se demandant qui il y verrai. Il aperçut alors cette personne, dont il avait sentit la présence. Elle maniait une épée, et semblait concentrée dans ce qu'elle faisait. Décidé à ne pas la dérangé, l'elfe se contenta de la regarder faire, en silence, un sourire flottant sur ses lèvres.

Il y avait quelqu'un, et en plus il avait la prétention de me regarder. Je stoppa mon entrainement, ma salutation au soleil. Je me rassis sur mon rocher, au centre du fleuve cascadant. Atendant le moment opportun pour prendre la parole, étrangement son regard ne m'avais pas mise en colère, cela signifiait donc qu'il était comme moi, assassin ou aussi dangereux que moi. Enfin je parla aprés près de 10 minutes de méditation silencieuse:

" La moindre des choses quand on intérromp quelqu'un en entrainement est de s'excuser et de ce présenter."

Mon calme était du à mon entrainement, et je remercié le soleil de s'etre levé sinon j'auré était d'une humeur plus que massacrante. Je souris, ce qui eu le don d'illuminer mon visage de Falariel.

Dëlwin continuait de regarder l'inconnue. Quand elle stoppa ce qui semblait être un entraînement et se rassit sur le rocher, il s'étonna, n'ayant pas eu l'impression qu'elle l'avait fini. La pensée qu'il l'ai dérangé l'effleura, mais il resta silencieux, à la regarder de loin. Le silence s'étira, troublé seulement par le grondement de la rivière qui emplissait l'espace alentour. L'elfe sourit, apaisé par ce bruit qui à ses oreilles était une mélodie. Le temps s'écoula, et après un moment la voix de l'inconnue résonna. Delwin sourit. Elle avait sentit qu'il était là, malgré sa démarche silencieuse et sa présence qui se confondait avec la nature. Cette femme-là devait être plus forte qu'elle ne le laissait paraître. L'elfe choisit de ne plus se cacher et s'avança lentement, sauta sur un rocher, puis sur un autre, pour arriver à une dizaine de mètres d'elle. Il s'assit, effleura l'eau de ses longs doigts, et la fixa de ses yeux d'un vert éclatant.

- Désolé de t'avoir dérangée.Je ne pensais pas que tu m'entendrais.

Avec un sourire, il ajouta :

- Je suis Dëlwin.

Il continua de la fixer, ses doigts effleurant toujours la surface de l'eau tumultueuse qui fonçait vers le précipice, emportée par le courant.

Son regard me génait, mais je ne dis rien. Je garda le controle de mon esprit, ne pas lui sauter dessu, ne pas le découper en morceaux, dur dur puisque j'en avait plus qu'envie. Mais le controle de soi est important pour un assassin et je me tint donc tranquille, contractant les muscles de mes jambes et crispant mes doigts sur mon épée.

" Que fais tu ici? Rare sont les non Falariels qui viennent ici de si bon matin."

J'avais senti que c'était un elfe, il n'était pas chez lui. Que fesait -il ici. Mes pensé étaient ostile mais ma voix restait calme.

L'elfe exaspérait la falariel. Il le voyait bien, à ses doigts qui se crispaient sur son épée. Malgré cela, il ne se départit pas de son sourire. Pourtant, il savait qu'embêter un falariel, qui plus est un assassin - tout en elle le criait - n'était pas la meilleure chose à faire. Mais Dëlwin n'était pas d'humeur à se battre, et il n'avait pas envie de partir sous prétexte qu'il n'était pas le bienvenu. il s'en fichait royalement.

- Dois-je avoir une bonne raison pour venir où bon me semble ? Dois-je être falariel pour admirer un sublime paysage ?

Il avait parlé doucement. Son murmure, à peine parvenu aux oreilles de la jeune femme, s'évapora dans l'air, comme s'il n'y avait qu'une seule réponse à sa question, comme s'il était inutile de l'avoir énoncée. Mais Dëlwin savait qu'elle l'avait entendu. Il n'attendait pas spécialement de réponse. Son regard émeraude la fixait toujours.

Il m'exaspérait, sa présence me dérangeait mais d'un autre coté je ne pouvais le chasser comme sa sans raison apparente autre le fait qu'il est troublé mon salut au soleil. Ba,... faudra bien que je supporte les autres un jour ou l'autre de toute façon. Je me tourna enfin vers lui, plutot beau dans le genre des elfes,...

" Tu as sans doute raison, je ne peux t'interdir d'aller ou bon te semble. Sur ce mon cher, veillez m'excuser mais mon entrainement journalier n'était pas terminer quand vous etes arrivé, je souhaiterer le continuer."

Sans attendre de répondre je me remis en place, effectuant avec une lanteur exagérée les mouvement enseigné par mon maitre.

- Mais continuez-le, je ne vous en empêche pas, répondit Dëlwin avec un petit sourire.

Il regarda faire la falarielle, sans pour autant partir. Il se contenta de s'asseoir sur son rocher dans une position plus confortable - en tailleur -, les yeux toujours vrillés sur elle. Il savait qu'il l'embêtait, et il y prenait un malin plaisir... Quoique, le terme n'est pas exact. Il l'embêtait, certes, mais son plaisir n'avait rien de malin. C'était plutôt... espiègle. Et son sourire également était teinté d'espièglerie, tandis qu'il la regardait faire, admirant en même temps ses mouvements et la fluidité qui en résultait. Il se releva, si silencieusement qu'elle n'avait pas du entendre. Il saute sur un autre rocher, atterrissant sans bruit, et de là sur un autre, et ainsi de suite, se rapprochant considérablement de la jeune femme. Puis il s'arrêta à plusieurs mètre, se rassit exactement dans la même position que précédemment, comme s'il n'avait pas bougé d'un pouce. Il jouait un jeu dangereux, mais ça l'amusait...

Décidément celui la,... je ne l'avais pas entendu (un point pour lui) mais le mouvement à la limite de mon champ de vision m'avait indiqué son changement de place. Je soupira, toujour concentrée sur mon entrainement. Je continua pendant 5 minutes avant de faire tournoyer mon armes au dessu de moi et de la rengener. Je me tourna ensuite vers ce visiteur si colant:

" Vous jouez à un jeu dangereux mon cher. Mais je suppose que vous le savez deja."

Son sourir m'énervais au plus haut point mais je tachais de garder mon calme.

- Oui je le sais, et c'est parce qu'il est justement dangereux qu'il est aussi passionnant.

L'elfe continuait de sourire. Il savait que sa présence même l'agaçait. Elle le maudissait sûrement intérieurement. Mais il s'en fichait. Toujours assis sur sa pierre, il la regardait, si silencieux que son souffle lui-même était inaudible. Maintenant qu'elle avait finit son entraînement, il fallait que l'elfe s'excuse. Il savait qu'il l'avait dérangée dans un moment important. Cependant il s'excuserait plus tard, pour l'instant il avait envie d'observer la falarielle encore un peu.

(Désolée c'est nul T.T Faut le temps que l'inspiration revienne, s'cuse moi :'< )

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